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veilleur1
2025-04-19
Bulletin n° 17    A 3

#Principal :
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Papier
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
social
technologique

ludothèque, maison des cultures numériques, piste de pumptrack… priorité aux investissements pour la jeunesse

En 2025, le maire de Forbach veut doper l’attractivité du centre-ville, faire encore plus pour la jeunesse et améliorer le cadre de vie quotidienne des habitants. Alexandre Cassaro annonce l’ouverture de nouveaux commerces, la reconstruction de la crèche de Bellevue, la livraison de la maison des cultures numériques, la création d’un parc urbain au Wiesberg… La réhabilitation de l’ancien conservatoire, rue de Remsing, est lancée et doit s’achever cet été. L’Anru, de Département et la Région financent cette transformation à 80 % sur un coût total de 1,8 million d’euros. L’adresse deviendra alors la maison des cultures numériques au sein de laquelle les jeunes pourront s’adonner à des activités culturelles soutenues par toute une variété d’outils numériques modernes.
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veilleur1
2025-03-20
Bulletin n° 17    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
région GrandEst
Interêt :
tactique
Média :
actu
Papier
Objectif :
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Grâce à un partenariat avec Emmaüs Connect, trente adhérent(e) s du Café social de Metz-Borny ont pu recevoir, ce mercredi 19 mars, des ordinateurs reconditionnés vendus au tarif solidaire de 30 €. Une initiative qui vise à lutter contre la précarité numérique.Jusqu’à présent, Rahel empruntait l’ordinateur portable de sa sœur, lycéenne et, à ce titre, bénéficiaire d’un équipement remis gratuitement par la Région Grand Est.
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Depuis ce mercredi 19 mars, la Messine de 21 ans, originaire d’Érythrée, dispose enfin du sien, acquis au tarif solidaire de 30 €. « Je vais pouvoir apprendre la langue française et m’en servir pour faire ma formation d’aide-soignante », apprécie celle qui prend des cours d’informatique et de Français langue étrangère (FLE) au Café social de Metz-Borny.


veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
technologique

Ils ont collaboré sur ce bilan : Romain Faucher (Banque des Territoires), Alice Mary, Julien Marbouty, Sana Chennoufi, Luba Benas, Selena Miniscalco.

Edito La fracture numérique désigne le fossé qui sépare les personnes ayant accès aux technologies et maîtrisant leurs usages, et celles qui en sont éloignées. Cette disparité est due à l’inégalité dans l’accès aux équipements, à une connexion internet fiable et aux compétences nécessaires pour les utiliser. Aujourd’hui, selon le CRÉDOC - Centre de Recherche pour l’Étude et l’Observation des Conditions de vie - 31,5 % de la population française est concernée. Cette fracture engendre de nouvelles formes d’inégalités sociales et économiques, accentuées par l’omniprésence du numérique au quotidien : pour déclarer ses impôts, se soigner, se former ou même partir en vacances. La pandémie mondiale de 2020 a malheureusement été un révélateur et un accélérateur de cette fracture. Nous croyons fermement que l’inclusion numérique est un enjeu de citoyenneté et de vivre ensemble, qui concerne à la fois les institutions publiques et le secteur privé. Pour répondre à ces enjeux, des solutions innovantes ont été créées et soutenues par les politiques publiques, start-up, associations et structures de l’ESS pour aider les 16 millions de Français exclus du numérique. De ce constat est né 13M, le premier accélérateur dédié à l’inclusion numérique à l’échelle nationale, par la Banque des Territoires, en collaboration avec le Groupe SOS, H7 et Pulse. 13M combine l’expertise et le maillage territorial de la Banque des Territoires, la connaissance terrain et l’accès aux bénéfciaires du Groupe SOS et l’accompagnement au passage à l’échelle des solutions à impact de H7 et Pulse. En 2023 et 2024, 13M a permis à 8 lauréats - start-up, jeunes entreprises, associations - de bénéficier d’un accompagnement complet et personnalisé, partagé entre des temps individuels (coaching et mentorat), des temps collectifs (ateliers et conférences), et des rencontres sur le terrain (learning expeditions et événements). Après 18 mois de programme et d’accompagnement, quels apprentissages pouvons-nous en tirer ? Interviews, portraits, mesure d’impact, ce rapport dresse un bilan des solutions existantes pour réduire la fracture numérique avec une réflexion en fil rouge : comment les structures de l’inclusion numérique combinent-elles croissance et impact ? Christophe Genter. Directeur du Département Cohésion Sociale et Territoriale de la Banque des Territoires
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 3

#Principal :
concurence
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

En mettant la main sur une marque iconique de la high-tech, le fabricant et distributeur de PC veut doper la fréquentation de ses vingt boutiques et ses ventes sur le Web.

Si Grosbill est une enseigne de distribution de produits high-tech connue, Cybertek l'est beaucoup moins. C'est pourtant la deuxième qui a racheté la première, fin décembre. Le tribunal de commerce de Paris a choisi Cybertek, contre des concurrents plus gros comme le lyonnais LDLC ou le francilien Dray Electroménager, pour reprendre certains actifs de Grosbill placé en liquidation judiciaire : la marque, le site de vente en ligne, le principal magasin situé à Paris et 14 salariés sur 35. Car si les deux entreprises sont nées il y a une vingtaine d'années, elles n'ont pas eu le même parcours. Grosbill, pionnier du e-commerce, a été racheté en 2005 par Auchan pour concurrencer Surcouf et, surtout, Casino qui avait racheté Cdiscount cinq ans plus tôt. La greffe n'a pas pris. Grosbill, qui a compté jusqu'à 50 magasins, a été revendu en 2015 à l'allemand Mutares qui n'a pas fait beaucoup mieux qu'avec Pixmania, un autre pionnier du Web qui a, lui, disparu. Puis, sur le tard, Grosbill a été repris par un de ses fondateurs qui a réussi à redresser partiellement l'entreprise. L'un des seuls fabricants de PC Cybertek, créé à Bordeaux, est en revanche resté une entreprise familiale désormais à la tête de vingt magasins répartis dans le grand Sud-Ouest pour un chiffre d'affaires de 52 millions d'euros l'an dernier. Un chiffre qui intègre une activité de grossiste effectuée sous la marque Picata. Cybertek est l'un des seuls fabricants français de PC avec 40.000 unités produites et vendues sous ses marques Cybertek ou Dust pour d'autres enseignes. « Nous avons démarré seulement en 2015 sur le Web avec une croissance forte depuis trois ans et des ventes qui sont celles d'un gros magasin », explique Xavier Sourroubille, l'un des cofondateurs. Publicité Les deux enseignes vont rester distinctes, mais mutualiser les ressources. L'enjeu pour Cybertek est de s'appuyer sur son savoir-faire logistique, grâce à sa base de Bacalan, au nord de Bordeaux, et sur la notoriété de la marque Grosbill. « Nous voulons nous développer sur le Web car cela constitue la meilleure publicité pour nos magasins. Dans notre domaine, les utilisateurs ont arrêté la chasse aux prix cassés. Ils sont aussi contents d'avoir en face d'eux un technicien quand ils ont un problème », insiste Xavier Sourroubille. Cybertek ouvre d'ailleurs, ces jours-ci, son premier magasin dans le centre de Paris.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
mécénat
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

La seconde édition de l’Observatoire de l’inclusion numérique, réalisé par la Mednum, propose un panorama à jour de l’écosystème de l’inclusion numérique : ses acteurs, les méthodes d’accompagnement et outils qu’ils mettent en œuvre (détection des besoins, pilotage, évaluation). Après avoir dressé le profil des médiateurs et conseillers numériques, l’Observatoire se penche sur la structuration de cet écosystème.
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Cet état des lieux du secteur de la médiation numérique en France repose sur une enquête en ligne auprès de structures locales et nationales, publiques et privées, et sur 36 entretiens individuels et collectifs. Parmi les 304 structures de médiation ayant répondu à l’enquête, 40% sont des structures privées (associations, entreprises, coopératives), 52% des collectivités (structures communales, intercommunales, départementales, syndicats mixtes) et 3% des établissements publics (GIP, EPIC et universités). « Le périmètre d’intervention des structures semble avoir évolué en deux ans, notent les auteurices de l’enquête, puisque le nombre de répondants intervenant principalement à l'échelle locale (c’est-à-dire infra-départementale) en 2024 est désormais de 68 % contre 58 % en 2022, et de 24 % à l’échelle départementale contre 22 % en 2022 (…) Ces évolutions suggèrent un recentrage des efforts sur les mailles départementales et infra-départementales, orientées vers une action de proximité plus prononcée ». « Les collectivités, ajoutent les auteurices de l’enquête, financent les structures de médiation numérique de leur territoire et conduisent leurs propres actions en mobilisant des conseillers ou des médiateurs numériques. En effet, 75 % des collectivités répondantes ont indiqué embaucher un ou plusieurs médiateurs numériques dans leurs services. Les actions proposées par les collectivités peuvent avoir lieu dans leurs propres locaux (permanence d’accueil) ou d’autres structures ouvertes au public : médiathèques, missions locales, tiers-lieux, centre social, associations locales… » . Des activités extrêmement variées Le questionnaire de l’enquête distinguait 8 catégories d’activités de médiation numérique. La maîtrise des outils numériques du quotidien arrive en première position : 94 % des structures répondantes indiquent proposer cette activité. Arrivent ensuite l’accompagnement à une utilisation sécurisée (84 %) et à la compréhension du monde numérique (83 %) « participant d’une littératie numérique qui vise à renforcer la confiance des personnes, principal frein à l’usage du numérique».. L’aide aux démarches administratives se positionne juste derrière à 80 %, suivie de près par la mise à disposition d’un accès internet et du matériel informatique qui gagne 16 points par rapport à 2022 (76 %).
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    C 3

#Principal :
concurence
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Après 18 mois de programme et 8 start-up et associations accompagnées, la Banque des Territoires, le Groupe SOS, H7 et Pulse présentent le rapport du programme.

Au sommaire : Le parcours des deux promotions du programme Des témoignages inspirants d'acteurs de l'inclusion numérique Un focus sur les huit projets accélérés Le bilan et l’impact du programme sur les lauréats


veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 3

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
politique
social
technologique

Nous souhaitons vous informer de la décision prise par le Gouvernement de dissoudre le groupement d’intérêt public Grande Ecole du Numérique. Votre site et toutes ses fonctionnalités restent néanmoins disponibles jusqu'à nouvel ordre !
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
politique
social

Une attente insoutenable pour les 4 600 SIAE et les 250 000 personnes en parcours d’insertion privées de formation, qui doit maintenant être levée ! Une délégation du Collectif national IAE a été reçue le 3 février à Matignon par Paul Bazin, chef de pôle et conseiller Travail, Emploi, Insertion et retraites de François Bayrou, et Julie Leroy, conseillère Travail, Emploi et Formation professionnelle.
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Nous avons évoqué les graves difficultés vécues par les structures de l’IAE sur le terrain, alors que la courbe du chômage repart à la hausse et nécessite un renforcement de l’accompagnement social pour les personnes les plus éloignées de l’emploi. Face à cette précarisation accrue des publics, des travailleur.se.s sociaux.ales et des structures, le Collectif IAE a réitéré sa demande de maintenir un effort prioritaire en faveur de l’IAE dans le budget 2025 : Garantie d’une sanctuarisation des crédits alloués à l’IAE par rapport à 2024, en prenant à minima en compte l’effet de la revalorisation du SMIC ; Sécurisation des dotations de l’État aux Départements ; Engagement sur les moyens alloués au PIC IAE au niveau du PLF 2024 pour l’année 2025 et dégel immédiat des autorisations d’engagement du PIC IAE par les OPCO ; Dotation d’un fond de consolidation (FDI) dans un contexte économique extrêmement difficile pour nos structures afin d’éviter des fermetures. Ces demandes doivent être satisfaites budgétairement et dans la circulaire FIE 2025 qui “gouverne” l’orientation et le pilotage du secteur pour l’année en cours. Pour préparer l’avenir, et sous réserve du soutien attendu, le Collectif IAE a proposé l’ouverture de dialogues interministériels pour valoriser le rôle des SIAE dans l’ensemble des politiques publiques soutenues par leurs actions (zones prioritaires, santé, justice, logement, mobilité, alimentation, économie circulaire etc.). Dans l’attente de notre rendez-vous du 12 février avec l’ensemble des réseaux du Collectif IAE et la ministre du Travail et de l’Emploi Astrid Panosyan-Bouvet, l’ensemble des structures IAE et leurs réseaux représentatifs restent plus que jamais mobilisés pour que ces demandes soient satisfaites dans le cadre des arbitrages budgétaires internes au ministère.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
RSE
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Les pouvoirs publics ont mis en consultation deux projets d'arrêtés qui adaptent la responsabilité élargie des producteurs d'équipements électriques et électroniques à la gestion des batteries dans les DEEE. Dans le cadre de la consultation publique (1) relative à la mise en conformité de la réglementation française au nouveau règlement européen Batteries, les pouvoirs publics présentent plusieurs modifications concernant la gestion des déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE). Pour l'essentiel, les deux arrêtés prévoient que les éco-organismes soutiennent le retrait des batteries présentes dans les DEEE. Les nouvelles dispositions s'appliqueront à partir de janvier 2025.
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Financer le retrait des batteries Le premier texte (2) est un arrêté qui modifie plusieurs points du cahier des charges de la filière de responsabilité du producteur (REP) chargée de la gestion des DEEE, notamment pour réduire les risques liés aux batteries présentes dans certains équipements. Tout d'abord, il prévoit que les coûts relatifs à l'« extraction préservante » des batteries réalisée dans les sites de traitement avant le broyage ou le déchiquetage des DEEE soient pris en charge par les éco-organismes de la REP DEEE. La mesure vise à réduire le risque d'incendie associé à la dégradation de ces batteries lors des opérations de manutention des DEEE. Elle concerne les produits équipés de batteries portables en général, et les moyens de transport légers (MTL), comme les vélos ou les trottinettes électriques, en particulier. Les contrats entre les gestionnaires de DEEE et les éco-organismes préciseront les modalités de cette prise en charge. Janvier 2025 C'est la date d'application des nouvelles dispositions. Le projet propose aussi que le Comité technique opérationnel de gestion des DEEE « participe à l'évaluation des coûts relatifs aux opérations d'extraction préservante des batteries portables et MTL assurées par les opérateurs de gestion de déchets ». De manière plus générale, le texte renforce le poids des gestionnaires de déchets dans ce comité en leur permettant d'ajouter des éléments à l'ordre du jour et en prévoyant qu'ils en prennent la présidence (en l'occurrence, celle-ci devient tournante). De même, le texte prévoit que les éco-organismes de la REP DEEE et ceux de la REP batteries organisent un appel à projets sur les techniques de repérage précoce des éléments pouvant être source significative de danger dans le tri et le traitement des DEEE dans lesquels des batteries sont incorporées. Mieux informer le public Le projet propose aussi de renforcer l'information du public concernant le retrait des piles des équipements électriques et électroniques mis au rebus. Les éco-organismes des filières REP DEEE et batteries devront organiser des campagnes de sensibilisation nationales et locales concernant trois thèmes : l'importance de retirer les batteries des équipements électriques et électroniques avant de les jeter (lorsque l'opération est simple et sans danger) ; l'importance de trier les batteries extraites des équipements ; les risques de départ d'incendie en centres de gestion de déchets. Autre modification, sans rapport avec le risque incendie : les producteurs qui assurent des opérations de gestion de DEEE pourront désormais bénéficier d'une réfaction. Ce dispositif, introduit par la loi Antigaspillage pour une économie circulaire (Agec), consiste à accorder une réduction sur l'écocontribution versée par un metteur en marché qui participent à l'atteinte des objectifs fixés dans le cahier des charges (il est alors considéré comme un « producteur-opérateur »). Révision des contrats Le second projet (3) de texte modifie l'arrêté de 2016 (R.15841) qui fixe les dispositions et clauses minimales devant figurer dans les contrats entre les opérateurs qui gèrent des DEEE et les éco-organismes ou les producteurs ayant mis en place un système individuel agréé. Pour l'essentiel, le projet modifie les dispositions actuelles concernant le contrôle par les éco-organismes de la conformité des opération la gestion des DEEE. Le nouveau texte précise qu'il s'agit d'audits réalisés par des tiers indépendants mandatés par les éco-organismes. Le projet précise aussi que le contrat doit fixer les modalités de sa suspension par l'éco-organisme en cas de non-respect des prescriptions de traitement.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 3

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Gestion des DEEE : Conscient de l’impact important des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE), le Groupe est historiquement engagé dans la reprise des anciens équipements de ses clients.
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En effet, depuis plus de dix ans, lors d’une livraison à domicile d’un équipement volumineux, le client a la possibilité de remettre un ou plusieurs appareils aux livreurs. Ces derniers les confient ensuite à l’éco-organisme à but non lucratif Ecosystem, agréé pour recycler les DEEE. En mai 2023, en collaboration avec Ecosystem, Fnac Darty a décidé de compléter son service de reprise des DEEE avec un nouveau service de collecte gratuit et illimité pour les gros électroménagers. La reprise n’est plus conditionnée à l’achat en magasin ou sur les sites marchands Fnac et Darty mais permet désormais à tous les consommateurs français de recycler facilement leurs électroménagers sans frais, rapidement et sans obligation d’achat. Plus de 42 103 tonnes de DEEE ont été collectées en 2023. Pour les petits matériels et autres consommables (piles, ampoules, cartouches d’encre…), qu’ils aient été achetés ou non dans l’une des enseignes du Groupe, le client a la possibilité de les déposer dans les bornes de collecte présentes dans tous les magasins. Optimisation des déchets d’emballage Les activités logistiques et de sourcing de produits de marque propre génèrent principalement des déchets d’emballage : palettes de produits protégées de fi lms plastiques et emballages carton des colis destinés à être livrés aux domiciles des clients ou en magasin dans le cadre du click&collect. Pour limiter les emballages et l’impact des déchets qu’ils génèrent, Fnac Darty active plusieurs leviers visant à éco-concevoir ses emballages. Outre l’amélioration de l’expérience client, ces actions visent à rationaliser la consommation de matière, diminuer le vide dans les colis et à utiliser des matières moins impactantes pour l’environnement.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    C 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Chacune de nos actions ont un impact sur l’environnement. Pourtant, à notre échelle étudiante, il est possible d’agir. Découvre cinq gestes simples pour réduire votre empreinte écologique en ligne. Les habitudes numériques, bien qu’invisibles, contribuent aux émissions de CO2. En adoptant quelques pratiques responsables dans ton quotidien d’étudiant, que ce soit en cours, chez tes parents ou en auditoire, il est possible de limiter cet impact sans renoncer aux technologies qui nous sont essentielles.
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1/ Trier et alléger sa boîte mail Tu le savais ? Chaque e-mail stocké consomme de l’énergie. Selon Polytechnique, supprimer 30 e-mails revient à économiser l’équivalent de la consommation électrique d’une ampoule pendant une journée. Tu peux également te désabonner des newsletters inutiles, supprimez les spams et vider régulièrement la corbeille. Une alternative ? Si tu es en cours ou travaille sur un projet, tu peux limiter l’envoi de pièces jointes lourdes en privilégiant des plateformes de transfert de fichiers. 2/ Fermer les onglets inutilisés Laisser des onglets ouverts mobilise inutilement des ressources sur les serveurs et sollicite des ressources et consomme de l’énergie. Il est donc préférable de fermer les onglets que vous n’utilisez pas pour réduire cette consommation. Tu peux si tu le veux installer des extensions qui suspendent automatiquement ceux qui ne sont plus actifs, comme le recommande Polytechnique. 3/ Réduire la luminosité de son écran En ajustant la luminosité et en activant le mode sombre, tu économises de l’énergie tout en préservant tes yeux que pendant tes longues heures de révisions dans ton kot ou lors de tes sessions de travail à l’auditoire. Ce geste est particulièrement efficace avec les écrans OLED et AMOLED, qui consomment moins d’électricité pour afficher des pixels noir ou sombres. En plus, réduire la luminosité améliore ton confort visuel. Cela peut aussi limiter la fatigue oculaire, ce qui est essentiel quand tu passes de longues heures devant un écran. Selon RTBF, c’est un geste simple mais efficace pour réduire ton impact numérique tout en prenant soin de toi. 4/ Limiter le streaming et ajuster la qualité vidéo Le streaming vidéo est gourmand en ressources, regarder des vidéos en haute définition consomme énormément de données. Tu es en pause sur le campus et tu veux visionner quelque chose ? Pour limiter ton empreinte, privilégie le téléchargement ou réduisez la qualité de vos vidéos, pour réduire la consommation de données, comme conseillé par l’Institut Supérieur Environnement. 5/ Prolonger la durée de vie de ses appareils La fabrication des appareils numériques a un impact environnemental considérable. Entretien des équipements pour prolonger leur durée de vie : met à jour régulièrement tes logiciels, supprimez les applications inutiles et protégez-les physiquement. En cas de remplacement, envisage l’achat d’appareils reconditionnés, comme le préconise l’Université Laval. que ce soit dans ton kot ou lorsque tu te rends en auditoire, c’est une action simple que tu peux faire à tout moment pour le bien de l’environnement. Agir sur son empreinte numérique, c’est prendre conscience de l’impact invisible de nos habitudes et adopter des gestes simples mais efficaces. En tant qu’étudiants, nous pouvons être des acteurs du changement et contribuer à un avenir numérique plus durable et écologique 6 réflexes écologiques à adopter dans ta vie étudiante. À nous de jouer !
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 2

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

En 2008, la Commission européenne présentait l’Initiative pour les matières premières critiques, dont le but était de répondre aux tensions croissantes sur les matières premières minérales. Cette initiative constituée de trois piliers – la production soutenable et légale de matières premières minérales, la maîtrise des routes d’approvisionnement de l’Union européenne (UE) et une stratégie d’efficience des ressources à travers le recyclage – visait à sécuriser les approvisionnements des pays membres de l’UE. Ainsi, une liste de métaux dits « critiques » a été rendue publique en 2011. Mise à jour en 2014 et 2017, elle compte 27 matériaux [1]. Elle a également permis de constater que 97 % sont produits hors des frontières de l’Union et que la Chine produit plus de 50 % de 16 d’entre eux [2]. Parallèlement, plusieurs facteurs concordent à rendre difficile la production de minerais au sein de l’UE. Tout d’abord, le sous-sol européen reste mal connu en raison de l’absence de campagne d’exploration d’envergure au cours des quarante dernières années, durée pendant laquelle les ressources connues peuvent s’épuiser et les technologies d’exploration s’améliorer. À titre d’exemple, le sous-sol français n’est pas connu au-delà de 500 mètres, alors que l’Afrique du Sud exploite le sien au-delà de 4 000 mètres [3]. Ensuite, l’hostilité de l’opinion publique à l’égard de l’extraction minière fait douter du potentiel européen à réduire la dépendance par ce biais.
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Dans ce contexte où le recyclage et l’économie circulaire sont constamment mis en avant, l’exploitation de la « mine urbaine » apparaît comme une solution parfaite, répondant tant aux problématiques environnementales que stratégiques. Cette dernière comprend l’ensemble des activités et processus de récupération des composants, de l’énergie et des éléments provenant des produits, bâtiments et déchets générés par l’activité humaine dans le cadre urbain [4]. Il nous semble néanmoins nécessaire de revenir, dans un premier temps, sur les différentes définitions rattachées à la notion de recyclage ainsi que d’expliciter les différents indices de calcul. En effet, les chiffres du recyclage sont souvent pris et utilisés sans précautions ou sans autres explications, ce qui peut donner lieu à de fausses impressions qu’il nous paraît nécessaire de rectifier. Dans un second temps, à travers la description de la stratégie européenne, nous nous demanderons si la ressource stratégique représentée par la « mine urbaine » peut combler les besoins des pays européens en métaux. Mine urbaine et recyclage, de quoi parle-t-on ? L’expression « mine urbaine » apparaît dans le cadre d’un débat plus large sur les approvisionnements en matières premières, le développement durable ou encore l’économie circulaire. En effet, le recyclage est beaucoup moins consommateur en ressources. Dans le cas de l’aluminium, du cuivre ou encore du fer, il permet d’économiser respectivement 95 %, 85 % et 74 % de l’énergie qui aurait été utilisée si la même quantité avait été extraite [5]. Tant les ordures ménagères que les déchets industriels sont intégrés dans la mine urbaine. Certains d’entre eux peuvent être dangereux ou contenir des substances polluantes. Plus d’un millier de substances toxiques dérivées du plomb, du mercure ou de l’arsenic serait ainsi présent dans les décharges. Tous les métaux n’ont ni la même valeur ni la même importance et présentent, de ce fait, des caractéristiques spécifiques. On peut les classer en trois groupes : les métaux de base produits en très grande quantité (cuivre, aluminium, fer, etc.), les métaux précieux (or, argent, platinoïdes) et les métaux rares – parfois également dénommés critiques ou stratégiques [6]. Ces derniers sont caractérisés par un faible volume de production, une utilisation importante dans les hautes technologies, une absence de substitut efficace ainsi qu’une minéralogie plus complexe qui fait souvent d’eux des coproduits de minerais principaux – le cobalt est par exemple le coproduit du nickel et du cuivre. Plusieurs types de déchets métalliques sont concernés par le recyclage. Les premiers sont les résidus miniers, associés au processus d’extraction. Puis, les chutes de production, issues du processus de transformation du métal en un produit utile, sont récupérées directement à la fin du processus et réinjectées dans celui-ci. Enfin, les produits en fin de vie sont les principaux composants de la mine urbaine. La compréhension du taux de recyclage doit donc avoir lieu sur tout le cycle de vie d’un métal, et non pas seulement sur la fin de vie. Par ailleurs, on parle de recyclage fonctionnel, processus au cours duquel les matériaux sont récupérés en gardant leurs propriétés et peuvent être réutilisés pour le même usage, et de recyclage non fonctionnel lorsque les matériaux associés à un produit sont recyclés dans un autre produit et perdent donc leurs propriétés intrinsèques. L’exemple du cobalt est représentatif : le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) donnait le chiffre de 68 % de recyclage en fin de vie en 2011 [7], un chiffre réel mais mal compris, puisqu’il correspond en réalité au pourcentage de recyclage des chutes de production [8]. Ermelinda Harper, pour sa part, estime que 22 % du cobalt est recyclé de manière fonctionnelle, 10 % de manière non fonctionnelle et 68 % sont perdus 
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2025-02-07
Bulletin n° 16    B 3

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Selon un rapport dévoilé mardi par l’association Green IT, l’impact du numérique sur les ressources de notre planète est déjà inquiétant mais va s’accroître avec l’essor de l’IA générative À quel point Internet épuise-t-il les ressources planétaires ? L’association Green IT a répondu à cette question dans son rapport sur les impacts environnementaux du numérique dans le monde, repéré et relayé par nos confrères de Franceinfo mardi. Et la réponse est alarmante : si le numérique était un pays, alors il émettrait autant de gaz à effet de serre (GES) que 5,5 fois la France et que 2 fois le Canada.
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Le monde compte actuellement 5,35 milliards d’internautes, soit 30 % de plus qu’il y a quatre ans. D’après Green IT, l’impact carbone du numérique équivaut, pour chaque usager sur un an, à environ 3.500 kilomètres parcourus en voiture. Une statistique affolante qui devrait encore augmenter dans les prochaines années en raison de « l’accroissement systémique du nombre d’équipements, d’usages, et du nombre d’utilisateurs ». L’inquiétant épuisement des ressources L’association note également que « le numérique consomme 40 % du budget annuel soutenable d’un internaute, budget soutenable pour rester en dessous de 1,5 °C de réchauffement climatique conformément aux accords de Paris ». Mais le volume de GES dégagé par l’activité numérique n’est pas la principale menace. « La contribution du numérique à l’épuisement des ressources en minéraux et métaux se distingue », alerte Green IT.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    C 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

À l'ère du tout numérique, ne pas maîtriser les outils informatiques est un véritable handicap. Près de 15 % des Français souffrent d'illectronisme, une exclusion numérique qui impacte leur accès aux services publics, à l'emploi et même à la santé. On vous explique.. Oui, se moquer de ses grand-parents qui n'arrivent pas à fermer une fenêtre sur leur ordi, c'est un petit plaisir coupable. Je l'avoue... Mais ça cache aussi une réalité dont il faut prendre toute la mesure. L'illectronisme, contraction des mots "illettrisme" et "électronique", désigne l'incapacité à utiliser les outils numériques de base, comme envoyer un email, effectuer des recherches en ligne ou utiliser un logiciel de traitement de texte. Selon l’Insee, 15 % des Français de plus de 15 ans sont concernés par ce phénomène, soit plus de 8 millions de personnes. Alors oui, l'âge avancé d'une personne joue.
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L'âge est même le premier facteur de risque : 62 % des personnes de plus de 75 ans sont en situation d’illectronisme. Mais les personnes agées ne sont pas les seules concernées. Contrairement aux idées reçues, l’illettrisme numérique touche toutes les classes d’âge et sociales, souligne Didier Barathon, auteur du livre L’exclusion numérique - Fracture numérique et illectronisme. Les personnes aux revenus modestes sont également plus vulnérables : les 20 % les plus pauvres ont 6,6 fois plus de chances d’être en situation d’illectronisme que les 20 % les plus aisés. L’absence de diplôme est un autre facteur aggravant : une personne sans qualification a 7 fois plus de risques d’être en difficulté face au numérique qu’un diplômé bac+3, d'après les informations de l'Observatoire des inégalités. Et c'est vrai problème.

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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Alors que 13 millions de Français sont aujourd'hui éloignés des usages numériques, la dématérialisation des démarches administratives, elle, s'accélère. L'enjeu est de taille et les maires se mobilisent, aux côtés des associations et des conseillers numériques, pour aider les personnes en difficulté. Les initiatives fourmillent. Mais leur financement sur le long terme inquiète.
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Les démarches administratives essentielles se dématérialisent. Déclarations d’impôts, demandes d’allocations à la caisse d’allocations familiales (CAF), déclarations de revenus à France Travail, prises de rendez-vous chez les professionnels de santé, inscriptions pour pratiquer des loisirs… De nombreux services sont désormais quasiment exclusivement accessibles sur des plateformes en ligne. Or, 13 millions de personnes en France connaissaient, en 2021, des difficultés dans leur utilisation des outils numériques, selon la dernière enquête de l’Insee publiée en juin 2023. Selon l’Institut et toujours en 2021, 15,4 % des personnes de 15 ans ou plus résidant en France (hors Mayotte) se trouvent en situation d’illectronisme : 13,9 % n’ont pas utilisé internet au cours des trois derniers mois et 1,5 % l’ont utilisé mais ne possèdent pas les compétences numériques de base.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
légal
politique
social
technologique

1 - Économie circulaire : un portage politique à retrouver sur le devant de la scène ! 2 - Le bilan de la loi Agec par HOP – Halte à l’obsolescence programmée 3 - Loi AGEC et emballages ménagers : l’illustration du passage à l’échelle du réemploi
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La loi AGEC a permis de franchir une étape supplémentaire dans l’allongement de la durée de vie des produits. En mettant en avant la réparation, le réemploi et l’écoconception, cette loi positionne la France comme un leader européen dans la lutte contre l’obsolescence programmée. 5 ans après, HOP revient sur les nombreuses dispositions permises par cette loi .


veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    C 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
politique
social
technologique

Ce site, fruit d’une collaboration inédite entre prospectivistes français en matière d’environnement, décrypte les scénarios prospectifs publiés en 2021/2022 et éclaire les enjeux énergétiques et climatiques pour la France. Fin 2021 et courant 2022, d’importants scénarios de transition bas carbone pour la France ont été publiés. Par leurs narratifs crédibles et cohérents, respectant les lois de la physique et les connaissances techniques actuelles, ils apportent un éclairage pluriel et indispensable au débat public. L’objectif est aujourd’hui de mettre en valeur la richesse collective de ces productions, qui éclairent le débat français de manière puissante et nuancée.
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Une approche pluraliste inédite Le Shift Project, l’ADEME et l’association négaWatt ont souhaité collaborer pour répondre à cette ambition de manière pluraliste. Comprendre2050.fr est le résultat de cette mise en commun. Ce travail de décryptage se base sur la mise en commun, par les partenaires du projet, de leurs travaux respectifs constituant ainsi un riche panel de scénarios et stratégies de transition à horizon 2050 : Transition(s) 2050 de l’ADEME, Futurs énergétiques 2050 de RTE, le scénario négaWatt 2022, le Plan de transformation de l’économie française du Shift Project, et la Stratégie nationale bas carbone 2. Au total, plus de 5 000 pages de publications ont été synthétisées. Ces décryptages reflètent une diversité de points de vue sur la transition bas carbone et mettent en lumière leurs convergences et leurs divergences, éclairant ainsi le débat démocratique sur les grands choix de société à opérer et qui nous font face. Des ressources riches et solides sur la transition bas carbone Les scénarios de transition proposent des chemins cohérents et crédibles – du point de vue technique et physique – vers la neutralité carbone en 2050. Ils explicitent le rôle et la place des acteurs pour suivre ces chemins. En ce sens, ils offrent des clés de lecture sur l’économie et la société française face à la transition bas carbone, essentielles pour placer l’actualité dans le temps long et pour guider l’action vers la neutralité carbone. Rendre ces nouvelles connaissances accessibles au plus grand nombre est, plus que jamais, d’intérêt public. Un outil ouvert à toutes et à tous Comprendre2050.fr a été construit avec des professionnels de l’information pour offrir une navigation intuitive et des contenus accessibles et didactiques : dossiers thématiques, glossaire, visuels et infographies en open source. Les décryptages proposés par Comprendre2050.fr sont transparents : les données sont ouvertes et chaque information peut être retracée à sa source. Ouvert à tous, ce site intéressera particulièrement les professionnels concernés par la transition : journalistes de tous médias et toutes rubriques, influenceurs, acteurs de l’investissement responsable, acteurs de la société civile, décideurs publics, institutionnels ou économiques. « Comprendre 2050 réussit le tour de force de donner aux journalistes des clés de compréhension de très nombreux aspects de la transition, en s’appuyant sur les scénarios les plus approfondis et les plus sérieux. Il permet de se documenter de manière complète et de participer à la diffusion d’une information de qualité. Ce site est tout de suite rentré dans mes favoris pour préparer les épisodes du podcast Chaleur humaine pour Le Monde. »
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 2

#Principal :
exemples
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Dans une phase ascendante dans l’espace mosellan, dans sa vocation à trouver une solution locale et pérenne dans le financement gratuit de l’inclusion numérique par la réduction des déchets numériques, l’association PC Solidaire s’est vue brutalement couper les ailes. Elle repense son modèle.
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L'association est placé en procédure de redressement judiciaire. Mandataire judiciaire : Me BRUART. Date de cessation de paiement : 30/04/2024.


veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique

L’une des principales problématiques actuelles pour les gestionnaires de parcs informatiques est de garantir une excellente expérience utilisateur connecté en toutes circonstances. Mais la problématique est en réalité double : il est nécessaire d’allier cette expérience utilisateur aux diverses attentes en matière d’engagements environnementaux et sociétaux.
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Miser sur la sobriété numérique L’empreinte environnementale de la fabrication des appareils numériques ainsi que la raréfaction des ressources naturelles appellent à une action immédiate. Le nouveau défi et la nouvelle nécessité pour les entreprises sont donc désormais de faire preuve de sobriété et d’allonger la durée de vie des appareils mobiles. L’objectif de la sobriété numérique est de limiter l’usage du numérique pour en réduire l’impact négatif sur l’environnement. Mais souvent, lorsque l’on pense « sobriété numérique », on pense « acheter moins », alors que la démarche va, en réalité, beaucoup plus loin : elle concerne tout le cycle de vie des appareils mobiles et à la fois le matériel électronique en lui-même et les usages qui en sont faits. Miser sur le matériel IT reconditionné écoresponsable S’il faut acheter, éviter le neuf et privilégier le matériel reconditionné. Choisir des appareils informatiques, c’est une autre manière de faire preuve de sobriété numérique et de réduire considérablement son impact environnemental négatif lorsque l’acquisition de terminaux informatique s’avère nécessaire. Privilégier les réparations Cela peut paraitre anodin, mais une manière très importante de rendre son parc IT plus responsable et de faire preuve de sobriété, c’est de repousser au maximum l’achat de matériel et de faire appel aux réparations. Par exemple, en réparant un smartphone au lieu d’en racheter un neuf, c’est en moyenne 221 kg de matières premières qui sont protégées. Les réparations permettent d’éviter la production de déchets électroniques et plastiques. Optimiser la gestion énergétique des appareils informatiques L’optimisation de la durée de vie de la batterie, la gestion énergétique des appareils en veille, ou encore l’utilisation de modes d’économie d’énergie sont autant de manières qui permettent d’optimiser la consommation énergétique des terminaux informatiques. C’est une démarche simple, mais efficace pour économiser de l’énergie et promouvoir la durabilité. Cela vient bien entendu compléter les bons réflexes comme éteindre les lumières et les multiprises en quittant le bureau et permet d’agir de façon complémentaire pour plus de responsabilité et de durabilité des terminaux IT. Recycler les appareils et accessoires IT en fin de vie ou inutilisés L’étape du recyclage est un pilier essentiel pour rendre un parc IT plus responsable. En effet, faire recycler ses terminaux IT (que ce soit smartphones, tablettes, ordinateurs portables ou fixes, accessoires, et autres) permet de : Limiter les déchets produits Réinjecter des ressources et des matières premières dans le cycle de fabrication des terminaux Proposer du matériel reconditionné et donner une seconde vie à des terminaux qui sont remis sur le marché Toutefois, le recyclage des appareils mobiles ne doit arriver qu’en dernier recours, après être déjà passé par les étapes des réparations et de l’optimisation des usages. Garantir la protection physique des terminaux IT La sécurité physique des appareils permet d’allonger leur durée de vie en les rendant plus résistants à une utilisation quotidienne intense. Par exemple, pour les appareils mobiles : Penser à les équiper de coques, film de protection, verre trempé ou autres pour qu’ils résistent aux chutes, à l’eau, etc. Dans certains cas, les collaborateurs pourraient même bénéficier d’appareils durcis ou renforcés. Ne pas oublier la cybersécurité L’influence que peut avoir la cybersécurité sur la durée de vie des appareils IT est très souvent sous-estimée. Pourtant, la sécurité informatique permet de garder les appareils performants plus longtemps depuis l’intérieur, venant ainsi compléter la sécurité physique qui les maintient en forme depuis l’extérieur. En outre, les ordinateurs sont généralement mieux sécurisés que les appareils mobiles, qui restent oubliés dans la cybersécurité alors qu’ils représentent la majorité de la surface d’attaque et que la majorité des entreprises ont déjà subi des cyber-attaques contre les systèmes informatiques. Jouer la carte de la transparence opérationnelle S’équiper des bons outils et s’entourer des bons partenaires est essentiel. Cela favorise une gestion de parc informatique unifiée et transparente, permettant à toutes les parties prenantes d’avoir la vision dont elles ont besoin pour travailler efficacement. La gestion optimisée et efficiente des parcs d’appareils informatiques passe entre autres par : La centralisation et la fiabilisation des informations L’accès facilité aux informations nécessaires L’interconnexion avec les principaux outils quotidiens Par ailleurs, la transparence de la relation et de la communication est primordiale, et ce tant en interne (avec les services et les collaborateurs) qu’en externe (avec les partenaires et fournisseurs). Sensibiliser les employés aux enjeux RSE et IT Aujourd’hui, il est crucial d’impliquer les collaborateurs dans les actions et la stratégie qui visent à faire du parc de terminaux informatiques un levier d’engagement RSE. Il s’agit de les sensibiliser à la fois aux enjeux de cybersécurité et de protection des données, aux enjeux de réparation et d’allongement de la durée de vie des appareils IT, etc. Cela vise à encourager des pratiques durables au quotidien, au sein de l’entreprise et même peut-être en dehors, et permet de renforcer une culture d’entreprise responsable. Aligner la gestion IT avec les objectifs RSE de son organisation. Il est important de garder en tête que le numérique responsable, au même titre que la cybersécurité, n’est pas un sujet dans lequel on se lance sans fil directeur. En outre, il est essentiel d’avoir une vision et une stratégie numérique responsable, solide et orientée sur le long terme. En effet, le numérique responsable est un prolongement de la stratégie RSE puisqu’il sert à appliquer celle-ci au parc informatique (mobile ou non). Il est donc impératif d’aligner sa stratégie green IT avec la stratégie RSE de son organisation. Par ailleurs, pour que la stratégie de numérique responsable soit réellement solide et puisse être implémentée dans les meilleures conditions, il est également important de faire intervenir les différentes parties prenantes et les différents services concernés : service IT, service achats et achats numériques, service RSE. En effet, plus les parties prenantes interviendront dans l’établissement de la vision et de la stratégie, plus son implémentation sera efficace et durable. Et une fois qu’une stratégie et un cahier des charges ont été réalisés, l’implémentation peut commencer.
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2025-02-07
Bulletin n° 16    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
partenaires
RSE
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
légal
social
technologique

Tous les acteurs engagés pour faire baisser l'empreinte environnementale du numérique le répètent : « La clé de la réussite est la volonté politique ». Celle-ci peut s’appuyer sur l’un des six points de la loi «Reen» pour déployer une feuille de route « numérique responsable"» plus large.
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Quand le numérique passe au vert 1. Instaurer une commande publique locale et durable La commande publique doit être locale, durable, et s’inscrire dans une démarche de réemploi, de réparation et de lutte contre l’obsolescence. Quand on désire rendre la commande publique durable, il faut d’abord séparer l’acte d’achat de matériel de celui du renouvellement, afin de conserver les souris, claviers et surtout les écrans, les plus gros consommateurs de ressources. Un travail de veille est nécessaire : il va viser les appareils les plus robustes, allonger les garanties et donner la possibilité de réparer le parc informatique. La mission est impossible pour les plus petites structures.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    C 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Le nouveau pôle de compétitivité régional se pose en pilier de l’écosystème du numérique responsable. Il relaie pas moins de huit appels à projets de portée régionale à européenne. Enter signifie « Excellence Numérique au service des Transitions Environnementales et Responsables ». Depuis juillet 2024, il est le pôle de compétitivité régional. Depuis octobre, il a absorbé Digital Aquitaine. Son but: mobiliser et organiser l’écosystème numérique dans une démarche d’un numérique sobre, maîtrisé, durable, inclusif et résilient. Ses fondateurs sont Digital Aquitaine, Nouvelle-Aquitaine Open Source (NAOS), la Région Nouvelle-Aquitaine et le SPN (réSeau des Professionnels du Numérique et de l’image).
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Enter est fondé sur un modèle pionnier, inspiré de l’entreprise à mission. En intégrant une raison d’être et des objectifs sociaux et environnementaux, il sera évalué non seulement sur sa performance économique mais aussi sur sur son engagement sociétal et environnemental, avec des critères très précis. Quarante-quatre têtes régionales Le conseil d’administration du pôle régional est composé de 44 élus, issus de six collèges représentant les TPE, PME, grands groupes, le monde de la recherche, celui de la formation et des collectivités. Il est présidé par Julien Anselme (Directeur Projets Innovants Orange) et accompagné de Julien-Maxime Maranon (dirigeant d’EcoMicro) et Delphine Depeyras (directrice générale CATIE - Centre de ressource et de transfert régional) à la vice-présidence. Yacine Ghamri-Doudane (Université de La Rochelle) est nommé trésorier et Marc Dus (membre du conseil de surveillance SERMA Group) a été désigné secrétaire. Parmi les grands groupes qui composent le conseil d’administration de Enter, on trouve notamment Capgemini, Cdiscount, Orange, Thales ou Ubisoft. Chez les PME de la région, on trouve Ecomicro, Elzeard ou Dolist (Gironde), Emundus (Charente-Maritime) ou Kerdos Energy, Prof en poche (Béarn). L’Inserm, l’Inria, l’Estia, les universités de Bordeaux, Limoges, La Rochelle, Poitiers et Pau, ainsi que l’école Kedge Business School font partie du conseil d’administration. Le pôle Enter relaie huit appels à projets. Certains prennent fin en décembre 2028 mais d’autres le 14 janvier 2025. Celui sur les dispositifs médicaux numériques en santé mentale, porté par la région Nouvelle-Aquitaine prendra fin en septembre 2025. Le projet Step, porté par l’Europe et ses 160 milliards d’euros d’investissement, pour une plateforme européenne pour les technologies stratégiques prendra fin le 31 décembre 2025.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 2

#Secondaire :
collectivités
région GrandEst
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Production et accumulation d’équipements numériques, Internet des objets, explosion du big data, projets de villes intelligentes… Le développement du numérique s’accompagne d’un impact environnemental qui fait l’objet d’une prise de conscience progressive. « Sobriété numérique », « numérique responsable », numérique « low tech », des alternatives se développent pour tenter de rendre compatibles la transition écologique et la transition numérique. Les collectivités peuvent s’engager en prenant en compte ces préoccupations dans leurs projets de smart city ou leur propre fonctionnement interne, afin de les rendre plus durables et vertueux.
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Quand le numérique passe au vert CHIFFRES-CLÉS 28 % : Tel est le poids des datacenters dans l’impact global du numérique de bureau d’un Français. C’est la première fois que ce chiffre passe devant le matériel (écran, PC, etc.). Source : collectif Green IT, 2024. 50 métaux sont nécessaires à la construction d’un téléphone, soit 30 de plus qu’il y a dix ans.Source : Ademe, 2023. 0 € de sanction en cas de non-respect de la loi dite « Reen », réduction de l’empreinte environnementale du numérique. Source : loi « Reen » du 15 novembre 2021. Mais que met-on dans une feuille de route « numérique responsable » (NR) ? Cette nouvelle responsabilité est exigée depuis le 1er  janvier pour les communes et intercommunalités de plus de 50 000 habitants, mais le numérique est partout ! Dans nos téléphones, voitures, capteurs de température, et même dans nos arroseurs automatiques. Faut-il atteindre des indices de performance ? Non, répond Christophe Hugon, conseiller ­municipal (Parti pirate) à la ville de Marseille (873 100 hab.) et vice-président de l’Avicca. « Il s’agit d’avoir une doctrine pour pouvoir faire des choix que nous pourrons assumer demain. » Autrement dit : faire de la politique et appliquer ces principes à l’ensemble des services numériques, présents et futurs, des collectivités locales.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
social
technologique

L’ère numérique a profondément transformé le paysage éducatif, apportant avec elle de nouveaux défis. La dépendance numérique chez les écoliers suscite des inquiétudes croissantes, notamment en ce qui concerne l’influence de l’intelligence artificielle, les troubles liés au sommet perturbé et l’omniprésence des smartphones dans le cadre scolaire. Cet article explore ces enjeux complexes et tente d’analyser leurs répercussions sur le développement des jeunes.
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Dépendance numérique : Un phénomène en croissance La dépendance numérique se définit comme l’utilisation excessive des technologies numériques, impactant le quotidien des jeunes. Dans le contexte scolaire, cette addiction peut se manifester spécifiquement par une présence accrue des écrans, des interactions limitées en face-à-face et des expériences d’apprentissage altérées. Alors que les technologies éducatives gagnent en popularité, une étude a révélé que près de 93 % des parents considèrent l’usage des écrans comme un facteur perturbateur du développement de leurs enfants. Les effets de l’intelligence artificielle sur l’apprentissage L’utilisation croissante des outils d’intelligence artificielle dans le secteur éducatif promet d’améliorer les méthodes d’apprentissage. Cependant, elle alimente également une forme de dépendance à la technologie. Les élèves se retrouvent souvent face à des systèmes d’IA conçus pour les aider, mais qui peuvent aussi rendre leur processus d’apprentissage plus passif. Ce phénomène soulève des questions sur leur capacité à développer l’autonomie dans leurs études, un élément crucial pour leur futur académique et professionnel. Lire aussi : Bains : Découvrez des ateliers captivants pour maîtriser le numérique Impact sur les méthodes d’apprentissage L’accès à des plateformes d’IA pour faire leurs devoirs encourage parfois une approche moins rigoureuse de l’apprentissage. Alors que ces technologies peuvent fournir une aide précieuse, elles peuvent également diminuer l’implication et la motivation des élèves à développer leurs propres compétences critiques. Cette situation pourrait mener à une dépendance, où les écoliers deviennent de simples consommateurs de connaissances, ne cherchant plus à comprendre les concepts en profondeur. Sommeil perturbé : Un enjeu de santé publique L’un des effets secondaires les plus préoccupants de la dépendance numérique est le perturbation du sommeil. L’exposition prolongée aux écrans, en particulier avant le coucher, impacte la qualité du sommeil des jeunes. Les résultats de différentes études montrent que les enfants qui passent plus de deux heures par jour devant des écrans ont des difficultés à s’endormir et affichent une fatigue accrue durant la journée. Les répercussions sur la concentration et le comportement Le manque de sommeil a des effets néfastes sur la concentration, le rendement scolaire et même le comportement en classe. Les enseignants rapportent un lien entre l’usage excessif des écrans et les troubles de l’apprentissage, notamment en ce qui concerne le langage et la motricité. Au fil du temps, ces problèmes peuvent créer un cycle vicieux, où la fatigue chronique et la dépendance numérique mènent à une baisse des performances académiques. Smartphones : Outils utiles ou facteurs de distraction ? Les smartphones sont devenus omniprésents dans la vie des écoliers. Bien qu’ils puissent être une source d’informations et d’outils éducatifs, leur présence dans les établissements scolaires engendre également des distractions majeures. Près de 54 % des enseignants constatent que de nombreux élèves apportent leurs propres appareils en classe, ce qui peut perturber l’attention durant les leçons. Lire aussi : Des ateliers numériques essentiels pour les seniors à Saint-Hilaire-du-Harcouët Stratégies pour une utilisation responsable Face à ce constat, il est essentiel d’adopter des stratégies visant à réguler l’usage des smartphones dans le cadre scolaire. Cela pourrait inclure des politiques sur l’usage responsable des appareils, des initiatives pour sensibiliser les jeunes aux risques associés à la dépendance numérique, ainsi qu’une formation approfondie pour les enseignants sur l’intégration des technologies de manière positif et pédagogique. Conclusion : Une prise de conscience nécessaire La dépendance numérique chez les écoliers est un enjeu crucial qui nécessite une attention particulière. Il est temps que la communauté éducative, les parents et les jeunes eux-mêmes prennent conscience de ces problématiques et collaborent à la mise en place de solutions durables. La transformation numérique doit être accompagnée d’une éducation adéquate pour garantir un équilibre entre innovation et bien-être des élèves.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    C 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
social
technologique

Au Québec, une personne sur deux affirme passer trop de temps devant les écrans, une proportion qui monte à 67% chez les adultes de la génération dite « numérique » (18 à 25 ans). Les Canadiens et Canadiennes passeraient en moyenne 40% de leur temps éveillé sur les écrans (NETendances, 2023, p. 9).
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Les conséquences environnementales et sociales de l’hyperconnectivité suscitent de plus en plus de préoccupations. L’Assemblée nationale du Québec a d’ailleurs créé une Commission spéciale portant sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes, dont les auditions publiques se sont tenues en septembre 2024. La sobriété numérique apparaît aujourd’hui comme un virage nécessaire, tant pour réduire l’empreinte environnementale du numérique que pour des raisons de santé publique. La sobriété devrait-elle également être envisagée sous l’angle de la réussite étudiante ? Découvrez l’infographie synthèse Ce visuel regroupe les faits saillants de l’article et propose des pistes de réflexion pour susciter l’engagement à l’égard de la sobriété numérique. En France, l’objectif de sobriété numérique est inscrit dans la Loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique (adoptée en 2021). Cette loi oblige les établissements à sensibiliser les étudiantes et étudiants à la sobriété numérique dès leur entrée dans l’enseignement supérieur, et à inclure l’écoconception dans les formations d’ingénieurs. Dans le sillage de cette loi, un partenariat a récemment vu le jour entre l’agence gouvernementale pour la transition écologique (ADEME), des infrastructures de recherche (INRIA et CNRS) et une communauté d’acteurs et d’actrices de la tech (Latitudes) pour « sensibiliser et former l’enseignement supérieur à la sobriété numérique » Dans ce Grand angle, l’ORES offre des pistes de réponses à ces questions : Observatoire sur la réussite en enseignement supérieur (2025). La sobriété numérique : un ingrédient de la réussite en enseignement supérieur ?
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Un consortium, composé de quatre entreprises auvergnates et d’un laboratoire de l’INSA Lyon, entend créer une gamme de matières plastiques à partir de déchets d’équipements électriques et électroniques.
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Jean-Luc Lentin, directeur de Précis Plastic Injection, et Farida Tomasella, directrice R&D du groupe Environnement Recycling, veulent créer une filière locale autour du recyclage des plastiques issus des déchets d’équipements électriques et électroniques. (Crédits : DR Emilie Valès) Ordinateurs, téléphones portables, téléviseurs, grille-pains, climatiseurs, vapoteuses... 62 millions de tonnes de déchets électriques et électroniques (DEEE) ont été produits en 2022, selon l'ONU. Mauvaise élève, l'Europe est la principale région productrice de ces « e-déchets » et l'Hexagone n'est pas en reste. Les Français en jetteraient plus de 22 kilos par an en moyenne. Or, seulement 40 % de la masse des DEEE ont été correctement collectés et recyclés en Europe en 2022, toujours selon l'ONU.
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
économique
technologique

Richard Bury, directeur du programme Numérique Responsable du groupe EDF analyse les défis auxquels sont confrontées les grandes entreprises pour mener les projets qui vont réduire l’empreinte écologique de leurs actifs numériques. En relatant l’expérience de son entreprise depuis quatre ans, il détaille les priorités et les leviers qui lui paraissent les plus pragmatiques et efficaces. EDF mène depuis plusieurs années une transformation d’ampleur visant à réduire l’empreinte écologique de ses actifs numériques. Mais comment avez-vous priorisé les actions sur un périmètre aussi large ? Avez-vous dû commencer par mesurer ce que vous vouliez voir changer ?
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L’aventure du numérique responsable « à l’échelle » a officiellement commencé en 2020 dans le groupe EDF. Avant cela, des actions avaient déjà été menées sur des périmètres plus restreints, par exemple au niveau de nos datacenters, que nous avions fait certifier dès 2015 (avec la certification environnementale ISO 50001, NDLR). Mais pour avoir un impact plus global, nous avons dû cadrer nos ambitions et définir une feuille de route avec des priorités. En ce sens, le sujet de la mesure est rapidement arrivé sur la table. Dans le cadre de ma participation à l’Institut du Numérique Responsable (INR), dont j’ai rejoint le conseil d’administration en 2023 j’avais pris conscience que plusieurs entreprises s’étaient déjà lancées sur ces mêmes sujets avant 2020… mais que certaines bloquaient encore sur les enjeux de mesure depuis des années. La mesure carbone, en particulier, est un sujet complexe. Sur des thèmes comme le cloud, par exemple, on sait qu’il reste d’énormes zones d’incertitude. Le risque est donc réel de tourner en rond sur ces sujets très théoriques. Mais avons-nous vraiment besoin que tout soit mesurable avant de nous lancer ? Je ne le crois pas. Certaines actions paraissent évidentes pour obtenir des premiers résultats. Chez EDF, nous avons donc fait le choix d’agir en fonction des connaissances disponibles à l’époque, car ce n’est pas à nous de créer un consensus scientifique sur la mesure du numérique responsable… et nous ne pouvions pas nous permettre d’attendre. Si une mesure parfaite n’est pas indispensable pour se lancer, il faut cependant se donner ensuite les moyens d’évaluer les progrès, ne serait-ce que pour inciter les directions à agir chacune à leur niveau. Un benchmark comme WeNR de l’INR est suffisant pour commencer à agir, même s’il présente quelques angles morts. Il sera toujours temps ensuite de compléter les analyses pour faciliter le passage à l’échelle. Dans ce contexte, par quels types d’actions commencer ? On peut débuter par des actions mutualisées et transverses, qui sont les plus globales. Cela nécessite moins d’accompagnement au changement auprès de chaque équipe, et permet donc d’obtenir des premiers résultats assez rapidement. En particulier, il existe des leviers liés aux achats, aux politiques de dotation, à la rétention des données, ou encore aux règles pour les datacenters, sur lesquels nous avons pu agir de manière centralisée, avec un impact pour tout le groupe. Plutôt que de créer une nouvelle politique globale de numérique responsable, il est possible de rendre « responsable » l’ensemble des politiques et services mutualisés du groupe. C’est donc par cela que nous avons commencé sur la période 2021-2024. Cependant, il faut également garder à l’esprit que cela ne suffit pas et qu’il est essentiel de préparer les prochaines vagues d’engagement au sein des différents métiers et équipes. Dans notre cas, la décarbonation est au cœur du projet stratégique « Ambitions 2035 » du groupe : chaque direction sera donc « challengée » sur l’impact de ses propres services par la direction générale. Deux fois par an, lors de leur revue de performance, la question de l’empreinte carbone sera directement posée. En comité de transformation du groupe, j’ai utilisé une métaphore pour illustrer cette nécessité d’agir progressivement : la marguerite. L’idée était de montrer que nous pouvions travailler rapidement sur le « cœur » de la marguerite, les services mutualisés, avant d’avancer sur ses pétales, c’est-à-dire les business units. Votre sujet actuel est donc de permettre aux business units de mener leurs propres transformations, à leur niveau. Effectivement, après quatre ans d’action, le centre de gravité s’est déplacé vers les « pétales » notamment sur les enjeux d’écoconception et d’accessibilité numérique : il s’agit désormais de leur fournir un cadre méthodologique, une « académie » de formation, ainsi que des informations fiables sur les impacts technologiques du cloud et de l’intelligence artificielle. La réalité, c’est que le périmètre numérique des business units restera souvent limité à la couche applicative et à l’accompagnement des utilisateurs. Or, ces sujets sont loin d’être les plus simples : il ne leur suffit pas de faire tourner un outil de « green coding » pour résoudre les problèmes. D’un métier à l’autre, la configuration des projets peut être très différente. Adopter une approche numérique responsable pour l’intégration d’un ERP ou pour le développement d’un logiciel full stack n’a rien à voir. Et cela devient encore plus complexe lorsqu’on évoque l’interfaçage avec des services externes d’intelligence artificielle, sur lesquels nous avons encore peu de recul. Est-il préférable de commencer par quelques projets de numérique responsable « faciles » pour convaincre, ou bien de se lancer dès le départ dans ceux ayant l’impact le plus important ? Faire tout en même temps est complexe, mais pas impossible, à condition d’être bien organisé en matière de pilotage des services dans l’entreprise. Dans la feuille de route des priorités, il me semble essentiel de concilier quelques sujets à fort impact tout en ne négligeant pas ce que j’appelle les « petits ruisseaux ». Ces initiatives, bien que parfois anecdotiques en apparence, jouent un rôle important pour ancrer la culture du numérique responsable et entretenir une dynamique sur le long terme. Elles sont aussi souvent révélatrices des leaders internes. Après tout, le premier réflexe d’un directeur systèmes d’information sera légitimement de se dire que, compte tenu de tout ce qu’on lui demande déjà, la transformation numérique responsable ne figure pas forcément parmi ses priorités principales. Il est donc crucial, pour convaincre et mobiliser le plus largement possible, de s’appuyer sur des aspects culturels simples à mettre en place. Par exemple, des initiatives comme la « Fresque du Climat ou du numérique », des challenges internes, des webinaires ou des vidéos de sensibilisation et d’explication peuvent créer une attente. Parallèlement, il faut marquer les esprits en s’attaquant à des sujets complexes et significatifs, en privilégiant ceux pour lesquels il est possible d’activer rapidement les leviers des politiques de groupe. Avez-vous un exemple ? Nous avons mis en place la suppression automatique des e-mails,des conversations teams, des posts sur les réseaux sociaux après six mois,. C’est un signal très fort. Je crois d’ailleurs que nous sommes la seule entreprise à avoir pris un tel engagement. D’autres actions peuvent également marquer une organisation, comme un accord d’intéressement intégrant des objectifs tels que la réduction des impressions, par exemple. Quels ont été vos alliés les plus précieux depuis quatre ans pour mener vos projets de numérique responsable ? Notre gouvernance est très probablement l’élément le plus précieux, un pilotage au bon niveau impliquant l’ensemble des parties prenantes dont toutes les Business Units du Groupe et un leadership constant et sans faille de notre Directeur exécutif Groupe Transformation et Efficacité Opérationnelle (Véronique Lacour) Un autre élément très précieux a été l’obtention du label NR (Numérique Responsable) de l’INR. Cela a été un catalyseur incroyable, un vecteur de fierté, de confiance et de structuration. Ce label nous a permis d’avoir un cadre pour aborder des sujets très complexes. Son obtention, ainsi que le suivi qu’il implique, mobilisent tout le monde et offrent des points de contact réguliers qui ancrent la dynamique dans la durée. Enfin, notre investissement auprès des institutions de l’écosystème s’est révélé très précieux. Travailler en réseau pour partager nos doutes est essentiel, car la maturité sur les questions liées au numérique responsable est encore limitée. Sur des sujets comme l’impact du cloud, de l’intelligence artificielle ou de l’éco-conception applicative, nous avons encore beaucoup de progrès à faire collectivement, en partageant nos expériences. Beaucoup d’industriels mettent en avant, à juste titre, que l’impact de leur IT sur leur empreinte écologique est proportionnellement très faible. Est-ce que cela complique les démarches pour aller vers un numérique responsable ? C’est sûr que, rapportée à l’activité globale d’EDF, l’empreinte de notre numérique est très faible, en dessous de 1 % de nos émissions. Mais s’engager sur ces sujets relève avant tout d’une question de culture d’entreprise. À partir du moment où nous cherchons à réduire notre empreinte globale, tout le monde doit agir et participer à l’effort. En ce sens, il n’y a pas de « trop petit ruisseau ». Un autre message essentiel est que vouloir réduire l’empreinte du numérique n’empêche pas d’utiliser le numérique pour diminuer l’impact des processus métiers. Ces démarches ne sont pas opposées. Bien au contraire ! L’un de vos efforts les plus récents consiste à entraîner vos partenaires dans cette transformation, afin notamment d’agir sur les émissions indirectes, dites « scope 3 ». À quel point est-il difficile d’avoir un impact réel au-delà du périmètre de son entreprise en matière de numérique responsable ? Tous nos grands fournisseurs stratégiques avaient des discours bien rodés sur le numérique responsable et, plus généralement, sur leur empreinte carbone. Cependant, nous ne constations pas toujours des actions concrètes, visibles, comme la réduction de l’empreinte liée à la conception de leurs services numériques. C’était frustrant, d’autant que près de deux tiers de notre impact IT provient de nos achats. Sans une remise en question significative au niveau de l’écosystème, nous atteindrons rapidement un plafond. C’est pourquoi nous avons piloté la création d’un « clausier numérique écoresponsable » en collaboration avec l’INR et la French Tech Corporate Community. Il contient un questionnaire et des critères pour sélectionner et évaluer des soumissionnaires en amont d’un marché, ainsi que des éléments à intégrer dans les documents contractuels, notamment pour fixer les clauses techniques qui sont nécessaires à l’exécution des prestations. Chez EDF, nous avons également voulu aller plus loin en instaurant des contrats de plans d’actions communs. Dans les années 90, Renault avait mis en place une pratique similaire pour mobiliser efficacement ses partenaires sur des sujets complexes. Nous nous sommes donc demandé : pourquoi ne pas transposer cette approche pour réduire l’empreinte carbone de chacun ? Nous avons présenté ce « partenariat numérique bas carbone » lors du séminaire annuel avec nos fournisseurs IT. L’idée était de tendre la main à nos partenaires stratégiques afin que ce partenariat dépasse le cadre contractuel habituel, en adoptant une vision multi-marché. Cela a créé un effet d’entraînement : certaines sociétés ont voulu signer rapidement pour présenter cette démarche comme un différenciateur et proposer cette approche à leurs clients. En décembre, lors du dernier séminaire, nous avons réalisé un premier point d’étape. Aujourd’hui, cinq fournisseurs stratégiques, représentant une part significative de nos dépenses IT, se sont engagés dans ce partenariat. Il reste donc encore de la place pour les autres ! Nous souhaitons dorénavant réussir à embarquer les fournisseurs d’infrastructures et de cloud. Avec un tel partenariat, sur quoi est-il possible d’agir ? C’est une pratique d’entreprise étendue qui nécessite de prendre en compte ce qui se passe sur le terrain. Certains sujets émergent rapidement, comme celui de la double dotation matérielle. Par exemple, si un prestataire IT doit venir travailler pour EDF, nous lui fournissons un ordinateur, notamment pour des raisons de maîtrise des risques cyber. Cela a un impact sur l’empreinte de notre entreprise. De son côté, le prestataire fournit généralement un autre ordinateur à son salarié, avec un impact sur sa propre empreinte. C’est une situation que nous pouvons optimiser. De même, dans le cadre des revues de conception responsable pour les projets numériques, on constate que les leviers d’action se situent à la fois chez nous et chez nos prestataires. Aujourd’hui, les DSI sont fortement externalisées. Elles ne pourront avoir un réel impact sans impliquer leurs prestataires à tous les niveaux. Cela demande non seulement de l’énergie pour agir, mais aussi d’innover dans les modes de collaboration avec les partenaires. Dans un monde où beaucoup ont tendance à exagérer leurs engagements et leurs résultats en matière de numérique responsable, ce partenariat constitue également un moyen de vérifier les actions entreprises. C’est d’ailleurs également pour cela que nous avons voulu dès le départ que toutes nos actions soient auditées et opposables.
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2025-02-07
Bulletin n° 16    A 2

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprise
mécénat
région GrandEst
Interêt :
tactique
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

L’opérateur Orange et l’association régionale des missions locales sont à la manœuvre. « En étroite collaboration avec les missions locales du Grand Est (fédérées au sein de l’association régionale des missions locales – ARML – du Grand Est), Orange souhaite accompagner 2 000 stagiaires de la Grande région, à travers différents ateliers numériques afin de leur permettre de se familiariser au monde numérique et développer leurs compétences », indique l’opérateur de télécommunications. Il s’appuie pour ce faire sur son programme « Orange Digital Center » qui vise à favoriser l’inclusion numérique.
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Un large catalogue d’ateliers gratuits et accessibles à tous est proposé : protéger ses données personnelles, découvrir les réseaux sociaux, prendre en main son smartphone ou encore éviter les arnaques en ligne. 28 ateliers sont ainsi programmés en Moselle pour plus de 300 bénéficiaires. Après Dieuze et Sarrebourg, des ateliers sont programmés dans les antennes (Mission Locales) de Freyming-Merlebach (de 9 h 30 à 12 heures) et de Forbach de 14 heures à 16 heures) le jeudi 23 janvier 2025 pour aborder les thèmes comme « protéger ses données personnelles » ou « éviter les arnaques en ligne » (23 janvier, puis en mars et en mai). Suivront Sarrebourg (le 2 avril) et Dieuze (le 14 avril).
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
politique
technologique

Une conférence de présentation d’AMALIA 2.0, le nouveau portail des associations d’Alsace et de Moselle, s’est tenue ce mardi 28 janvier 2025 à la cour d’appel de Metz. Ce service numérique a pour vocation de simplifier la vie des membres des 90 000 associations répertoriées sur le territoire, en leur permettant de gérer leurs démarches administratives directement en ligne et en quelques clics. Lucile CHARBONNIER, ministère de la justice (DSL AccorJ), Marie JONGA, ministère de la Justice (SG), Christophe MACKOWIAK, premier président de la cour d’appel de Metz, François PERRAIN, procureur général, Patrick WEITEN, président du département, et Julien MILLET, directeur général de l’EPELFI.
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Lancé en janvier 2023, le service AMALIA était initialement un outil de gestion destiné aux greffiers et aux magistrats. Avec sa version 2.0, il s’enrichit de nouvelles fonctionnalités et s’ouvre au grand public. Il permet maintenant aux particuliers de créer une association, de mettre à jour ses statuts, de modifier les informations du bureau ou de régler des formalités administratives sans avoir à se déplacer au tribunal, grâce à un profil responsable certifié par le contrôle du greffier. Les citoyens peuvent consulter les informations relatives aux associations à distance et même demander la numérisation de dossiers papier encore indisponibles, grâce au travail mené en coulisse par l’Établissement Public d’Exploitation du Livre Foncier Informatisé (EPELFI). Près de 850 mètres linéaires de dossiers papier ont déjà été numérisés, et le travail continue. La nouvelle version apporte son lot de nouveautés, mais elle ne permet pas encore de connexion entre les systèmes locaux et nationaux, comme le précise Julien MILLET, directeur général de l’EPELFI, lors de la présentation du portail à notre micro : SoundCloud de TOUT-METZ.com « Le droit local est très ancien. Il date de 1929, mais avec des dispositions encore plus anciennes », rappelle Christophe MACKOWIAK, premier président de la cour d’appel de Metz. Face aux révolutions successives, tant technologiques que sociales, il est indispensable de l’adapter pour répondre aux besoins contemporains. La construction d’AMALIA s’est avérée complexe, mais, pour le premier président, l’effort est justifié au vu des bénéfices pour le grand public et les tribunaux. Son intervention est à retrouver ici : SoundCloud de TOUT-METZ.com Le président du département, Patrick WEITEN, présent lors de la conférence de presse, a rappelé son attachement au droit local et s’est dit heureux du déploiement de cet « outil fantastique » qui « démontrera à la vieille France et à tous les départements que le droit local est un avantage » et « une ressource incommensurable pour l’ensemble de la communauté d’action de l’Alsace et de la Moselle ». Article original : Le droit local entre dans l’ère du numérique et ça va simplifier la vie des associations
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    B 3

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

XRP établit une nouvelle norme dans les monnaies numériques avec une approche axée sur la durabilité, se distinguant des autres actifs numériques comme le Bitcoin grâce à un protocole de consensus respectueux de l’environnement qui réduit considérablement la consommation d’énergie. Le Trust XRP de Grayscale met en avant son rôle dans la promotion d’un avenir plus vert, offrant aux investisseurs une alternative économe en énergie dans les investissements en monnaies numériques.
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XRP améliore l’accès financier en permettant des transactions plus rapides et rentables, ce qui est crucial pour la croissance économique dans les pays en développement. Les grandes institutions financières bénéficient des innovations de XRP, offrant des opportunités de réduction des coûts tout en maintenant la sécurité, jouant ainsi un rôle dans la démocratisation de la finance mondiale. XRP se positionne à l’avant-garde d’un avenir économiquement et écologiquement conscient, alignant la croissance financière avec la responsabilité environnementale. Émergent en tant que pionnier dans le monde dynamique des monnaies numériques, XRP redéfinit le paysage financier avec une vision pour un avenir durable. Alors que l’attention se tourne vers le Trust XRP de Grayscale, il est clair qu’il ne s’agit pas seulement de raviver l’intérêt pour les actifs numériques ; il s’agit de tracer un chemin vers une ère économique plus verte. Pionnier de la technologie verte Alors que le Bitcoin fait face à des critiques pour son processus de validation énergivore, XRP se distingue par un protocole de consensus respectueux de l’environnement. En employant des nœuds sélectionnés pour la validation des transactions, XRP réduit considérablement la consommation d’énergie, offrant une alternative d’investissement durable. Cette efficacité énergétique est cruciale dans le monde conscient du climat d’aujourd’hui, et XRP se positionne pour être la référence en matière d’investissement responsable sur le plan environnemental. Franchir les barrières de la finance mondiale L’impact de XRP va au-delà des avantages environnementaux. Il facilite des transactions plus rapides et plus rentables, abaissant les obstacles financiers pour les régions en développement. Cette capacité permet aux communautés de participer plus largement à la finance mondiale. Les grandes institutions financières ont tout à gagner des innovations de XRP, qui permettent de réduire les coûts sans sacrifier la sécurité. Cette démocratisation de la finance promet une revitalisation économique dans les pays en développement. Un nouvel horizon pour la finance XRP est plus qu’une avancée technologique—c’est une lumière guide pour un avenir économiquement et écologiquement conscient. Alors que les économies mondiales s’adaptent, XRP est prêt à mener avec des monnaies numériques qui privilégient à la fois la croissance et l’intégrité écologique. Adoptez cette nouvelle ère où l’avancement financier s’aligne avec la gestion environnementale, ouvrant la voie à un demain plus lumineux et plus vert. XRP est-il l’avenir de la cryptomonnaie écologique ? Découvrez son potentiel et ses défis Comment l’efficacité énergétique de XRP se compare-t-elle à celle du Bitcoin ? Efficacité énergétique : XRP attire l’attention principalement en raison de son protocole de consensus respectueux de l’environnement. Contrairement au Bitcoin, qui repose sur un minage énergivore, XRP utilise une méthode rationalisée impliquant des nœuds sélectionnés pour la vérification des transactions. Cela réduit considérablement son empreinte carbone, faisant de XRP un leader dans les solutions de cryptomonnaie durables. Comparé au Bitcoin, XRP nécessite seulement une fraction de l’énergie, ce qui est crucial pour un marché financier éco-conscient. Quelles sont les principales implications financières de XRP ? Franchir les barrières financières : XRP excelle non seulement dans les aspects environnementaux mais joue également un rôle transformateur dans la finance mondiale en permettant des transactions plus rapides et rentables. Cela est particulièrement bénéfique pour les régions en développement, offrant un moyen de participation accrue à l’économie mondiale. Pour les grandes institutions financières, XRP représente une opportunité de réduire les coûts tout en maintenant des mesures de sécurité robustes, contribuant ainsi à la démocratisation de la finance à travers le monde. Quels défis XRP doit-il relever pour diriger le marché des monnaies numériques ? Défis et controverses : Malgré son potentiel, XRP fait face à des obstacles tels que la surveillance réglementaire et la concurrence d’autres cryptomonnaies. De plus, le scepticisme général autour des cryptomonnaies constitue un obstacle à l’adoption généralisée de XRP. Pourtant, alors que les marchés s’adaptent, l’accent mis par XRP sur la croissance alignée avec l’intégrité écologique le positionne de manière unique pour relever ces défis. Liens connexes – Ripple – En savoir plus sur XRP et sa société mère Ripple. – CoinDesk – Pour les dernières nouvelles et analyses sur les cryptomonnaies, y compris XRP. – CNBC – Actualités financières à jour et tendances du marché affectant les monnaies numériques et la finance mondiale. En conclusion, XRP se distingue non seulement en tant que monnaie numérique, mais en tant que pionnier pour un avenir financier durable et inclusif. Son rôle dans la réduction de la consommation d’énergie et la facilitation d’un accès plus facile à la finance mondiale pourrait définir le prochain chapitre de l’industrie des cryptomonnaies. Reste à voir s’il surmontera les défis, mais sa vision pour une économie plus verte présente un argument convaincant pour son potentiel de domination sur le marché.
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2025-02-07
Bulletin n° 16    B 3

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Au Congo, le mouvement armé M23 soutenu par le Rwanda s’est emparé de la ville de Goma, capitale d’une province riche en minerais stratégiques. Indispensables aux smartphones, ils alimentent ce conflit meurtrier et écocidaire. C’est un tournant dans la guerre qui ravage l’est de la République démocratique du Congo (RDC) depuis trente ans. Dimanche 26 janvier, des combattants du Mouvement du 23 mars (M23), un groupe armé antigouvernemental, appuyés par 3 000 à 4 000 soldats rwandais, sont entrés dans Goma, la capitale de la province du Nord-Kivu où vivent un million de personnes. Au cœur de ce conflit, les « minerais de sang » — coltan, nickel, étain et or — indispensables à la fabrication des équipements électroniques et notamment des smartphones. Reporterre fait le point avec Fabien Lebrun, chercheur en sociologie et auteur de Barbarie numérique. Une autre histoire du monde connecté (L’Échappée, octobre 2024).
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Reporterre — Quel est le lien entre le conflit à l’est de la RDC et les minerais utilisés pour fabriquer nos smartphones ? Fabien Lebrun — Au cœur de cette guerre se trouvent les minerais de sang, aussi appelés minerais de conflits : le coltan, le nickel, l’étain et l’or. Le coltan est transformé en tantale, indispensable à la fabrication des condensateurs pour smartphones : sans ce métal très résistant à la chaleur et à la corrosion qui permet la miniaturisation des composants, les téléphones chaufferaient tellement qu’ils pourraient prendre feu. Or, les deux tiers des réserves mondiales de coltan se trouvent dans et à l’est du Congo. L’Afrique des Grands Lacs — Congo et Rwanda confondus — en assure la moitié de la production mondiale. L’est du Congo est également riche en cassitérite, dont provient l’étain indispensable pour les soudures des circuits électroniques ; en wolfram, ou tungstène, qu’on retrouve dans les vibreurs et les haut-parleurs des téléphones portables ; et en or, dont l’industrie numérique siphonne 10 % de l’extraction mondiale pour la fabrication de ses cartes mères et ses circuits imprimés. Depuis la première guerre de 1996, ces minerais occupent une place dans ce qu’on peut appeler une économie de guerre, une économie militarisée qui perdure à ce jour. Depuis avril dernier, les rebelles du M23 contrôlent la zone minière de Rubaya, qui fournit 15 % du coltan mondial. Quel intérêt stratégique y trouvent-ils ? En contrôlant administrativement la zone, le M23 peut élaborer tout un système de taxes et ainsi financer le conflit. D’après un rapport de l’ONU, le groupe exporte désormais 120 tonnes de coltan par mois et les taxes qu’il prélève sur la production lui assurent un revenu d’environ 800 000 dollars mensuels. D’un point de vue économique et financier, les intérêts sont importants. Le M23 est soutenu par l’armée rwandaise. Depuis plusieurs années, le président de la RDC Félix Tshisekedi accuse le Rwanda de convoiter ses ressources en minerai. Quel rôle ont ces ressources dans l’aggravation des tensions géopolitiques dans la région ? Ces métaux sont, si ce n’est la principale cause, au moins un déterminant important dans l’instabilité de la région des Grands Lacs. L’exploitation et la commercialisation de ces minerais de sang structurent l’économie, l’industrie et la politique de la région. Elles produisent une rente qui enrichit les élites et favorise la corruption. On parle beaucoup du Rwanda, plaque tournante pour ces minerais indispensables aux équipements électroniques, mais l’Ouganda et dans une moindre mesure le Burundi sont aussi dans le coup. L’État congolais lui-même est en partie responsable de la situation : 2 000 kilomètres séparent Goma de la capitale, Kinshasa, et les institutions étatiques y sont absentes. Quelles sont les conséquences humaines et écologiques de l’industrie minière pour les habitants du Nord-Kivu ? Depuis le milieu des années 1990, début de la révolution numérique, le coût humain et écologique de ce conflit autour des minerais de sang est démentiel. Avant même le regain de violence des trois dernières semaines, les analystes parlaient de plusieurs millions de morts, de 7 millions de déplacés dans des conditions terribles et de 4 millions de réfugiés qui ont fui le Congo. Près de 30 millions de Congolais sont en situation de malnutrition aiguë. Au-delà du conflit, le bilan écologique est dévastateur. Les terres du Nord-Kivu, fertiles et qui auraient pu bénéficier à l’agriculture locale, ont été saccagées par les activités minières. L’air est pollué d’effluves toxiques. « À certains endroits, il n’y a plus de vie aquatique » L’industrie minière est aussi en partie responsable de la destruction de la forêt du bassin du Congo, deuxième massif forestier tropical mondial crucial dans la lutte contre le changement climatique. Les espèces en voie d’extinction qui y vivent — gorilles des montagnes, bonobos, rhinocéros — sont massacrés par les groupes armés qui contrôlent les activités minières. Mais la première victime de l’extractivisme est l’eau, comme l’explique l’ingénieure à SystExt Aurore Stéphant. Cela se vérifie au Congo, avec des centaines de kilomètres de cours d’eau contaminés aux métaux lourds — plomb, cadmium, etc. Le fleuve Congo est touché, ainsi que les nappes phréatiques. À certains endroits, il n’y a plus de vie aquatique. L’appétit des États occidentaux et des multinationales de la tech pour ces ressources n’est pas étranger à ce désastre… Cela fait des décennies que la responsabilité de l’industrie numérique dans la déstabilisation de la RDC est pointée du doigt. Mi-décembre, le président de la RDC a porté plainte contre Apple pour recel de crime de guerre, blanchiment de faux et tromperie des consommateurs. Déjà, en 2019, l’organisation internationale Right Advocates avait lancé une action collective contre Apple, Microsoft, Tesla, Google et Dell, qu’elle accusait de profiter du travail d’enfants dans les mines de cobalt congolaises. Malheureusement, la plainte n’avait pas abouti. « La production de masse de la Playstation 2 de Sony avait entraîné une ruée vers les activités minières » En 2016, Amnesty International et Afrewatch accusaient de grandes marques électroniques comme Apple, Samsung et Sony d’acheter du cobalt à des négociants s’approvisionnant dans des mines où travaillent des enfants. En 2000, la flambée des prix du coltan, alimentée par la production de masse de la Playstation 2 de Sony, avait entraîné une ruée vers les activités minières à l’est de la RDC avec des conséquences très néfastes pour les communautés. Or, les États appuient bien souvent ces multinationales. En février, Bruxelles et Kigali signaient un accord pour un approvisionnement « durable » de l’Union européenne en minerais critiques. Alors qu’on sait très bien que 90 % des minerais de sang qui sortent du Rwanda proviennent du Congo ! Peut-on parler de néocolonialisme ? L’extractivisme est la pratique coloniale historique par excellence. Dès le XVI? siècle, les conquistadors ont pillé l’or et l’argent des Amérindiens, qu’ils ont exterminés. Cet épisode a été un tournant pour l’enrichissement des États occidentaux et la naissance du capitalisme et de la mondialisation. Les activités minières, polluantes, génératrices de conflits sociaux, d’usages des terres et de l’eau, étaient sorties de nos imaginaires. Mais depuis trente ans, on assiste à un regain de l’extractivisme pour alimenter la révolution numérique. Il est évident que l’accord qui permet à l’Union européenne de piller la RDC en passant par le Rwanda est typiquement néocolonial. De même que la mainmise de la Chine sur le cobalt et le cuivre congolais. On pourrait parler de technocolonialisme. Que faudrait-il faire pour aider la région du Nord-Kivu à s’apaiser ? Nous ne pourrons pas diminuer la pression minière dans la région des Grands Lacs sans décroissance minérale et métallique. Pour être solidaires avec les Suds, il faudra forcément acheter moins et favoriser des appareils plus durables et mieux réparables. Réduire notre demande en métaux rares va aussi impliquer d’avoir des outils moins rapides, moins performants. C’est tout notre quotidien numérique et la numérisation à marche forcée qui sont à revoir.
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2025-02-07
Bulletin n° 16    a 3

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Les nouveaux défis de la Chambre de métiers et de l’artisanat Terrifortaine

Lors d’une cérémonie qui s’est tenue ce lundi 20 janvier en début de soirée à Meroux-Moval à la Jonxion, chambre interdépartementale d’agriculture, chambre de commerce et d’industrie et chambre de métiers et de l’artisanat ont présenté leurs vœux. Dans la continuité, d’une certaine manière, de la rentrée du tribunal de commerce de l’Aire urbaine, organisée en fin de matinée ce même lundi à Belfort. Aux vœux des chambres consulaires, entre les discours de Georges Flotat, vice-président de la Chambre interdépartementale...
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2025-02-07
Bulletin n° 16    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

L’empreinte environnementale du numérique, déjà élevée, continue de croître de façon exponentielle, menaçant autant le climat et la biodiversité que les efforts de transition écologique. Dans un avis publié en janvier 2025, l’ADEME préconise un développement plus responsable de ce secteur.
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La matérialité du virtuel Pendant longtemps, le passage au numérique était mis en avant comme un geste écologique, qui évitait les impressions sur papier et les déplacements. Mais il s’est vite accompagné d’une surconsommation d’équipements. « Chaque rupture technologique induit la commercialisation de nouveaux appareils, que les entreprises et les ménages achètent, soit pour remplacer prématurément les anciens, soit en complément, constate Raphaël Guastavi, directeur adjoint Économie circulaire de l’ADEME. Or, leur fabrication nécessite de l’énergie, de l’eau et des matières, comme des métaux, dont l’extraction minière est émettrice de gaz à effet de serre, source de pollution et de perte de biodiversité. » Sans parler du manque de souveraineté de l’Union européenne sur certains métaux stratégiques, dont la Chine détient le monopole. En plus du besoin de sobriété, il faut développer le recyclage des déchets d’équipements électriques et électroniques (D3E), pour limiter les risques d’indisponibilité de ces ressources. Une pénurie serait non seulement problématique pour le secteur, mais surtout pour la transition écologique, puisque la décarbonation de l’énergie et de l’industrie s’appuie sur ces mêmes matières. L’emballement des usages En deux ans à peine, l’empreinte carbone du numérique en France a doublé, passant de 17 à 29,5 MtCO2e par an. Cela s’explique par la prise en compte d’enjeux qui n’avaient pas encore été identifiés lors de la précédente étude, comme l’hébergement de nos données dans des data centers à l’étranger. Cela s’explique aussi par la multiplication et l’intensification de nos usages. Notre quotidien est fait de visioconférences, de réseaux sociaux, de streaming, de documents partagés sur des clouds… Et de nouveaux services digitaux ne cessent de s’y ajouter. « Si le numérique ne représente “que” 4 % des émissions de carbone dans le monde aujourd’hui, on assiste à un emballement très inquiétant, alerte Raphaël Guastavi. Il faut en prendre conscience. » D’autant qu’il y a des effets rebonds. Avec le télétravail, par exemple, des salariés choisissent de déménager loin de leur entreprise. Résultat : ils font moins de déplacements quotidiens, mais chaque trajet est plus long, ce qui revient sur l’année à davantage de kilomètres au total. Délocaliser son bureau à domicile requiert par ailleurs l’achat de matériel informatique supplémentaire. Surtout, les derniers chiffres publiés par l’ADEME portent sur le numérique en 2022, soit avant l’avènement de l’intelligence artificielle (IA) générative. Le poids de l’intelligence artificielle Le numérique représente déjà 4,4 % de l’empreinte carbone de la France. Cela pourrait être trois fois plus en 2050 si des mesures pour limiter son impact ne sont pas prises. Les IA génératives comme ChatGPT ou Midjourney suscitent un tel enthousiasme qu’elles s’invitent dans tous nos outils : moteurs de recherche, smartphones… Les data centers se multiplient partout dans le monde pour les faire fonctionner. Résultat : l’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit une hausse de plus de 75 % de leur consommation électrique d’ici à 2026. « En deux ans ! Pas en dix ni vingt ans, souligne Mathieu Wellhoff, chef du service Sobriété numérique à l’ADEME. Les géants du secteur reconnaissent eux-mêmes qu’ils auront du mal à remplir leurs engagements climatiques. » Microsoft, dont les émissions de CO2 ont augmenté de 13 % depuis 2020, vient de relancer la centrale nucléaire de Three Mile Island, vieille de plus de 50 ans, pour sécuriser ses approvisionnements en électricité. Google mise sur le développement des miniréacteurs nucléaires (Small Modular Reactors), alors que cette technologie est encore loin d’être éprouvée. D’autres comptent sur la construction de centrales nucléaires plus classiques, sachant qu’aucune ne peut sortir de terre en deux ans. En attendant, les États relancent leurs centrales à charbon. Au rythme actuel, certains spécialistes se demandent s’il y aura assez d’énergie pour tout le monde en 2030. Même chose pour l’eau, utilisée pour refroidir les data centers : en cas de restriction, doit-on privilégier les besoins du numérique ou ceux de l’agriculture ? Que faire pour limiter l’impact ? Prolonger la durée de vie des appareils et résister aux sirènes de la nouveauté est la réponse la plus évidente à cette question. « Pourquoi changer de téléphone au bout de deux ans, ou même quatre, si le nôtre fonctionne encore et répond déjà à nos besoins ?, s’interroge Mathieu Wellhoff. Quand on doit absolument renouveler nos équipements, les appareils reconditionnés sont une bonne option. Mais cela ne doit pas être une excuse pour en changer souvent, au risque de rendre la revente trop facile et d’inciter les acheteurs de première main à surconsommer. » Par ailleurs, du côté des fabricants, il y a un travail à faire sur l’obsolescence. « Plutôt que de mettre chaque année de nouveaux modèles sur le marché, les marques devraient accompagner la montée en puissance du reconditionnement industriel, en améliorant la réparabilité de leurs produits. L’écoconception devrait, par ailleurs, contribuer à la fabrication d’appareils plus fiables, avec de meilleures performances énergétiques, et plus faciles à recycler. » À consommer avec modération L’écoconception et l’allongement de la durée de vie des appareils ne suffiront pas à compenser notre consommation effrénée de services numériques. L’ADEME invite donc à prioriser nos usages. « Il n’est pas question de supprimer tous les outils et services digitaux », rassurent Raphaël Guastavi et Mathieu Wellhoff. Certains sont des opportunités pour l’écologie : ils aident, par exemple, une collectivité à mieux gérer son éclairage, une industrie à faire de la maintenance préventive et un agriculteur à optimiser son arrosage. En revanche, il y a de fausses bonnes idées, susceptibles de retarder les efforts nécessaires à la transition écologique. Ainsi, dans l’industrie, ce n’est pas un nouvel outil de pilotage énergétique qui va réduire le bilan carbone d’une usine, si rien n’est fait pour en isoler les conduits de vapeur ou électrifier les chaînes de production. Du côté des consommateurs, l’ADEME recommande plus de sobriété numérique. « Le message est d’autant plus difficile à faire passer que beaucoup de gens sont encore dans l’idée que le virtuel est dématérialisé, donc écologique, reconnaît Mathieu Wellhoff. C’est un gros changement culturel à opérer. »
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    C 1

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
technologique

La transformation digitale écologique n’est pas seulement une tendance, c’est une nécessité pour préserver notre planète. Les entreprises doivent intégrer les technologies numériques tout en adoptant des pratiques durables. En mettant en lumière des stratégies concrètes et des études de cas inspirantes, cet article dévoile comment la science et l’innovation peuvent s’allier à la protection de l’environnement. Agir maintenant profite à la fois aux affaires et à notre avenir commun.
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Transformation numérique et écologie L’importance d’une transformation numérique durable se révèle essentielle pour la durabilité environnementale. De nos jours, l’enjeu est de minimiser l’empreinte environnementale des opérations numériques tout en maximisant les avantages de l’innovation technologique. En adoptant des stratégies écoresponsables, comme celle de United Solutions, les entreprises peuvent réduire de manière significative leur impact environnemental du numérique. A découvrir également : Quels sont les meilleurs systèmes de gestion de maison intelligente pour les novices en technologie ? L’analyse de l’impact écologique du numérique montre que les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont responsables de 3 à 4 % des émissions globales de gaz à effet de serre. Avec l’essor des appareils IoT, cette empreinte est en constante augmentation. Cependant, une gestion judicieuse des ressources numériques pourrait changer cette dynamique. Par exemple, la réduction de la consommation électrique des plateformes numériques est cruciale, car l’Internet représente déjà le troisième plus grand consommateur d’électricité mondiale. En évaluant l’empreinte carbone numérique, les entreprises doivent adopter des pratiques innovantes pour limiter la pollution numérique. Les entreprises écoresponsables investissent dans le recyclage des appareils électroniques pour réduire les déchets électroniques et adoptent des solutions numériques plus vertes pour favoriser une économie circulaire. Dans le meme genre : Comment bien adopter le chatbot français ? Stratégies pour une transformation digitale écologique Adoption d’outils technologiquement responsables Les outils numériques éco-responsables sont cruciaux pour réduire l’empreinte carbone numérique. Favoriser les logiciels écoresponsables et miser sur des plateformes collaboratives allège les charges environnementales liées à la communication et la gestion des données. Des pratiques telles que la désactivation des vidéos en lecture automatique et l’emploi de navigateurs plus légers diminuent les consommations d’énergie. Mise en œuvre de l’efficacité énergétique dans les infrastructures IT Optimiser l’efficacité énergétique des infrastructures informatiques nécessite une approche systématique. L’utilisation de centres de données verts, répondant aux normes ISO dédiées, est indispensable pour diminuer la consommation énergétique et l’impact carbone. De plus, rationaliser l’utilisation des équipements numériques et mettre en place des stratégies de « sobriété numérique » peuvent considérablement alléger les coûts énergétiques et environnementaux. Solutions numériques et leur rôle dans la durabilité Les solutions numériques doivent être intégrées dans une démarche d’innovation écologique. Le cloud computing durable et les outils d’analyse d’impact environnemental permettent aux entreprises de suivre et de réduire leurs émissions numériques. Cette transformation numérique verte inclut aussi l’emploi de technologies améliorant le suivi des consommations et encourageant une utilisation plus durable et responsable des ressources. Études de cas et exemples de succès Études de cas d’entreprises ayant réussi leur transformation numérique écologique Les entreprises écoresponsables se distinguent par leur capacité à intégrer des technologies vertes et des pratiques durables dans leur modèle économique. Un exemple probant est la transformation de United Solutions. Engagée dans la réduction de son empreinte carbone numérique, cette entreprise a opté pour la dématérialisation et des audits green IT. Leur approche met en valeur des projets participatifs où chaque employé contribue à financer des initiatives écologiques. Innovations dans la gestion des ressources par les entreprises numériques L’efficacité énergétique et numérique est une priorité. De nombreuses entreprises investissent dans l’écopraticité de leurs centres de données. En adoptant le cloud computing durable, elles minimisent non seulement le coût énergétique, mais aussi l’impact environnemental du numérique. Ces innovations assurent une gestion optimale des ressources tout en soutenant la transition énergétique et digitale. Meilleures pratiques pour une éthique numérique et durabilité Les pratiques comme le « slow content », où la stratégie met l’accent sur la qualité, contribuent fortement à une transformation numérique responsable. Utiliser des outils numériques pour la durabilité, tels que la réduction des tailles d’image sur les sites web, est essentiel. Ces ajustements ne visent pas seulement la réduction des émissions numériques, mais participent aussi à une éthique numérique plus forte. Défis et solutions dans la transformation digitale durable Identification des obstacles à la transition écologique numérique Les défis de la mise en œuvre de la transformation numérique écologique sont nombreux. L’empreinte carbone numérique est élevée, notamment en raison de la fabrication des appareils, qui représente 7 % de l’empreinte. La production d’un ordinateur émet 35 kg de CO2, tandis que les plateformes numériques consomment 7 à 10 % de l’électricité mondiale. L’élimination des déchets électroniques est aussi préoccupante, avec 175 000 tonnes de e-déchets générés chaque année. Stratégies pour favoriser la coopération entre entreprises Pour une transition réussie, la coopération inter-entreprises pour une écologie digitale est essentielle. L’idée est de mutualiser les efforts pour développer des solutions numériques écologiques. Par exemple, fixer des normes communes pour réduire les émissions numériques et promouvoir l’usage de centres de données écologiques certifiés ISO. Importance de la sensibilisation et de l’éducation sur les pratiques numériques durables La sensibilisation à la transformation digitale durable est cruciale. Les utilisateurs doivent être conscients de l’impact environnemental du numérique, et les entreprises doivent intégrer cette éducation dans leur culture. Des pratiques comme le « slow content » et l’utilisation modérée des ressources numériques, sont des étapes vers un changement durable
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veilleur1
2025-02-07
Bulletin n° 16    A 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
social
technologique

Pi Network utilise les smartphones pour le minage de cryptomonnaies écologique, réduisant la consommation d’énergie. Il favorise l’inclusivité financière en offrant un accès à la monnaie numérique dans les régions manquant de systèmes bancaires traditionnels. Un modèle de gouvernance axé sur la communauté renforce la transparence et la confiance des utilisateurs au sein du réseau. Pi Network illustre une vision où la technologie s’aligne avec des objectifs environnementaux et sociaux. Il illustre un avenir de cryptomonnaie qui intègre l’innovation avec le soin écologique et social. Dans une ère numérique où la conscience écologique est cruciale, un nouveau héros émerge dans le monde des cryptomonnaies. Découvrez Pi Network, le perturbateur écologique qui redessine audacieusement le paysage financier en n’utilisant rien d’autre que votre smartphone.
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Révolutionner le Minage Se détachant des traditions énergivores, Pi Network est à l’avant-garde d’un rafraîchissant changement dans le minage de cryptomonnaies. Utilisant des smartphones—non seulement accessibles mais aussi écoénergétiques—Pi Network réduit la consommation d’énergie et diminue les dommages environnementaux. Cette approche ingénieuse annonce une nouvelle ère pour la monnaie numérique écologique. Favoriser l’Accès Mondial Au-delà de sa mission environnementale, Pi Network est une porte d’entrée vers la liberté financière, ouvrant des voies à l’implication économique mondiale. Exploitant l’ubiquité de la technologie mobile, il abolit les barrières, accueillant ceux des régions où les services bancaires traditionnels sont rares. Ce mouvement libère un potentiel inexploité, favorisant l’inclusivité financière dans les zones mal desservies. Révolution Axée sur la Communauté Pi Network étend son impact au-delà de l’économie en promouvant un modèle de gouvernance ancré dans l’engagement communautaire. Les utilisateurs ont leur mot à dire dans la prise de décisions, favorisant la transparence et la confiance. Cette décentralisation ouvre la voie à un avenir dicté par le collectif plutôt que par des entités hiérarchiques. Une Vision pour l’Avenir Alors que les défis mondiaux s’accumulent, Pi Network offre une vision de la manière dont la technologie peut s’harmoniser avec les objectifs environnementaux et sociaux. C’est un témoignage d’un avenir où l’innovation renforce les économies et protège notre planète. Pi Network se présente comme un précurseur, illustrant ce que l’avenir de la cryptomonnaie peut être : un mélange de technologie, de soin écologique et d’inclusivité sociale. Alors que les économies numériques se profilent à l’horizon, les principes de Pi Network pourraient redessiner le paysage technologique pour les générations à venir. Pi Network est-il la Révolution Cryptomonnaie que Nous Attendions ? Comment Pi Network Atteint-il l’Efficacité Énergétique ? Pi Network atteint l’efficacité énergétique grâce à son approche unique du minage de cryptomonnaies. Contrairement aux méthodes de minage traditionnelles qui nécessitent une puissance de calcul et des ressources énergétiques significatives, Pi Network utilise un processus qui permet aux utilisateurs de miner des pièces Pi directement depuis leurs smartphones. Cette méthode innovante réduit considérablement la consommation d’énergie et l’impact environnemental. En utilisant la puissance de la technologie mobile, Pi Network réduit significativement la consommation d’électricité par rapport aux méthodes conventionnelles comme le minage de Bitcoin, qui repose sur des opérations énergivores. Quelles Sont les Limitations et les Défis Rencontrés par Pi Network ? Malgré son approche innovante, Pi Network fait face à plusieurs limitations et défis : – Manque de Négociabilité : À l’heure actuelle, les pièces Pi ne sont pas cotées sur les principales plateformes d’échange de cryptomonnaies, ce qui rend difficile pour les utilisateurs de les échanger ou de les convertir en d’autres devises. – Surveillance Réglementaire : Opérant à l’échelle mondiale, Pi Network doit naviguer dans divers environnements réglementaires qui pourraient entraver son expansion. – Préoccupations en Matière de Sécurité : Bien que Pi Network promeuve la décentralisation, assurer la sécurité des transactions et des données reste un défi critique—surtout à mesure que le réseau se développe. Comment Pi Network Favorise-t-il l’Inclusivité Financière ? Pi Network favorise l’inclusivité financière en tirant parti de l’adoption généralisée de la technologie mobile, permettant aux individus dans des régions avec un accès limité aux systèmes bancaires traditionnels de participer au marché des cryptomonnaies. Il fournit une plateforme accessible pour que les utilisateurs s’engagent dans des activités financières en utilisant uniquement leurs smartphones. Cette inclusivité démocratise la participation financière, réduisant potentiellement les disparités économiques et offrant de nouvelles opportunités aux individus dans les zones mal desservies. Liens Associés Pour plus d’informations sur les cryptomonnaies écoénergétiques et d’autres innovations technologiques dans le domaine, vous pouvez visiter les liens suivants :
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veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

De plus en plus nombreuses sur le territoire français, ces devises alternatives apparaissent comme un nouveau levier pour développer circuits courts, économie de proximité et transition écologique.
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veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 1

#Principal :
technique métier
Interêt :
opérationnel
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
légal
politique
technologique

Le CyberDico de l’ANSSI liste, par ordre alphabétique, des mots, expressions et sigles du domaine de la cybersécurité. Il présente leur traduction ainsi que leur définition en français et en anglais.
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CyberDico de l'ANSSI Ce document de référence, vous permettra de parfaire votre connaissance cyber et de vous aider dans la rédaction de vos supports. Le CyberDico évolue et est mis à jour régulièrement. Le CyberDico change de forme, retrouvez la nouvelle version du CyberDico


veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 1

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
région GrandEst
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique
Non Classés :
agenda

Réservez dès maintenant ces dates dans vos agendas pour la 5ème édition de la Semaine des Achats Socialement et Ecologiquement Responsables (SASER) qui se tiendra du 19 au 23 mai 2025. Un événement incontournable pour tous les acteurs de l'achat responsable ! ESS France organise le 16 janviez 2025 à 10h un webinaire de présentation de la semaine, destiné aux partenaires et futurs organisateurs. Présentation des objectifs et des outils mis à disposition pour accompagner les acteurs souhaitant organiser un événement sont au programme de ce webinaire. Ce sera également l'occasion d'échanger et de répondre aux questions des participants.
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veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
politique
social
technologique

33 ordinateurs reconditionnés pour réduire la fracture numérique

Enedis, PC Solidaire et Amli ont officialisé un partenariat novateur pour l’inclusion numérique et le réemploi informatique. Ensemble, ils ont remis 33 ordinateurs reconditionnés à des bénéficiaires en Moselle. Cette alliance entre Enedis, PC Solidaire et Amli met en lumière un modèle vertueux.


veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
Média :
actu
Papier
Objectif :
comprendre

Jugement d'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire ASSOCIATION PC SOLIDAIRE située à Colombey-les-Belles (54170) a été déclarée en Jugement d'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire par le TRIBUNAL JUDICIAIRE DE NANCY.
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Date : 23-09-2024 Jugement : Jugement d’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. Mandataire judiciaire : Me BRUART, 161, rue André Bisiaux, plateau de Haye, ZAC de Solvay, 54320 Maxeville. Les déclarations de créances sont à déposer au mandataire dans les deux mois à compter de la présente publication. Date de cessation de paiement : 30/04/2024. N° RG : 24/01840 Mandataire : Me BRUART, 161, rue André Bisiaux, plateau de Haye, ZAC de Solvay, 54320 Maxeville
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veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 1

#Principal :
exemples
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Type d’annonce légale : AUTRE JUGEMENT ET ORDONNANCE

Association LES PETITS DEBROUILLARDS GRAND EST Département : 54 - Meurthe-et-Moselle Date de publication : 17/12/2024 Support : www.tabletteslorraines.fr Référence : 91309522 TRIBUNAL JUDICIAIRE DE NANCY Par jugement du 16/12/2024, le Tribunal Judiciaire de NANCY a prononcé l'ouverture de la procédure de redressement judiciaire à l'encontre de l'Association LES PETITS DEBROUILLARDS GRAND EST, immatriculée sous le n° SIREN 449 666 148, demeurant 54 rue de Lorraine 54300 LUNÉVILLE-, a fixé la date de cessation des paiements au 01/03/2024 et a désigné Me BRUART en qualité de mandataire judiciaire (161 rue André Bisiaux - ZAC de Solvay, Plateau de Haye 54320 MAXEVILLE). Les déclarations de créances sont à déposer auprès du mandataire dans les 2 mois suivant publication au BODACC. Le Greffier.
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veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    C 3

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
RSE
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social

La fabrication d’un ordinateur portable de 2 kg émet 103kg de CO2, sur les 156 kg émis sur l’ensemble de son cycle de vie.

1. Acheter des équipements reconditionnés plutôt que neufs Près de 80 % des impacts du numérique sont liés à la fabrication des appareils électroniques. Cette dernière regroupe l’extraction des matières du sol, la transformation des minerais en métaux et la transformation de ces métaux en composants électroniques. Il est donc impératif de réduire la demande en équipements neufs afin de diminuer l’impact lié à leur production. Mais comment réduire sa demande tout en maintenant son activité ? C’est simple, en achetant les équipements dit « reconditionnés ». Ces derniers ont été envoyés dans un centre de recyclage. Ils y sont remis dans un état optimal après avoir déjà été mis sur le marché et utilisés. En plus de préserver l’environnement, le reconditionné vous permet de réaliser des économies considérables par rapport à l’achat d’équipements neufs. Acheter des équipements durables et réparables Si finalement l’achat d’un équipement neuf répond à un besoin réel, autant privilégier un produit qui répondra à votre besoin sur le long terme. Ainsi vous pourrez privilégier le choix d’un appareil dont la fabrication est respectueuse de l’environnement et dans l'idéal produit localement. Depuis le 1er janvier 2021 dans le cadre de la loi anti-gaspillage, le gouvernement français impose la mise en place d’un indice de réparabilité à afficher en magasin. En somme, plus l’indice est élevé, plus le produit est facile à réparer et plus son empreinte carbone sera faible ! De plus, il existe aujourd’hui des labels environnementaux pour vous aider à choisir le produit le plus durable et enfin passer au numérique responsable. Parmi eux, le Label EPEAT, l’écolabel nordique, l’ange bleu, le TCO ou encore l’écolabel européen. Ces derniers s’appliquent aux équipements résistants, réparables et qui bénéficient parfois d’une extension de garantie. Ceci devrait faciliter votre démarche au moment de l’achat !
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veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 3

#Principal :
numérique responsable
#Secondaire :
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Une conférence intitulée "Au cœur des défis : construire un numérique responsable" a rassemblé quelque 150 personnes début décembre dans les locaux d’Envoi Insertion & Handicap à Colomiers. L’événement, ouvert plus particulièrement aux acteurs du numérique, visait à les sensibiliser et à les mobiliser sur les enjeux environnementaux et sociétaux du numérique, et à les amener à réfléchir et à échanger sur des solutions pour réduire leur impact.
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Cette conférence était animée par David Maenda Kithoko, président fondateur de l’association Génération Lumière. Depuis plusieurs années, ce dernier sensibilise le public aux liens profonds entre numérique, colonialisme, exploitation minière, et conflits en Afrique et plus particulièrement en République démocratique du Congo. Son expertise a révélé les enjeux géopolitiques, environnementaux et éthiques liés aux ressources naturelles utilisées dans les technologies d’aujourd’hui. A propos du smartphone, il précisera qu’il est composé de 35 métaux différents dont le cobalt extrait pour 70 % d’exploitations minières de RDC. Et en 2023, on dénombrait un milliard trois cents millions d’appareils dans le monde…
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veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 3

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
technique métier
Interêt :
stratégie
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique
Non Classés :
agenda

10/01/2025

https://www.frenchtechbordeaux.com/event/verdinum-fete-ses-1-an-venez-echanger-autour-du-numerique-responsable/


veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    B 1

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprise
mécénat
partenaires
RSE
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Pestel+ :
écologique
social
technologique
Non Classés :
appel à projets


veilleur1
2024-12-20
Bulletin n° 15    A 1

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
lecture
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Découvrez grâce à ce tableau de bord un état des lieux par département de l’inclusion numérique et ses chiffres clés.



veilleur1
2024-11-01
Bulletin n° 14    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
entreprises adaptées
partenaires
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Les personnes en situation de handicap sont-elles plus touchées par l’exclusion numérique ? C’est la question à laquelle Emmaüs Connect et La Croix-Rouge française répondent dans un rapport inédit, réalisé avec le soutien de l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) et de l’Association nationale de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées (Agefiph).
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Les deux associations posent un premier état des lieux de l’inclusion numérique des personnes présentant une déficience intellectuelle, des troubles du spectre autistique et/ou des troubles cognitifs ainsi que des premières pistes d’action. Ce projet vise à comprendre les besoins spécifiques de ces publics, pallier les lacunes en termes de ressources pédagogiques et d’accompagnement, identifier et/ou créer des ressources pédagogiques adaptées à destination de ces publics.
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veilleur1
2024-11-01
Bulletin n° 14    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
Papier
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique
Non Classés :
agenda

QUAND, OÙ ? le 10/10/2024 de 09h30 à 12h30 Le Shadok : Voir les autres événements 25 presqu’île André-Malraux Strasbourg ORGANISATEUR Le Shadok 03.68.98.70.35

Date limite de réservation : 10 octobre 2024. Lieu/site internet pour la réservation/l'inscription : https://shadok-strasbourg.eu/event/formation-pro-situation-exclusion-numerique/ TARIFS Gratuit


veilleur1
2024-11-01
Bulletin n° 14    C 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

La France s’impose en pionnière d’un numérique responsable en Europe, en multipliant les initiatives comme l’indice de réparabilité et les critères environnementaux obligatoires dans les marchés publics. Cette dynamique exemplaire influence déjà ses voisins et préfigure une harmonisation à l’échelle européenne. Par Barton Finn, Responsable des relations acheteurs chez TCO Development (l’organisation derrière TCOCertified, la certification de durabilité pour les produits informatiques)
...

L’harmonisation des législations au sein de l’Union européenne est un défi complexe, particulièrement dans le domaine du numérique. Cette difficulté à synchroniser les réglementations nationales engendre des disparités qui peuvent entraver le développement cohérent et efficace du marché européen. Malgré ces obstacles, il est intéressant de reconnaître que les avancées réalisées par certains pays membres peuvent jouer un rôle déterminant dans l’évolution globale de l’écosystème européen. En matière de numérique responsable, il semblerait bien que la France tienne un rôle majeur. La France a ouvert la voie vers un numérique plus responsable Forte d’une communauté du numérique responsable très dynamique, avec des groupes de travail tels que l’INR ou le collectif GreenIT.fr, qui n’ont pas d’égal en Europe, la France a été le premier pays de l’UE à mettre en place un indice de réparabilité pour les appareils électroniques, le 1er janvier 2021. Une initiative qui marque un tournant dans la façon dont ces produits sont achetés et consommés, en faveur d’un numérique plus responsable. Cet indice de réparabilité est une approche novatrice et initialement appliquée de manière volontaire. Mais le gouvernement a rapidement compris l’importance de rendre cette démarche obligatoire. L’objectif est d’atteindre 60 % de taux de réparation des produits électriques et électroniques d’ici 5 ans en France. Il ne s’agit pas seulement d’un pas en avant pour la France, puisque ce dispositif inspire les pays voisins, notamment la Belgique, qui a également mis en place un indice de réparabilité. Les travaux d’élaboration d’un indice de réparabilité européen pour les smartphones et les tablettes numériques devraient par ailleurs être appliquées mi-2025. En France, le secteur public est également déjà en ordre de marche depuis plusieurs années. Depuis 2020, la loi AGEC impose notamment aux administrations d’acheter 20% de leurs équipements en reconditionné. La même année, la Loi Climat et Résilience est entrée en vigueur, formalisant l’obligation d’intégrer des critères de développement durable dans les marchés publics, avec un objectif ambitieux : 100% des appels d’offres devront inclure des critères environnementaux d’ici 2026. L’année suivante, la loi REEN a ajouté une nouvelle dimension, obligeant les acheteurs publics à prendre en compte l’indice de réparabilité lors de l’achat de produits informatiques, afin de réduire l’empreinte environnementale du numérique. Ces réglementations sont cruciales pour faire avancer la lutte contre le dérèglement climatique et renforcer la résilience des organisations à son égard. En conséquence, les acheteurs sont montés en compétences et font progressivement évoluer leurs pratiques.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    C 3

#Principal :
culture numérique
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

L'entreprise iséroise Hardis Group annonce le lancement de son agent conversationnel alimenté par l'intelligence artificielle dédié au numérique responsable.


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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Dans un contexte de transformation numérique des entreprises et de croissance des usages, l’impact environnemental du numérique fait l’objet d’une prise de conscience sociétale forte qui appelle des réponses politiques. Cette demande a été, par ailleurs, clairement exprimée par les acteurs de la Convention citoyenne pour le climat. La transition écologique appliquée au numérique implique d’en connaitre son impact environnemental, d’agir pour un numérique plus sobre et réfléchi, tout en l’utilisant comme levier au service de la transition écologique.
...

SOMMAIRE La loi Anti gaspillage et économie circulaire (AGEC) La loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique (REEN) Le Haut Comité pour le numérique écoresponsable (HCNE) La Feuille de route gouvernementale « numérique et environnement » L’élaboration d’une feuille de route de décarbonation du secteur du numérique Le plan de sobriété du groupe de travail numérique La Stratégie d’accélération Numérique écoresponsable – France 2030 L’article 301 de la loi du 22 août 2021 dite « loi Climat et résilience » dispose que, pour chaque secteur fortement émetteur de gaz à effet de serre, une feuille de route est établie conjointement par les représentants des filières économiques, le gouvernement et les représentants des collectivités territoriales pour les secteurs dans lesquels ils exercent une compétence. Le numérique ne constitue pas un secteur au sens de la SNBC (Stratégie nationale bas carbone). Toutefois, ses émissions de GES ont fait l’objet d’études récentes soulignant leur importance et leur forte dynamique, nécessitant leur prise en compte par les pouvoirs publics à travers l’élaboration d’une feuille de route de décarbonation. La première étape des travaux de la feuille de décarbonation du numérique a démarré fin 2022, et s’est traduite, en juillet 2023, par une première proposition de feuille de route élaborée par les acteurs de la filière et adressée aux pouvoirs publics dans le cadre de la planification écologique. Cette proposition contribuera à l’élaboration d’un objectif d’évolution de l’empreinte carbone du numérique et d’un plan d’action associé dans le cadre de la prochaine SNBC. Ces travaux ont impliqué l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur, afin que chacun puisse identifier les différents leviers à sa portée pour diminuer l’empreinte carbone du secteur. Télécharger Proposition de feuille de route de décarbonation de la filière numérique PDF – 2.65 Mo Télécharger Synthèse proposition de feuille de route de décarbonation de la filière numérique PDF – 1.43 Mo
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Objectif :
savoir
Pestel+ :
politique
social
technologique

Véritable pilier de la politique nationale d’inclusion numérique, le dispositif Conseiller numérique (initialement intitulé Conseiller numérique France Services) a fait l’objet d’évaluations in itinere et ex post issues de deux programmes nationaux de recherche permettant de documenter son déploiement et d’évaluer son impact auprès de la population française. Ces recherches complètent les données d’activité des conseillers numériques en poste.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 2

#Principal :
concurence
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
économique
technologique

L’association Groupe SOS Seniors a remporté deux appels à projets pour créer une plateforme numérique basique. Entre 2018 et 2020, elle a obtenu plus d’un million d’euros en tout, en partie auprès du Département de la Moselle, qui ne profite pourtant pas de cette onéreuse innovation.
...

Sur le papier, l’idée était belle. Créer une plateforme numérique à destination des seniors isolés, pour les aider à « trouver du lien social », près de chez eux – le club de bridge le plus proche, un atelier de yoga… Une sorte d’annuaire en ligne, amélioré. À l’origine, le concept vient du Conseil départemental de Moselle. Nous sommes en 2018, et le Département lance un appel à projets pour concrétiser son idée. À la clé, un financement de 150 000€.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
politique
technologique

L’incubateur de l’Agence nationale de la cohésion des territoires a lancé un appel à projets à destination des collectivités. L’objectif : détecter les services numériques à fort potentiel pour mener à bien la transition écologique et les déployer plus largement sur tout le territoire.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 2

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
technologique

Il vise à remplacer nos bons vieux posters papier. Mais derrière ce gadget simple se cache un océan de nuances écologiques complexes.


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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
région GrandEst
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
légal
social
technologique



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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 2

#Principal :
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Les déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) constituent une parfaite illustration des enjeux économiques liés à la gestion de ce type de déchets. D’après le rapport publié en 2021 par l’Ademe, près d’un million de tonnes de DEEE ont été collectés sur le territoire, pour un taux de recyclage de 77%. Dans le même temps, ce sont 2,4 millions de tonnes d’équipements électriques et électroniques qui ont été mis sur le marché.
...

En termes d’évolution, le taux de collecte a augmenté de 17% depuis 2020, atteignant 49,8%, alors que les objectifs européens fixent un taux de 65% des appareils mis sur le marché. Pour ainsi dire, la France n’atteint donc pas les objectifs fixés par l’Europe. L’organisation de la filière EEE en filière REP – responsabilité élargie du producteur – a permis la mise en place et l’agrément, pour la période 2021-2027, d’éco organismes, financés par les producteurs de DEEE, qui vont assurer les opération de tri, collecte, dépollution, recyclage et valorisation des DEEE. A l’heure actuelle ces éco organismes sont au nombre de quatre : Ecosystem, Ecologic, Srelec (cartouches d’encre) et Soren (panneaux photovoltaïques). Leurs objectifs, à savoir la prise en charge de la responsabilité des producteurs concernant la fin de vie de leurs produits mis sur le marché et le développement de dispositifs de collecte et de traitement des déchets, principalement, les place au centre d’un écosystèmes d’acteurs : producteurs, distributeurs, importateurs, installateurs, acteurs de l’ESS, associations de consommateurs… dont il faut parvenir à coordonner les actions pour atteindre les ambitions de collectes des DEEE fixés au niveau européen.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 1

#Principal :
numérique responsable
technique métier
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
légal
technologique

Les pouvoirs publics ont mis en consultation deux projets d'arrêtés qui adaptent la responsabilité élargie des producteurs d'équipements électriques et électroniques à la gestion des batteries dans les DEEE.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    C 1

#Principal :
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
technologique

Les terres rares sont composées de 17 matières premières, découvertes à la fin du XVIIIe siècle en Suède, et possédant chacune des propriétés différentes. La Chine compte pour plus de 90% de la production mondiale de terres rares.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    C 1

#Principal :
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
technologique

Les MOFs : des éponges moléculaires sur mesure Au cœur de cette innovation se trouvent les MOFs (Metal-Organic Frameworks), des structures moléculaires ressemblant à des jeux de construction. Imaginez des Lego à l’échelle nanométrique, où chaque brique peut être modifiée pour changer les propriétés de l’ensemble.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
entreprise
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

Pékin a dévoilé samedi 29 juin une liste de réglementations sur ces ressources hautement stratégiques et dont elle est le premier producteur mondial. Ce nouveau signe de durcissement chinois met au défi l’Europe de rendre plus vite compétitive sa production locale tout en polluant le moins possible, explique Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
partenaires
RSE
Interêt :
opérationnel
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
Pestel+ :
écologique
technologique

En 2025, selon Canalis [1], 240 millions de PC ne pourront pas être reconditionnés faute de pouvoir y installer Windows 11.

Nous n’aborderons pas ici les alternatives possibles, en installant une distribution Linux par exemple. L’idée de cet article est plutôt de quantifier les impacts environnementaux liés à l’arrêt de la mise à jour de ce système d’exploitation et aux verrous à l’installation de Windows 11. Pour faire ce calcul, nous avons besoin de connaitre la répartition entre ordinateurs de bureau (desktop), ordinateurs portables (laptop) et “tablet PC” (tablet PC). C’est la suivante, en 2022, selon IDC ([2] : laptop : 60 % desktop : 29 % tablet PC : 11 %
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 3

#Principal :
culture numérique
exemples
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Vidéo
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
technologique

L'expert en cybersécurité Nicolas Arpagian décrypte, dans le 20 Heures du vendredi 19 juillet, la panne informatique mondiale survenue dans la journée. Selon lui, les conséquences de cette mise à jour manquée illustrent "notre dépendance numérique".
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
technologique

Dans la continuité de l’événement du 10 avril dernier « Impactez citoyens ! Transformer les politiques publiques avec les communs numériques » organisé par l’Accélérateur d’initiatives citoyennes, porté par la DINUM, de nombreux acteurs engagés ont présenté des projets innovants pour transformer les services publics et un documentaire a été publié pour communiquer avec pédagogie sur cette démarche inédite.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 2

#Principal :
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Après la liquidation de plusieurs acteurs de l’inclusion numérique, le hub territorial de Nouvelle-Aquitaine, Hubikoop, vient d’annoncer sa fermeture.


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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
RSE
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Afin d’agir sur les trois piliers de l’économie circulaire – l’écoconception, le réemploi et le reconditionnement – l’appel à projets Econum mobilise 6,5 millions d’euros d’aides pour accompagner quatre projets.
...

L’appel à projets « ECONUM – Soutien à une économie numérique innovante, circulaire et à moindre impact environnemental » vise à favoriser le développement d’une nouvelle filière. L’enjeu est d’agir sur trois piliers de l’économie circulaire : l’écoconception, le réemploi et le reconditionnement, et les modes de production responsables. Il est opéré pour le compte de l’État par l’ADEME et piloté par le Commissariat général au Développement durable, la Direction générale des Entreprises (DGE) et le Secrétariat général pour l’investissement. Il s’inscrit dans le cadre du plan France 2030 et de la stratégie d’accélération « Numérique écoresponsable » dont l’objectif est d’aider les acteurs du secteur à passer à une phase concrète d’engagement pour réduire l’impact environnemental du numérique. C’est dans ce contexte que quatre projets viennent d’être sélectionnés, pour un total de près de 6,5 millions d’euros d’aides.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
RSE
Média :
Vidéo
Web
Objectif :
agir
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
Non Classés :
agenda

Vous êtes une collectivité, et vous voulez valoriser les acteurs de l’économie circulaire sur votre territoire ? Aider vos concitoyens à mieux consommer ?

Nous vous partageons aujourd’hui deux outils de l’ADEME qui peuvent vous intéresser : * La carte des acteurs du réemploi, de la réparation et de la mutualisation * L’ assistant au tri, orientant vers les pratiques les plus responsables.


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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Vidéo
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique
Non Classés :
agenda

Mardi 19 novembre 2024 de 10h30 à 11h45

Réindustrialisation : l’ESS comme levier de croissance responsable et circulaire Quelles relations entre l’industrie et le secteur de l’ESS ? Comment les structures de l’ESS passent à l’échelle industrielle ? Quels sont les freins et les leviers au développement de coopérations industrielles et à l’augmentation de l’activité de ces structures ?


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2024-11-01
Bulletin n° 14    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique

A l’occasion de la Semaine Européenne de Réduction des Déchets (SERD), qui se déroulera du 16 au 24 novembre 2024, Evodia, en partenariat avec Vosges TLC, lance une grande collecte de textiles dans des entreprises implantées dans les Vosges.
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L’objectif de cette opération est de sensibiliser les Vosgiens aux enjeux du tri, du réemploi et du recyclage des textiles usagés et de leur faire découvrir, voire adopter, des solutions pour diminuer les impacts de l’industrie textile (qui reste la 2ème plus polluante au monde) : trier ses vêtements et les déposer dans les bornes textiles, les donner ou les vendre, les réparer, les transformer… mais aussi modifier ses habitudes de consommation et résister (quelque peu) à la fast fashion, dont les produits de piètre qualité sont aussi vite achetés que jetés. Pour vous inscrire à l’initiative, vous pouvez contacter Mme Krzywanski à l’adresse : laurencek@evodia.org
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 2

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
Podcast
Vidéo
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Vous avez un projet à impact social ou environnemental ? Vous souhaitez bénéficier d'un accompagnement personnalisé pour développer votre initiative et accéder à un réseau d'experts engagé ?

L'incubateur La Lucarne, porté par SEMIA, Initiatives Durables et France Active Alsace, ouvre ses candidatures le 24 septembre 2024 ! https://la-lucarne.org Inscrivez-vous à l'un de 3 webinaires aux dates suivantes : Le 24/10 à 13h Le 30/10 à 13h Le 04/11 à 13h La séance durera 35 minutes et proposera un temps de Questions/Réponses. S'inscrire : https://airtable.com/appOrBIt7q182ODYZ/pagtSdjqmGvbshKB7/form
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2024-11-01
Bulletin n° 14    C 1

#Principal :
concurence
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Faites le choix d’un Reconditionné réalisé sur place en toute transparence Découvrez nos Ateliers techniques présents dans chacune de nos Boutiques Profitez d’un service client privilégié ainsi que des conseils de nos équipes
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
entreprises adaptées
mécénat
partenaires
région GrandEst
RSE
Interêt :
opérationnel
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
technologique
Non Classés :
agenda

Le 3 octobre prochain aura lieu à BLIIIDA la 3ème édition de la Journée Inclusion numérique, la rencontre annuelle des acteurs de l'inclusion numérique.

Le numérique prend une place croissante dans le quotidien de tous les Français. Les progrès technologiques sont présents dans de nombreux domaines (santé, réseaux sociaux, domotique à domicile...) et l’intelligence artificielle dont on entend de plus en plus parler effraie et/ou fascine ! Quels sont les limites, les risques mais aussi les apports et améliorations de la technologie pour les seniors ? Proposé par la Ville de Metz, son CCAS, le Département de la Moselle (Senior Activ’2) et en partenariat avec Bliiida
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
opérationnel
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
social
technologique
Non Classés :
agenda

Un vendredi par mois pour apprendre à réparer vos appareils

Apprendre à diagnostiquer les dysfonctionnements de vos appareils en panne
Découvrir et tester des techniques de réparation
Repartir avec vos objets réparés (en fonction des compétences des réparateurs présents et quand cela est possible)
Apportez vos objets abîmés ou en panne (appareils électriques et électroniques transportables à la main, hors micro-onde et appareils thermiques).

Les Repair Cafés auront lieu un vendredi par mois de 17h à 20h dans la salle des fêtes du Centre Socio-Culturel Gilbert Jansem 54 rue de la Croix Saint-Joseph à Marly.

Retrouvez des bénévoles expérimentés et quelques surprises en bonus ! Convivialité et partage de savoirs seront au RDV !

CALENDRIER

Vendredi 18 octobre 2024
Vendredi 8 novembre 2024
Vendredi 6 décembre 2024
Vendredi 10 janvier 2025
Vendredi 7 février 2025
Vendredi 7 mars 2025
Vendredi 4 avril 2025
Vendredi 6 juin 2025
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
partenaires
région GrandEst
Interêt :
opérationnel
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
technologique

Le tiers lieu messin se profile comme un véritable creuset d’idées, d’entraide et de partage de compétences. Rencontre avec de nouveaux résidents !

« C’est autre chose que de bosser seul ! » Chacun le dit à sa manière, mais le message est unanime : les résidents de Bliiida que l’on a rencontrés ce printemps - trois des sept professionnels qui ont intégré le tiers lieu en 2023 - sont intarissables sur l’esprit collaboratif fructueux qui règne dans l’ancien site des bus messins.

« Je cherchais un lieu qui puisse à la fois offrir des espaces, et permettre de collaborer avec d’autres jeunes entreprises », expose Lucas Peyre, nom d’entrepreneur Loumy Lab. Le nouveau résident, originaire de Bordeaux, conçoit et réalise des luminaires dans des matériaux nobles, principalement du bois, mais aussi du métal ou des résines minérales comme le Corian.

Également résident depuis peu, Arthur Loys, jeune ébéniste messin, a rejoint Bliiida en raison de « l’aura significative, et l’esprit de travail collaboratif » du tiers lieu.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
région GrandEst
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
légal
politique
social

Lundi 9 septembre, les représentants de l’Eurométropole de Metz, des villes de Metz et de Woippy et de l’Etat ont signé le contrat de ville 2024-2030 de l’Eurométropole.

Ce document est l'outil de mise en oeuvre de la politique de la ville et des politiques menées en faveur des 8 quartiers prioritaires*.


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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Alors que le secteur numérique est appelé à concilier souveraineté et responsabilité, Samuel Le Port, PDG de Treebal propose, lui, une révolution.

Seule une nouvelle approche du numérique, écologique et sociale, permettra selon lui d'accéder à la souveraineté.


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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
économique
technologique

Comment financer l’achat d’un ordinateur, d’un smartphone, d’une tablette dans le cadre de son activité professionnelle pour son entreprise ? Quel traitement comptable s’applique au matériel informatique avec quelle solution la plus rentable ? Ce dossier vous explique comment économiser de l'argent en se procurant de l'équipement numérique.
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2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
inspiration
#Secondaire :
collectivités
région GrandEst
Interêt :
stratégie
tactique
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
politique
Non Classés :
agenda

Les prochains Conseils Métropolitains de l'Eurométropole de Metz se tiendront les :

Lundi 25 novembre 2024 à 18h – Lieu à définir Lundi 16 décembre 2024 à 18h – Lieu à définir


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2024-11-01
Bulletin n° 14    C 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
entreprise
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

La GEN est lauréate de DS4Skills-Go, lancé par l'UE pour contribuer au développement d'un espace de données dédié aux compétences.

Au programme notamment : la création d'un outil de prédiction des besoins en compétences pour enrichir l'observatoire.


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2024-11-01
Bulletin n° 14    C 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Découvrez le rapport d'impact des projets innovants de la GEN ! Ce document met en lumière les 32 projets finalisés en 2024, en évaluant leur impact et en offrant une source d'inspiration précieuse pour les acteurs engagés dans la formation des publics éloignés de l'emploi.
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De mai 2021 à avril 2023, la GEN a piloté un appel à projets Innovation en lien avec la mission du groupement d’intérêt public, à savoir de répondre, sur le territoire national, aux besoins d'emploi dans le secteur du numérique et de favoriser l'insertion sociale et professionnelle des personnes éloignées de l'emploi et de la formation. Sont considérés comme « innovants » des services nouveaux ou sensiblement améliorés ; un projet innovant concerne donc non seulement une innovation technologique de produit ou de procédé mais aussi une innovation d’organisation ou de commercialisation liée, par exemple, à la numérisation ou à l’interconnexion. La solution peut être déjà disponible sur le marché mais ne doit pas avoir déjà été mise en place dans les formations. Les projets doivent présenter une innovation dans au moins l’une des quatre thématiques suivantes Le recrutement et la sélection des publics cibles de la GENaide L’ingénierie pédagogique L’accompagnement socioprofessionnel L’insertion professionnelle
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veilleur1
2024-11-01
Bulletin n° 14    A 1

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Les entreprises du numérique en Europe doivent surmonter quatre contraintes : une concurrence grandissante, une exigence de souveraineté, une réglementation renforcée et le traitement de la question environnementale.
...

Les usages des données ne cessent de se massifier et de se diversifier dans tous les secteurs d'activité et tout au long de la chaîne de valeur des entreprises. Et dans le même temps, des défis apparaissent : régulation de l'usage des données, impact des data centers sur l'environnement, exigence de souveraineté de la part des Etats… Sous la pression des clients et du législateur, l'écosystème tech innove pour apporter des réponses plus efficientes, tout en continuant à diversifier et perfectionner l'utilisation des données.
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Vincent Bernard
2024-11-01
Bulletin n° 14    A 2

#Principal :
concurence
culture numérique
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
lecture
Papier
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Encore un livre qui ne nous rajeunit pas et qui a eu une grande influence sur les projets, actions, interventions et ressources que j'ai pu concevoir et animer. Son intérêt, comme la plupart des ouvrages de cette période est de s'intéresser davantage aux utilisateurs et à leur culture qu'à la technologie et ses risques. Autrement dit, il a eu une grande influence sur la manière dont j'ai réfléchi et construit ma posture en médiation numérique et éducation aux médias. Si on ajoute à cela que Yann Leroux, Pascal Minotte et Arnaud Zarbo trois contributeurs du livre sont devenus des copains, je ne peux que le recommander...
...

Terminologie de 'sensibilisation' : Ce terme est perçu comme culpabilisateur, infantilisant et paternaliste.
Lien social : Certains parents participent à des actions de proximité plus par envie de socialisation que par besoin d'information.
Discours sur les écrans : Des parents estiment que parler simplement "d'écrans" est trop vague et peu utile.

Point de vue des professionnels
Manque de temps : Les professionnels notent que les parents sont souvent pressés par le temps.
Manque d'intérêt ou méconnaissance : Les parents peuvent manquer d'intérêt ou ne pas être au courant des pratiques numériques de leurs enfants.
Sentiment de culpabilité et peur du jugement : Certains parents hésitent à participer par crainte d'être jugés ou de se sentir coupables.
Faible participation malgré le besoin exprimé : Même si les parents expriment un besoin, les conférences et ateliers sont souvent peu fréquentés. Cela peut s'expliquer par une "norme de résistance aux écrans", où chacun pense que le mésusage concerne les autres.

Recommandations
Régularité : Initialement, la participation peut être faible, mais avec le temps, l'habitude s'installe, les informations se diffusent et l'action gagne en popularité grâce au bouche-à-oreille.
Éviter la culpabilisation : Ne pas utiliser de messages ou d?affiches culpabilisantes.
Convivialité : Offrir des boissons, des gâteaux, et un moment convivial peut attirer les parents.
Garde d'enfants : Proposer un service de garde pendant les conférences ou ateliers permet une meilleure mobilisation, en particulier pour les familles monoparentales (on peut également proposer des ateliers familiaux, j'ai un format d'atelier spécifique).

Thématiques pertinentes :
Organiser des sondages ou interroger les parents lors des récupérations périscolaires pour choisir des sujets qui les intéressent.
Interaction avec les intervenants : Les parents viennent souvent avec des questions spécifiques plutôt que pour l'événement en soi.
Impliquer les enfants : Les parents sont plus enclins à participer si leurs enfants sont impliqués ou si des travaux de leurs enfants sont présentés.
Approche globale : Parler du développement de l'enfant, des défis éducatifs, des émotions, du sommeil, de l?alimentation, et des apprentissages, plutôt que des écrans en tant que tels.
Diffusion en ligne : Diffuser les conférences et ateliers en ligne pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer.
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veilleur1
2024-06-05
Bulletin n° 13    C 3

#Principal :
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir

Internet, cet espace numérique infini où nous passons une grande partie de notre temps, a cette particularité de ne jamais oublier. Chaque interaction, chaque inscription sur un site web, chaque commentaire laissé sur un réseau social, tout contribue à l'élaboration de notre empreinte numérique. Cette dernière peut parfois se révéler encombrante et gênante. Dès lors, comment faire pour disparaître d'Internet ? Dans cet article, nous vous proposons une série d'étapes clés pour un effacement numérique optimal.
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Préambule à l'effacement numérique : comprendre l'impact et les précautions L'importance de l'empreinte numérique Selon le Blog du Modérateur, il est possible de réduire son empreinte numérique jusqu'à 99, 99% en suivant une méthode bien précise. En effet, contrôler ses données personnelles permet non seulement de limiter sa présence en ligne mais aussi de mettre un frein à la collecte incessante de ces dernières par des entreprises spécialisées. Les conséquences potentielles d'une visibilité accrue en ligne Un article paru dans Vanity Fair souligne que si l'idée de disparaître totalement d'internet est séduisante, elle n'est pas sans conséquence. De nombreuses données circulent déjà sur le web et sont exploitées quotidiennement par des courtiers en données. C'est pourquoi il convient d'être conscient des risques potentiels liés à une présence trop marquée sur le net.
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veilleur1
2024-05-03
Bulletin n° 13    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
partenaires
région GrandEst
RSE
Interêt :
opérationnel
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
Non Classés :
agenda

Le 7 mai de 11h30 à 12h, découvrez en 30 minutes : Une plateforme, pour qui ? La charte d'utilisation Le système d'abonnement Comment mettre en ligne un catalogue de produits Notre kit juridique Nos offres de services
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veilleur1
2024-05-03
Bulletin n° 13    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
Non Classés :
appel à projets

Le Congrès RESSOURCES, évènement incontournable de l'écologie industrielle et territoriale en France, est de retour pour sa 7ème édition le 16 et 17 octobre 2024 ! Dans ce cadre, un programme traitant de sujets d'actualité et d'intérêt pour les acteurs de l'écologie industrielle et territoriale (EIT) est en cours d'élaboration. Nous vous offrons l'opportunité, via cet appel à communication, de nous soumettre des sujets, de nous proposer votre retour d'expérience ou une initiative exemplaire afin d'enrichir ou de compléter les thématiques préalablement identifiées :
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Bilan des démarches européennes (Belgique, Luxembourg, Suisse, Royaume-Unis) ; L'EIT comme outil de résilience des territoires ; L'EIT en milieu insulaire : retour d'expérience de l'ingéniosité développée en milieu isolé ; Décarbonation et EIT ; La place des tiers-lieux au sein des DEIT ; Peut-on faire de l'EIT sans subvention ? Modèle économiques : constat et évolutions ; (Axé collectivités) L'EIT comme outil de planification territoriale : Territoire d'Industrie, Dispositif TETE, etc. L'implication des entreprises : les canaux et réseaux mobilisables Compatibilité de l'EIT avec l'organisation d'évènements éphémères (sportifs, culturels, musicaux, etc.) ; Zéro Artificialisation Nette et EIT ; Low-tech et EIT ; Sujet biodéchets. Pour répondre à notre Appel à communication, merci de compléter ce formulaire en ligne : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSf9E-ENQAxzwnNoDF7jmQtXGc0ADkgEPnEO0tbBnoIWsdp-Wg/viewform Soumettez votre candidature en complétant ce formulaire en ligne avant le 19 avril afin que notre Comité de pilotage puisse retenir ou non votre proposition, et, le cas échéant, l'intégrer au programme du 7ème Congrès RESSOURCES.
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veilleur1
2024-05-03
Bulletin n° 13    A 2

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
mécénat
région GrandEst
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
Non Classés :
agenda

Chaque année, les Trophées RSE Grand Est récompensent les entreprises et structures ayant mis en place des projets innovants en matière de RSE et d’économie circulaire.

La tournée des lauréats & des finalistes en Lorraine --- 15/05/24 de 13h30 à 17h30 Chez Harmonie Mutuelle à la Passerelle à Laxou Organisée par Initiatives Durables avec le soutien d’Harmonie Mutuelle, de l’Afnor Délégation Grand Est et de la DREAL Grand Est, l'idée de cette rencontre est multiple : vous faire découvrir des projets innovants en matière de RSE et d'économie circulaire sur le territoire, vous permettre de rencontrer des acteurs engagés, mais aussi peut-être vous donner envie de candidater pour cette nouvelle édition ! Intervenants Alice DELECAMBRE Chargée de projets Tim & Bastien Marion PETIT Chargée de mission pratiques responsables Grabuge Manuel RODRIGUEZ Président Groupe Kramer Nathalie VIGNIER Directrice Région Grand Est Harmonie Mutuelle Au programme de cette rencontre 13h30 à 14h00 : accueil café 14h00 à 14h15 : mot d'accueil d'Harmonie Mutuelle et Initiatives Durables et présentation des Trophées RSE Grand Est 14h15 à 15h00 : table ronde avec Manuel Rodriguez, président du Groupe Kramer (finaliste 2023) et sa démarche d'économie circulaire. D'autres intervenants à venir… 15h00 à 16h30 : rencontre avec les candidats lorrains des Trophées RSE 2023, dont Tim & Bastien, Grabuge et Harmonie Mutuelle 16h30 à 16h45 : mot de clôture 16h45 à 17h15 : visite guidée de la Passerelle, commentée par les équipes d'Harmonie Mutuelle à partir de 17h15 : moment convivial autour d'un verre
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veilleur1
2024-05-03
Bulletin n° 13    A 1

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
opérationnel
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
technologique



veilleur1
2024-05-03
Bulletin n° 13    C 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Le débat sur l’addiction des enfants au numérique et sur les moyens d’y remédier gagne du terrain en France, tandis qu’au niveau de l’Union européenne, des voix s’élèvent en faveur d’une réglementation des designs addictifs.
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La ministre déléguée à la Jeunesse, Sarah El Haïry, et la secrétaire d’État chargée du numérique, Marina Ferrari, ont lancé jeudi (28 mars) une nouvelle initiative intitulée « P@rents, parlons numérique ». Annoncée par Mme El Haïry dans le journal Le Parisien, cette initiative prévoit la mise en place d’ateliers gratuits dans tout le pays pour les parents, afin de discuter des sujets liés à l’utilisation du numérique par les enfants. Cette initiative découle d’une promesse faite par le président français Emmanuel Macron. « Nous déterminerons le bon usage des écrans pour nos enfants, dans les familles, à la maison comme en classe, parce qu’il en va de l’avenir de nos sociétés et de nos démocraties », avait-il déclaré lors de sa deuxième conférence de presse après son élection, le 16 janvier dernier. Le 10 janvier, M. Macron a lancé une « Commission écrans » chargée de formuler des recommandations d’experts sur les règles à mettre en place. Les dix membres de la commission devaient remettre leur rapport à la fin du mois de mars, mais celui-ci n’a pas encore été publié. La « Commission écrans » est présidée par Amine Benyamina, psychiatre spécialisée en addictologie, et Servane Mouton, neurologue spécialisée en psychopathologies des apprentissages. La protection des utilisateurs et des enfants contre les effets néfastes du numérique gagne également du terrain au niveau européen. En décembre 2023, le Parlement européen a adopté un rapport d’initiative qui souligne « l’impact significatif du design addictif sur tous les individus, mais surtout sur les enfants et les adolescents ». Kim van Sparrentak, eurodéputée néerlandaise du groupe des Verts et rapporteure du texte, a annoncé lors d’un événement Mozilla Mornings à la mi-mars qu’elle se pencherait sur la réglementation des designs addictifs ou dangereux pour les citoyens de l’UE au cours du prochain mandat du Parlement (2024-2029).
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    C 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
légal
politique
technologique

Pour faire de la sobriété énergétique un standard de la conception numérique, l’Arcep et l’Arcom publient le premier référentiel général de l’écoconception numérique. Un guide regroupant 78 critères concrets pour assurer l’intégration des enjeux environnementaux dans le développement de services digitaux. En 2019, TOM attirait l’attention de l’industrie sur les enjeux relatifs à l’écoconception de services numériques, des acteurs comme Greenspector considérant que la sobriété numérique pourrait devenir, à terme, un enjeu de compétitivité. Une tendance qui semble se dessiner à l’heure où l’Arcep et l’Arcom publient le premier référentiel général de l’écoconception des services numériques (RGESN). Élaboré avec la collaboration de la direction interministérielle du numérique (DINUM), de l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria) et la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL), ce document a été présenté vendredi 17 mai au Conseil National des Arts et Métiers à Paris en présence de Marina Ferrari, secrétaire d’Etat chargée du numérique, Laure de La Raudière, présidente de l’Arcep, Roch-Olivier Maistre, président de l’Arcom, et Sylvain Waserman, président de l’ADEME.
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78 critères d’écoconception numérique Ce guide, réalisé en lien avec l’ADEME, vise à réduire l’empreinte environnementale des services numériques dès leur conception et voit le jour dans le cadre de la loi relative à la réduction de l’empreinte environnementale du numérique (loi « REEN). Le référentiel général de l’écoconception rassemble une série de 78 critères concrets à mettre en place pour assurer l’intégration des enjeux environnementaux dès la conception d’un service. Le document suggère par exemple de préférer WebP ou AVIF à la méthode de compression JPEG pour les images et appelle à restreindre les fonctionnalités « nudge » poussant à l’usage incontrôlé du service telles que les muirs de contenus infinis, les notifications intempestives ou encore la lecture automatique de contenus vidéos. Chacun des 78 critères du référentiel est accompagné d’une fiche pratique précisant ses modalités de mise en œuvre et de validation. 4 objectifs principaux Le référentiel prend en compte les composantes clés du cycle de vie du service numérique de la définition de sa stratégie, à son hébergement, en passant par le développement de son architecture et de ses contenus, précise un communiqué. Allonger la durée de vie des terminaux, promouvoir une démarche de sobriété environnementale, diminuer les ressources mobilisées sur le cycle de vie du service numérique et accroître le niveau de transparence sur l’empreinte environnementale des services numériques, constituent les 4 principaux objectifs poursuivis par le guide. De quoi permettre aux fournisseurs de services numériques de prendre en compte les enjeux environnementaux lors du développement d’un service numérique et de le faire valoir en publiant une déclaration d’écoconception. Les 78 critères sont classés en trois catégories en fonction de leur degré de priorité. L’empreinte numérique pourrait tripler entre 2020 et 2050 L’enjeu de l’écoconception numérique étant une problématique dépassant le cadre national, ce référentiel est également disponible en anglais et doit être diffusé au niveau européen et international. En 2023, l’étude ADEME – Arcep sur l’empreinte environnementale du numérique soulignait que sans action pour limiter la croissance de l’impact environnemental du numérique, son empreinte carbone pourrait tripler entre 2020 et 2050. L’écoconception fait partie des leviers identifiés pour inverser la tendance. Consulter le référentiel de l’écoconception numérique
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    B 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Web

Ce vendredi midi, le Conseil départemental a officiellement remis à ses coachs numériques un nouveau véhicule. Un Bus numérique précieux pour aller accompagner les habitants en difficultés face à l’outil informatique
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Disposer d’un ordinateur, d’une tablette, d’un téléphone mobile avec une connexion de qualité est une chose. Être rompu aux multiples usages du numérique en est une autre ! D’où la mobilisation du Conseil départemental, pour venir en aide aux Ornaises et aux Ornais, en proximité. C’est la mission des coachs qui, à bord du Bus numérique, sillonnent routes et chemins du département, jusqu’au plus profond des campagnes. Ils y assurent un service accessible gratuitement.
un nouveau bus numérique sillonnera très bientôt les routes de l’Orne. - CD61

À mesure que les démarches dématérialisées se multiplient, au plan administratif comme dans la sphère privée, l’illectronisme gagne du terrain. Aucun secteur n’est épargné, aucune tranche d’âge non plus ! C’est justement « pour lutter contre la fracture numérique et familiariser le plus grand nombre aux usages », que le Conseil départemental s’est inscrit très tôt dans cette démarche volontariste.

« Aller au-devant des habitants pour les accompagner en proximité est le seul moyen efficace de les intégrer à cet univers du tout numérique, aussi incontournable qu’exigeant. Nos efforts ont déjà porté leurs fruits, il nous faut poursuivre ! », assure le président du Conseil départemental, Christophe de Balorre.


Officialisant la mise en service d’un nouveau Bus numérique, le président de Balorre confirme les deux axes d’action privilégiés par le Département : « Les coachs numériques apportent un soutien à nos Centres d’action sociale, au bénéfice des publics les plus fragiles, que nous accompagnons. Parallèlement, nous intervenons en milieu rural, pour y démystifier l’outil internet et ses applications, familiariser aux démarches en ligne. Nous souhaitons ancrer nos actions en lien avec les communes et leurs élus de terrain. Au-delà de la sensibilisation aux multiples enjeux du numérique, des formations sont proposées, en fonction des besoins et des attentes. Partout où il passe, l’action du Bus numérique et de ses animateurs est très appréciée ; il doit continuer ! »

Les services offerts sont multiples : prise en main des équipements, recherches sur Internet, gestion des courriels, formulaires électroniques et rendez-vous en ligne (santé, emploi, administration), téléchargement d’applications, sécurisation des connexions et protection des données personnelles.
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    C 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

L'illectronisme est dans le domaine du numérique l'équivalent de l'illettrisme. Un terme en effet issu de la contraction des mots "illettrisme" et "électronique". On parle aussi de fracture numérique ou encore de déconnexion pour désigner une situation où des personnes sont éloignées de la société du tout numérique. Un phénomène qualifié de social aujourd'hui tant le nombre de services publics et privés et de démarches passent par la nécessité de maitriser Internet et tous les outils technologiques qui vont avec. Selon les dernières données de l'Insee sur le sujet, 15 % de la population de 15 ans est plus est victime d'illectronisme. Les plus âgés sont les plus touchés même si une petite partie des jeunes reste encore éloignée des nouvelles technologies de communication. Une situation qui peut entrainer une exclusion progressive de la société qui demande d'être à la pointe du numérique pour un grand nombre d'activités et de démarches de la vie quotidienne.
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Plus d'1 senior de 60 ans et plus sur 3 en situation d'illectronisme Même si une petite partie des jeunes ne sont pas à l'aise pour utiliser Internet ou ne disposent pas des compétences numériques de base, ce sont les seniors qui sont exclus du numérique majoritairement : les personnes les plus âgées sont davantage touchées par l'illectronisme comme l'indique l'Insee. Être en situation d'illectronisme selon l'organisme de statistiques publiques se caractérise en effet par ces deux composantes : ne pas avoir utilisé Internet dans les 3 derniers mois qui précédent l'enquête de l'Insee, c'est-à-dire un non-usage d'Internet prolongé souvent dû à l'inexistence d'équipement à domicile pour accéder au web mais aussi au fait qu'une personne ne sait pas se servir d'Internet, l'absence de compétences numériques de base des internautes, soit les personnes ayant utilisé Internet dans les trois derniers mois, qui se traduit par le fait par exemple de ne pas faire de recherches sur Internet, de ne pas envoyer de courriels, de ne pas se servir de logiciels, de ne pas accéder à sa banque en ligne, etc. C'est sur la base de ces 2 critères, qui ont certainement un lien, que l'organisme définit ensuite d'une manière générale l'illectronisme. Plus précisément, l'Insee donne cette définition de l'illectronisme : "situation d'une personne ne possédant pas les compétences numériques de base (rechercher des informations en ligne, communiquer en ligne, utiliser des logiciels, protéger sa vie privée, résoudre des problèmes en ligne) ou ne se servant pas d'Internet (incapacité ou impossibilité matérielle de l'utiliser dans les trois derniers mois)". Si 15 % de la population de 15 ans et plus est concernée par l'illectronisme selon l'Insee, soit plus de 8 millions de personnes, cette proportion est bien plus élevée chez les seniors : 24 % des 60-74 ans et 62 % des 75 ans et plus sont en effet en situation d'illectronisme, notamment pour les plus âgés car 59 % d'entre eux ne se servent pas d'Internet. Si l'on considère le risque d'être en situation d'illectronisme, les seniors sont aussi davantage touchés que les plus jeunes. Un constat qui est en particulier vrai pour les 75 ans et plus. Ces derniers ont ainsi une probabilité 14,7 fois plus élevée d’être en situation d’illectronisme que les personnes âgées de 15 à 24 ans, alors que ce risque n'est que de 3,5 pour les seniors de 60-74 ans. L'ancienne catégorie socioprofessionnelle des seniors retraités entre aussi en compte en matière d'illectronisme. Si d'une manière générale, un peu plus d'1 retraité sur 3 ne maitrise pas les outils numériques, 53 % de ceux qui étaient ouvriers pendant leur vie active, 51 % des anciens agriculteurs, artisans et commerçants, ou encore 38 % des anciens employés sont en situation d'illectronisme, contre seulement 10 % des anciens cadres et professions libérales. Parmi les personnes âgées de 60 ans ou plus, l'Insee dessine ainsi les contours du portrait des seniors concernés par l'illectronisme : un peu plus de femmes (38 %) que d'hommes (35 %) ; la grande majorité (61 %) ne dispose d'aucun diplôme ou au maximum le certificat d'études primaires (CEP) ; plus de la moitié (58 %) font partie des 20 % les plus modestes alors que seulement 7 % des 20 % les plus aisés sont en situation d'illectronisme. Il faut ajouter également que d'une manière générale, c'est-à-dire pour l'ensemble de la population victime d'illectronisme et non pas seulement les seniors, les personnes qui habitent dans les départements d'outre-mer sont davantage touchées : 20 % contre 15 % en France
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    B 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

La transition vers une économie circulaire est essentielle mais lente. L'informatique circulaire peut réduire l'impact environnemental et économiser des ressources

Chaque année, les pouvoirs publics au sein de l'UE dépensent environ 2000 milliards d’euros dans l'achat de services, travaux et fournitures. Une facture conséquente, dont une large part est dédiée à l’achat de produits informatiques. Or, cette catégorie de produits s’avère responsable d’un certain nombre de problèmes écologiques, notamment les déchets électroniques, qui s'accumulent au rythme record de plus de 60 millions de tonnes par an dans le monde. Une grande partie de ces déchets finit dans des décharges, engendrant pollution, risques sanitaires et épuisement de ressources précieuses. Et si pour insuffler un réel changement, le secteur public servait de moteur pour guider les autres secteurs de l’industrie vers des pratiques plus durables ? La capacité d’influence de l’achat public ne doit pas être sous-estimée. On entend partout que la transition vers une économie circulaire est nécessaire, à travers les débats politiques ou dans les rapports d'entreprises. Pourtant, jusqu'à présent, peu de progrès concrets ont été réalisés, alors même que favoriser une informatique circulaire peut contribuer à réduire l'impact sur l’environnement, à limiter la quantité de déchets électroniques ou encore la consommation de ressources. Sans parler des économies que cela peut représenter. Co
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    A 3

#Principal :
culture numérique
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
entreprises adaptées
mécénat
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Les lois Anti-gaspillage pour une économie circulaire et visant à réduire l'empreinte environnementale du numérique ont tracé un objectif vers le numérique responsable aux collectivités locales.
...

Développement durable Écologique, social et économique : comment rendre le numérique responsable ? Publié le 11/04/2024 Par Baptiste Cessieux • Club : Club Techni.Cités Sources : Technicités Les lois Anti-gaspillage pour une économie circulaire et visant à réduire l'empreinte environnementale du numérique ont tracé un objectif vers le numérique responsable aux collectivités locales. Ma Gazette Numérique 1. Sans garantie environnementale Le numérique est-il la solution ? Peu importe le problème, quelqu’un, quelque part, présente une réponse basée sur le numérique. Et pour cause : il n’est pas une fin en soi mais un outil au service de quelque chose. Un outil exponentiel, fait de 0 et de 1, faut-il le rappeler, dont le débit est passé de 100 Gbits de données par jour en 1992 à 150 000 Gbits par seconde en 2022. La quantité d’énergie nécessaire pour le transfert d’une unité a diminué, en passant par exemple de 37 kWh/Go pour la 2G, à 0,06 kWh/Go pour la 5G, selon les chiffres de la Fédération française des télécoms de 2020.
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    B 2

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
technologique

Le mastodonte du secteur associatif a remporté deux appels à projets pour créer une plateforme numérique basique. Entre 2018 et 2020, elle a obtenu plus d’un million d’euros en tout, en partie auprès du département de la Moselle, qui ne profite pourtant pas de cette onéreuse innovation.
...

Sur le papier, l’idée était belle. Créer une plateforme numérique à destination des séniors isolés, pour les aider à « trouver du lien social », près de chez eux – le club de bridge le plus proche, un atelier de yoga… Une sorte d’annuaire en ligne, amélioré. À l’origine, le concept vient du conseil départemental de Moselle. Nous sommes en 2018, et la collectivité lance un appel à projets pour concrétiser son idée.
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
partenaires
région GrandEst
RSE
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
Non Classés :
appel à projets



veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    B 2

#Principal :
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
légal
politique
social
technologique

Environnement : La loi de Moore ne devrait-elle pas dorénavant se traduire par une loi qui diviserait par deux les émissions régulièrement ? Et pour cela, le système d'exploitation a un rôle à jouer et doit devenir plus responsable.
...

S'il y a bien une tendance qui s'est renforcée dans la crise traversée depuis 18 mois, c'est bien la plus grande prise en compte de la responsabilité environnementale des activités humaines. Et dans cette tendance, qui touche toutes les industries, l'informatique n'est pas à la traine, comme le faisait remarquer le billet d'octobre dernier posant la question de l'informatique durable et mettait le projecteur sur l'action législative à venir de l'État pour aller au-delà des incantations à rendre le numérique responsable. Que ce soit dans la téléphonie, ou dans l'informatique, la maîtrise du renouvellement des terminaux est un des leviers d'action, car l'impact carbone d'un terminal n'est pas lié qu'à son utilisation, mais aussi à sa fabrication. L'allongement de la durée de vie des terminaux est donc généralement l'action n°1 ou n°2 de tous les plans verts des DSI. En effet, bourrés d'électronique, ils regorgent de terres et métaux rares. Allonger leur durée de vie fait que mécaniquement on épuisera moins les réserves naturelles limitées de ces matériaux, et les recycler en fin de vie également. Le Shift project, montre par exemple la décomposition de l'impact environnemental du numérique dans le schéma ci-dessus. Les terminaux (incluant écrans, imprimantes, ...) pèsent de plus en plus dans une informatique de plus en plus distribuée. Le développement des objets connectés et l'Edge va encore plus renforcer cette tendance. Parmi ces terminaux, les experts estiment qu'il y a 1,2 milliard de PC sous Windows, dont certainement encore quelques centaines de millions sous Windows 7, même si la majorité est sous Windows 10. Ce chiffre baisse après un pic en 2014, mais reste néanmoins remarquable, a tel point qu'il a fait dire en 2016 à Satya Nadella, le PDG De Microsoft que «Le fait qu'il y ait 1,5 milliard d'utilisateurs de Windows est incroyable. C'est une grande responsabilité qu'aucun d'entre nous chez Microsoft ne prend à la légère». C'est donc dans ce contexte qu'il faut analyser l'annonce le 24 juin dernier par Microsoft de lancer Windows 11 en octobre prochain. GreenSI avait compris lors du lancement de Windows 10, après le cahot du lancement des versions 7 (qui a eu du mal à remplacer le formidable XP), puis la version 8 avortée et la version 9 abandonnée, que version 10 était la dernière version de Windows. Ensuite on ne parlerait plus que de mises à jour. Mais visiblement Microsoft a revu sa stratégie. La mise à jour en Windows 11 sera gratuite, il n'y a pas de licence, mais
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 13    C 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
technologique

La députée MoDem Marina Ferrari a été appelée au gouvernement en février dernier pour occuper les fonctions de secrétaire d’État chargée du Numérique. Elle détaille ses premières actions en la matière, et précise sa feuille de route.
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En croissance d’activité continue, quels sont les chantiers que doit engager le secteur d’activité français du numérique ? Comme tous les autres secteurs, le numérique français doit s’adapter, en permanence, aux mutations de son environnement, et elles sont encore plus rapides et encore plus importantes dans la tech. Aujourd’hui, nous devons bâtir un numérique plus souverain, plus durable et plus responsable. Plus souverain en investissant davantage dans les infrastructures numériques critiques et je pense en particulier au stockage des données : nous devons renforcer la position des acteurs français sur le marché du cloud – et c’est d’ailleurs l’objet de l’appel à projets que j’ai présenté aux Rencontres numériques de Strasbourg pour bâtir un cloud de confiance –, y compris dans le domaine de l’intelligence artificielle. Plus durable, en encourageant le développement d’un numérique écoresponsable : cela passe notamment par davantage de sobriété pour nos centres de données et réseaux de communication. La piscine olympique de Paris 2024 inaugurée le 4 avril par le président de la République sera chauffée grâce à l’énergie d’un data center : ce ne doit plus être une exception, mais la règle ! Plus responsable enfin, en poursuivant le travail de régulation engagé, notamment à l’échelle européenne pour que ce qui est illégal hors ligne soit aussi illégal en ligne : c’est tout le sens du DSA et du DMA qui ont vu le jour sous l’impulsion de la présidence française de l’Union européenne et grâce à l’action d’Emmanuel Macron. Après une première décennie d’existence portée principalement par les entreprises du numérique, comment comptez-vous poursuivre l’accompagnement de la mission French Tech ? Ma priorité, c’est évidemment de soutenir la croissance de nos entreprises dans les secteurs numérique et technologique, tout en participant à maintenir le climat favorable à l’innovation que nous avons réussi à installer depuis 2017 grâce à notre action. Pour y arriver, nous devons continuer à prendre le virage des deeptech, les technologies de rupture, en particulier dans le domaine du cloud, de l’intelligence artificielle, du quantique, mais aussi plus largement de la transition climatique et énergétique. J’ai d’ailleurs eu l’occasion de lancer il y a quelque temps, un appel à projets doté de près de 44 millions d’euros qui va nous permettre de faire émerger les futures pépites de ces secteurs. Si la France est aujourd’hui une championne des deeptech, c’est parce que nous nous sommes donné les moyens de nos ambitions et parce qu’État, acteurs privés et secteur de la recherche ont uni leurs forces. On doit poursuivre sur cette voie et accélérer. Rien ne serait pire que de s’arrêter au milieu du gué ou de décrocher le mousqueton à quelques mètres du sommet ! Je suis convaincue qu’en investissant aujourd’hui dans ces secteurs stratégiques, on bâtit la croissance de demain et on garantit la souveraineté et l’indépendance de notre pays pour les décennies à venir. Vous avez lancé le plan de la « décennie numérique » le 25 mars dernier. Que prévoit ce dispositif en faveur des collectivités locales et des entreprises, en particulier ? Cette feuille de route, ambitieuse, doit nous permettre de continuer à innover tout en rapprochant nos concitoyens du numérique, quel que soit le territoire dont ils sont issus. Et de ce point de vue, toutes ces mesures auront un impact positif sur le développement de nos collectivités et leurs entreprises. S’agissant des dispositifs spécifiquement en faveur des collectivités locales et des entreprises, je souhaiterais en citer deux qui sont pour moi essentiels. Le premier concerne notre cybersécurité : il s’agit des parcours cyber de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), dont ont bénéficié et vont bénéficier collectivités et entreprises avec un kit d’exercice pour être plus résilients et anticiper les risques. Sur le même modèle, l’initiative Cyber PME permet un accompagnement sur-mesure de nos ETI et PME pour déjouer les cyberattaques, bâtir des plans d’action ou tout simplement réaliser un diagnostic personnalisé de sécurité. On ne peut pas laisser notre tissu économique sans solution face aux cybermenaces et je veux ici saluer le remarquable travail accompli par l’ANSSI qui est à l’écoute de nos entreprises à un moment où les tensions mondiales alimentent la montée de la cybercriminalité. Le second concerne l’amélioration du partage et l’utilisation des données par les collectivités : sur la base des préconisations de la mission qui avait été engagée par Stanislas Guérini, nous allons lever les freins qui existaient encore et favoriser le partage de données entre les collectivités elles-mêmes et entre les collectivités et l’État. C’est aussi un gage de simplification des démarches et des relations entre administration centrale et services locaux.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    C 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
mécénat
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir



veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 12    A 3

#Principal :
inspiration
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
social
technologique



veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 12    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
partenaires
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
technologique

Le cloud national, qui a pour nom Nuage, succède au cloud académique. Ce service, proposé par le Ministère de l’Éducation Nationale depuis la plateforme Apps.education.fr, offre un espace de stockage en ligne de 100 Go pour : Synchroniser les données de votre ordinateur, tablette ou smartphone, Accéder aux données synchronisées depuis différents endroits (maison, établissement scolaire, rectorat…), Partager des données avec des collaborateurs ou des utilisateurs extérieurs.
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Partager et collaborer facilement Partagez facilement vos fichiers en interne (avec un personnel de l’académie) ou vers l’externe (par un lien accessible après avoir saisis un mot de passe). Vous pouvez également créer un dossier de téléversement, ce qui permet à toute personne de déposer des fichiers (y compris volumineux) directement dans votre espace personnel. Vous avez la possibilité d’éditer en ligne vos documents (texte, tableur et présentation) et de travailler à plusieurs en même temps sur le même document. Travailler en toute sécurité Bénéficiez d’un niveau de sécurité élevé pour protéger la confidentialité de vos données et respecter les normes de conformité nationales. Ce service répond aux conditions préconisées dans le cadre du règlement général de la protection des données (RGPD). L’interface vous permet de restaurer un fichier récemment effacé.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    B 2

Sommaire : La sobriété, force d’action incontournable à court et moyen terme Des actions pour économiser 10 % de la consommation d’énergie d’ici deux ans Par exemple 51 propositions d’actions pour la sobriété énergétique Scénario négaWatt 2022 : découvrez les éléments-clés ! Documents joints
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Des actions pour économiser 10 % de la consommation d’énergie d’ici deux ans Force de proposition dans le débat, négaWatt publie une cinquantaine de mesures de sobriété couvrant les secteurs résidentiel, tertiaire et les transports. Elle analyse leurs impacts potentiels ainsi que les freins et leviers à prendre en compte pour assurer leur mise en œuvre. Elle montre par ce travail comment l’objectif de réduction de la consommation d’énergie de 10 % en deux ans fixé par le gouvernement est atteignable en mobilisant efficacement l’ensemble des acteurs (citoyens, collectivités locales, entreprises, etc.) autour de mesures clairement identifiées, explicitées et facilitées par l’État.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    3 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

​​​​​Selon les chiffres du quatrième rapport "Global E-waste Monitor" (Suivi des déchets d'équipements électriques et électroniques à l'échelle mondiale) de l'ONU, la production mondiale de DEEE augmente cinq fois plus vite que le nombre de déchets de ce type dont le recyclage est répertorié. Les 62 millions de tonnes de DEEE générés en 2022 rempliraient 1,55 million…
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2024-04-05
Bulletin n° 12    A 2

#Principal :
concurence
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Vidéo
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Envoyer un mail, "scroller" sur son smartphone, faire du télétravail. Les technologies numériques sont devenues omniprésentes dans nos vies. Souvent, dans l’imaginaire collectif, nous avons l’impression que la dématérialisation est positive pour l’environnement. Moins de papier, moins d’arbres coupés. Mais ce n’est pas aussi simple que cela. Le numérique a un impact insoupçonné sur le climat. On estime qu’il représente jusqu’à 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Soit, autant que le secteur aérien. Et toutes les prédictions indiquent que cette part va augmenter.
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Le poids du numérique, plus lourd qu’il n’y paraît "Si internet était un pays, il serait le troisième consommateur d’électricité au monde, après la Chine et les Etats-Unis" lance Steve Tumson, référent "énergie et circularité" pour l’Agence du numérique. "Si on imaginait que le numérique consomme la même chose que maintenant jusqu’en 2050, mais que les autres secteurs s’alignent sur les accords de Paris, on arriverait à une situation où le numérique représente 35% des émissions de gaz à effet de serre en 2050" détaille David Bol, professeur à l’Ecole Polytechnique de l’UClouvain. Dans un rapport de 2018, The Shift Project, une association française de lutte contre le réchauffement climatique, estimait qu’en 2025, le numérique représenterait 8% des émissions de gaz à effet de serre, soit autant que le secteur automobile.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    B 2

#Principal :
concurence
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
entreprise
mécénat
partenaires
région GrandEst
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
technologique
Non Classés :
agenda

NEC Grand-Est (1/3), Organisé par le HubEst sur le thème des libertés numériques au Le Shadok à Strasbourg

09 avril : NEC Grand-Est


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2024-04-05
Bulletin n° 12    B 1

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Un projet unique et ambitieux au service de la mise en place de filières locales et solidaires de reconditionnement informatique. À l’occasion des 3 ans de LaCollecte.tech, on fait un bilan en quelques chiffres.
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Les grands impacts de LaCollecte.tech à toutes les étapes de la filière LaCollecte.tech est un projet porté par Emmaüs Connect depuis 2020 pour développer et animer des filières locales et solidaires de reconditionnement numérique. Concrètement, les activités s’articulent autour de 3 grands piliers : En 2023, Emmaüs Connect a lancé une étude pour aller plus loin dans la compréhension de l’impact social de LaCollecte.tech et pour documenter les retombées du projet à chaque étape. Notre étude d’impact a été menée par l’agence Archipel&Co. auprès de toutes les parties prenantes du projet : les donateurs et leurs collaborateurs, les reconditionneurs partenaires, les structures sociales distributrices, les bénéficiaires, les collectivités locales et nos partenaires institutionnels. Voici quelques impacts chiffrés extraits de l’étude : – 74% des personnes accompagnées déclarent être plus proches de leur famille et de leurs amis grâce à Emmaüs Connect. – 83% des reconditionneurs interrogés estiment que LaCollecte.tech a amené des changements positifs sur leur performance. – 80% des donateurs déclarent que LaCollecte.tech contribue à l’atteinte de leurs engagements en matière de RSE. Le gros avantage qu’on y voit, c’est leur capacité à travailler à l’échelle locale, ce n’est pas donné à toutes les associations. En plus, ils ont un vrai savoir-faire sur la mise en place de filières. Ce projet est inscrit dans notre stratégie car il coche toutes les cases : le social, l’environnemental et l’économique ! Ville de Paris
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2024-04-05
Bulletin n° 12    B 2

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique

Quels défis nous attendent pour les 10 prochaines années ? Dans une société de plus en plus « sans contact », comment préserver le partage et les liens humains ? Comment faire du numérique un levier au service de la réduction des inégalités ? Comment mieux mobiliser l’ensemble de la société à nos côtés pour favoriser un numérique juste et durable ? Après 10 ans d’action, nous voulons désormais aller plus loin pour les 10 prochaines années.
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En 2023, Emmaüs Connect célébrait une décennie d’engagement pour l’inclusion numérique. À cette occasion, nous avons initié une grande consultation pour façonner ensemble la trajectoire de l’association pour les années à venir. Plus de 700 salarié·e·s, bénévoles et personnes accompagnées ont imaginé le monde – numérique mais surtout solidaire – de demain. Chaque personne a une histoire qui mérite d’être reconnue, partagée, connectée au monde et à ses opportunités. Pour faire du numérique une chance pour tous, il faut d’abord être convaincu que chacun peut être une chance pour la société. C’est notre conviction première, au cœur de notre engagement et du mouvement Emmaüs, conviction que nous réaffirmerons avec force pour les dix années qui viennent. Extrait du livret Imagine Emmaüs Connect
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2024-04-05
Bulletin n° 12    C 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

À l’été 2022, la MEL, en partenariat avec Emmaüs Connect, a lancé un appel à projets pour les structures souhaitant s’engager dans l’inclusion numérique. Petite spécificité : celui-ci s’adressait aux structures présentes dans des communes de moins de 21 000 habitants, sans QPV sur le territoire. Ce critère vient du constat que ces territoires étaient globalement oubliés en termes d’appels à projet, alors que le besoin d’accompagnement est présent (la MEL est l’EPCI des Hauts-de-France où on retrouve, en volume, le plus de personnes en situation d’illectronisme). 4 CCAS ont été retenus : Faches-Thumesnil, Haubourdin, Houplines et Leers. Ils ont suivi, d’octobre 2022 à décembre 2023 un accompagnement par Emmaüs Connect afin de devenir relais numérique. Celui-ci visait à faire en sorte que ces CCAS puissent proposer la même “offre de services numériques” (appropriation des outils, accompagnement aux démarches) que les relais numériques d’Emmaüs Connect.
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Ainsi, les 4 lauréats ont pu bénéficier : – D’une formation professionnelle gratuite : 10 travailleurs sociaux et cadres ont été formés aux méthodes d’accompagnement d’Emmaüs Connect. – D’outils pour l’animation d’ateliers ou de parcours d’accompagnement au numérique: en individuel ou en collectif. – De sensibilisations sur l’écosystème partenarial en termes d’inclusion numérique. Depuis le début de l’accompagnement par Emmaüs connect, plus de 140 bénéficiaires ont été accompagnés par ces 4 CCAS. Le profil du public accompagné lors de cette première phase est majoritairement féminin (60% des personnes accompagnées) et relativement âgé (60 ans de moyenne d’âge). Une fois dans un parcours d’accompagnement, la majorité des personnes accompagnées semblent y adhérer (75% des participants ont suivi un parcours complet) et le message semble se diffuser: le CCAS de Leers a déjà une liste d’attente de 80 bénéficiaires! Un des challenges pour ces CCAS sera de varier le public touché et/ou sollicitant cet accompagnement. Ainsi, le CCAS d’Haubourdin a développé un partenariat avec le PIJ pour toucher les publics jeunes.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    C 1

#Principal :
concurence
culture numérique
exemples
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprise
mécénat
partenaires
RSE
Interêt :
opérationnel
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Un don rare pour ces structures qui viennent en aide aux personnes en grande précarité et une initiative solidaire rendue possible grâce à l’opération «  Smartphone suspendu  » menée par les Ateliers du Bocage jusqu’à la fin de l’année. Pour l’achat d’un smartphone reconditionné, la coopérative d’utilité sociale et environnementale, membre du mouvement Emmaüs,
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Les Ateliers du Bocage, en partenariat avec Emmaüs Connect et Back Market, ont remis 400 smartphones reconditionnés à des associations humanitaires. Un don rare pour ces structures qui viennent en aide aux personnes en grande précarité et une initiative solidaire rendue possible grâce à l’opération «  Smartphone suspendu  » menée par les Ateliers du Bocage jusqu’à la fin de l’année. Pour l’achat d’un smartphone reconditionné, la coopérative d’utilité sociale et environnementale, membre du mouvement Emmaüs,
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2024-04-05
Bulletin n° 12    A 2

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Interview
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Depuis le 22 janvier, l’Institut du numérique responsable (INR), groupe de réflexion et d’actions en faveur d’un numérique à la fois environnemental, social et sociétal, a un nouveau délégué général. Il est bordelais.
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La structure associative (trois salariés), qui regroupe à ce jour 150 membres – associations (dont la French Tech), institutionnels (Régions, Métropoles…), entreprises de toutes tailles (dont des groupes du CAC 40) –, a recruté le Bordelais Laurent Bourgitteau-Guiard, entrepreneur en série, pionnier du Web et du numérique, ancien directeur de l’incubateur 1Kubator Bordeaux et plus récemment cofondateur et codirigeant de la start-up Inblocks (dont il est toujours actionnaire). « Faire franchir un nouveau cap à cet outil unique en Europe, mieux faire connaître ses missions de promoteur d’un numérique responsable auprès des institutionnels et acteurs économiques, rayonner à l’international sont les missions que Laurent saura relever », justifie Sophie Provost, présidente de l’INR. « Cette confiance m’engage. Être utile, travailler pour le bien commun, promouvoir un numérique vertueux, aussi différenciant qu’efficace, est la plus belle de mes missions professionnelles », conclut Laurent Bourgitteau-Guiard.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
RSE
Interêt :
opérationnel
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

En 2025, selon Canalis [1], 240 millions de PC ne pourront pas être reconditionnés faute de pouvoir y installer Windows 11. Nous n’aborderons pas ici les alternatives possibles, en installant une distribution Linux par exemple (à lire ici et là). L’idée de cet article est plutôt de quantifier les impacts environnementaux liés à l’arrêt de la mise à jour de ce système d’exploitation et aux verrous à l’installation de Windows 11. Pour faire ce calcul, nous avons besoin de connaitre la répartition entre ordinateurs de bureau (desktop), ordinateurs portables (laptop) et “tablet PC” (tablet PC). C’est la suivante, en 2022, selon IDC ([2] : laptop : 60 % desktop : 29 % tablet PC : 11 % L’ACV à la rescousse Nous avons évalué les impacts environnementaux et sanitaires de cet inventaire en nous appuyant sur la méthode d’Analyse du Cycle de Vie (ACV) [3] et la base de données NegaOctet. Nous n’avons pris en compte que les impacts associés à la fabrication des 240 millions de nouveaux équipements nécessaires pour remplacer ceux qui fonctionnaient très bien sous Windows 10. Les indicateurs d’impacts retenus sont ceux qui ressortent le plus dans les études de référence, notamment celles que nous avons réalisées à l’échelle du monde, de l’Europe et de la France.
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Une empreinte évitable équivalente à 4,7 millions de tours du monde ! Voici les impacts environnementaux et sanitaires associés au renouvellement de ces 240 millions de terminaux. Ces impacts s’additionnent ! Nous les avons classé du plus au moins important en France : Radiations ionisantes (IR) : 49 144 800 000 kg Bq éq. U235 Epuisement de ressources abiotiques (ADPe) : 2 802 792 kg éq. SN Epuisement de ressources abiotiques (ADPf) : 536 967 426 118 MJ EP Potentiel de réchauffement global (GWP) : 37 276 687 234 kg éq. CO2 Emission de particules fines (PM) : 1355 (occurrences de maladies) Cycle de l’eau (WU) : 25 312 809 799 m3 éq. monde En termes d’équivalences, cela correspond à : Radiations ionisantes (IR) : n/a Epuisement de ressources abiotiques (ADPe) : 14 milliards de tonnes de terre excavée soit le poids de 215 milliards de terriens (27 fois le poids de la population mondiale) ! Epuisement de ressources abiotiques (ADPf) : 5,5 millions de radiateurs électriques de 1000 Watts allumés en permanence (365 j * 24 ) ; Potentiel de réchauffement global (GWP) : 186 milliards de km en voiture thermique, soit 4,7 millions de tours du monde ou 10 % des émissions annuelles de GES de la France ; Emission de particules fines (PM) : n/a Cycle de l’eau (WU) : n/a De l’importance de réguler les GAFAM Ces chiffres donnent le vertige ! Ils nous rappellent aussi à quel point un seul éditeur, parmi les GAFAM, peut considérablement écraser / atténuer les efforts faits par chacun.e d’entre nous au quotidien, en prenant la décision d’arrêter le support technique d’un de ces logiciels. Pour rappel, comme nous l’avons démontré dans cet article, le renouvellement très rapide des versions de systèmes d’exploitation est la principale source de l’obsolescence prématurée des matériels. C’est notamment vrai pour le couple “système d’exploitation + terminal”. Un terminal pouvant être un ordinateur, un smartphone, une TV, etc. Et un système d’exploitation étant Windows, iOS, Android, etc. Raison pour laquelle l’Europe et ses états membres devraient contraindre, ou pour le moins inciter, les grands éditeurs de logiciels à fournir des mises à jour logicielles plus longues et à ne pas créer des verrous artificiels à l’installation des nouvelles versions (comme c’est le cas pour Windows 11 par exemple). Source : GreenIT.fr Données et méthodologies utilisées : [1] https://www.canalys.com/insights/end-of-windows-10-support-could-turn-240-million-pcs-into-e-waste [2] https://windowsreport.com/desktop-vs-laptop-market-share/ [3] Selon la méthode ACV (ISO 14040/44) et avec les facteurs d’impacts de la base de données NegaOctet.org.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    A 2

#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Solution. Six structures historiques de l’économie sociale et solidaire (ESS) s’associent pour développer une filière du réemploi solidaire. Celle-ci entend offrir une alternative face au développement de nouveaux acteurs lucratifs sur ce qui est devenu un vrai marché.
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Mettre fin au consumérisme, aux vêtements à usage unique, à l’achat d’un nouveau smartphone chaque année… Depuis 70 ans, l’objectif des structures du réemploi solidaire est de prendre soin des choses, de recycler, de réparer, de vendre à des prix abordables, et de sensibiliser les citoyens sur les enjeux de sobriété et les solutions à la crise environnementale. Une activité « stratégique au moment où la nécessité de consommer moins et mieux devient une urgence » souligne l’Union pour le Réemploi Solidaire (UPRS), une nouvelle structure créée début mars à l’Assemblée nationale. Celle-ci est portée par 6 réseaux historiques nationaux : Coorace, Emmaüs France, Envie, ESS France, L’Heureux Cyclage, Réseau National des Ressourceries et Recycleries, acteurs historiques de l’Économie sociale et solidaire (ESS). « Les six réseaux représentent 2000 structures de réemploi solidaire dans tous types de milieux en France. Ce sont 40 000 personnes en activités, 20 000 bénévoles et 7 millions de bénéficiaires qui viennent dans nos lieux de ventes pour s’équiper à petit prix », explique ainsi Valérie Fayard, directrice générale adjointe d’Emmaüs France. Pour les structures fondatrices de l’Union pour le Réemploi Solidaire, le message pour les acteurs du milieu est clair : « construire un monde plus sobre et vivable », sans rien céder aux acteurs lucratifs, dont l’intérêt grandissant pour le réemploi menace la dimension sociale de la seconde main. En savoir + : Comprendre l’économie sociale et solidaire (ESS) en 4 questions Un marché du réemploi de plus en plus lucratif L’idée d’une telle structure a pris forme il y a quelques années. En 2018, les six structures se sont retrouvées autour de la table pour la préparation de loi Agec (sur l’anti-gaspillage et l’ économie circulaire), puis pour la feuille de route « économie circulaire » (Frec). Avec l’UPRS, ces acteurs historiques du réemploi solidaire souhaitent désormais s’affirmer comme une voix de référence des structures de l’ESS sur le marché du réemploi face à des acteurs lucratifs de plus en plus nombreux et des frontières de plus en plus poreuses entre associations et entreprises lucratives à « missions ». En effet, la réforme engagée par la filière responsabilité élargie des producteurs (REP) pour la prévention et la gestion des déchets, portée par la loi Agec, a permis le développement de la filière du réemploi en contraignant les filières concernées à « financer, organiser et mettre en place les solutions de collecte, de réutilisation ou de recyclage appropriées », explique une note du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Mais ce tremplin pour le réemploi s’est aussi accompagné de l’arrivée d’autres acteurs du secteur privé, bien moins présents sur le volet « solidarité ». « De plus en plus de marques font du réemploi (travail d’allongement de la durée de vie des produits) un levier pour accroître leurs ventes et leur notoriété en utilisant le vocabulaire et les lignes de force du réemploi non lucratif (impact écologique et social). Il est temps que la confusion cesse », regrette l’Union pour le Réemploi Solidaire. En savoir + : Changer d’échelle : les défis de l’économie sociale et solidaire (ESS) Construire et développer un modèle plus éthique de réemploi Valérie Fayard vise en particulier ces entreprises qui « ne collectent que ce qui a de la valeur » laissant ainsi aux acteurs solidaires des produits de moindre qualité. En 2023 déjà, Emmaüs alertait ainsi sur le fait de ne pouvoir vendre que 40% des objets collectés contre 60% il y a 20 ans. Elle dénonce aussi les entreprises qui pratiquent un « réemploi qui est faussement de l’économie circulaire, ou qui encourage la consommation ». Par exemple en proposant des bons d’achats dans leur magasin, en assurant le reconditionnement dans des pays lointains et moins-disants socialement ou environnementalement parlant, ou encore en incitant les consommateurs à acheter toujours plus avec un système de promotion. Sans les nommer, les intervenants à l’événement pointent du doigt les nouveaux géants du réemploi, Back Market, actuel leader du marché du reconditionné, ou Vinted, spécialiste des vêtements et des accessoires de seconde main. « Pour nous, ces modèles sont aberrants puisqu’ils incitent à la surconsommation, alors même que l’économie circulaire prône la sobriété », complète la directrice adjointe d’Emmaüs. L’Union propose un modèle différent, composé de petites structures avec un objectif commun, celui de promouvoir « une consommation éthique, éco-responsable et raisonnée ». En développant le réemploi solidaire l’idée est de concilier la dimension environnementale en allongeant la durée de vie des produits et la dimension sociale, en permettant aux plus modestes d’accéder à certains produits, mais aussi de favoriser l’insertion des personnes éloignées de l’emploi dans les filières de reconditionnement par exemple. « La confusion sur notre identité, nos objectifs, je pense que cela aboutit forcément à l’échec du réemploi solidaire, juge Guillaume Balas, délégué général de la Fédération Envie, c’est pour cela que je prône que chaque acteur [lucratif ou solidaire] soit clair sur ses intentions et qu’on puisse échanger pour trouver un compromis”. Les acteurs attendent malgré tout que l’État joue son rôle de médiateur et aide les entreprises de l’ESS à faire face à ces nouveaux acteurs lucratifs, en déployant à la fois des moyens financiers à la hauteur des enjeux environnementaux et sociaux, et en garantissant que les entreprises lucratives n’aient pas une « emprise totale » sur les gisements d’objets de qualité. 7 propositions pour développer un réemploi solidaire – Agir sur les changements de comportement. – Garantir l’accès à une offre de Réemploi Solidaire pour tous.tes à moins de 15 minutes de chez soi. – Déployer des moyens financiers à la hauteur des enjeux écologiques et sociaux. – Définir les barèmes de soutien au Réemploi Solidaire par l’Etat dans le cadre d’une vision de filière prospective et ambitieuse. – Garantir aux structures de l’ESS un accès à des gisements d’objets de qualité. – Créer l’Ecole du Réemploi Solidaire. – Faire de la réparation un réflexe pour chaque citoyen qui soit source d’économies et de réduction de son empreinte environnementale.
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2024-04-05
Bulletin n° 12    B 1

#Principal :
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
région GrandEst
RSE
Interêt :
opérationnel
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
Non Classés :
appel à projets

Cet appel à projets à pour objectif de favoriser l’innovation pour une économie circulaire dans le secteur du numérique afin de promouvoir l’écoconception, la sobriété et l’allongement de la durée de vie des solutions numériques.
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Le détail de l'aide Dans le cadre du plan d'investissement France 2030, cet appel à projets s’inscrit dans la stratégie d’accélération « Numérique Responsable », issue d'une volonté politique du Gouvernement de réduire l’empreinte environnementale du numérique. Cet appel à projets a pour objet de soutenir des projets qui apparaîtront les plus innovants pour favoriser le développement d’une filière numérique écoresponsable autour d’au moins un de ces trois des sept piliers de l’économie circulaire : le pilier « écoconception » (fabrication de produit ou service) le pilier « réemploi / reconditionnement » (allongement de vie d’un produit) le pilier « modes de production responsables » : « économie de la fonctionnalité » et « low tech » Tous les projets qui s’inscrivent au moins dans l’un de ces trois piliers écoconception, réemploi/reconditionnement et modes de production responsables pourront être candidats. Sur chacun de ces trois piliers, des projets visant la création de biens communs pourront être éligibles aux financements de cet appel à projets. Dans ce cas, une annexe dédiée « biens communs » est à remplir par le porteur pour notamment justifier de la mise à disposition et diffusion des travaux. Coût total du projet : entre 300 000 euros et 5 000 000 euros. Durée projet : 36 mois maximum. 1ʳᵉ clôture : 29/11/2023 2ᵉ clôture : 31/05/2024. La réunion de pré dépôt doit avoir lieu obligatoirement avant le 30/04/2024.
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 12    B 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Un décryptage de Jade Delahais pour La Fabrique écologique. Sommaire : Introduction L’empreinte écologique indélébile laissée par les outils numériques Une consommation énergétique significative Les conséquences sociétales du plan numérique Conclusion : l’école numérique, un concept à hauts risques Télécharger le décryptage Bibliographie Documents joints
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L’école numérique : des conséquences environnementales que l’on ne soupçonne pas – Décryptage – N°24 Ce Décryptage a été réalisé par Jade Delahais, élève de Terminale au lycée Notre Dame de Meudon. Ce travail a été mené dans le cadre du concours de plaidoiries pour l’environnement « Terr’eau fertile», à destination des lycéens, et organisé par le Bureau des Elèves d’AgroParisTech. Jade Delahais a remporté le second prix du concours, grâce à sa plaidoirie portant sur les impacts écologiques du numérique. La Fabrique Ecologique, partenaire du concours, a récompensé cette performance en mettant à disposition sa rubrique Décryptage, permettant ainsi à l’auteure de développer sa plaidoirie et de toucher un public large. Jade Delahais, lycéenne, a choisi d’appliquer son raisonnement sur le numérique à la question de son déploiement dans l’enseignement primaire et secondaire. La synthèse de son travail a été réalisée par Lara Benattar et Guillaume Buttin, chargé.e.es de mission à La Fabrique Ecologique.
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 12    B 1

#Principal :
culture numérique
exemples
#Secondaire :
entreprise
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Le numérique va peser de plus en plus lourd dans la facture écologique, avec les terminaux en tête. C’est que détaille dans cette tribune Raja Trabelsi, Docteur en impact carbone et environnement pour la société Saaswedo, spécialiste de l’environnement de travail durable. Le numérique a envahi notre quotidien. Les Français ont du mal à détourner leurs regards des écrans entre les smartphones, les PC portables, les TV et les tablettes. On compte en moyenne 8 équipements par utilisateur. Bien que le numérique donne l’impression d’être immatériel, impalpable et hautement virtuel, une pollution bien réelle se cache derrière lui.
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Multiplier le poids d’un appareil par 16 pour connaître la pollution qu’il génère Pour illustrer la pollution d’un appareil connecté, il suffit de multiplier son poids par près de 16 pour avoir une idée de la pollution qu’il génère. Ces équipements consomment près de 5 fois plus de ressources naturelles que le parc automobile français. On estime que la pollution numérique sera équivalente au trafic automobile mondial en 2025. Les émissions du numérique peuvent atteindre 6,7% des émissions de la France en 2040 sans politique publique de sobriété numérique D’autre part, une étude du Sénat sur l’empreinte environnementale du numérique a conclu qu’en 2018 l’impact du numérique était de 3,7% des émissions mondiale de gaz à effet de serre et de 4,2% de la consommation mondiale d’énergie primaire. En 2022, cet impact atteint 4% des émissions des gaz à effet de serre et 10% de l’électricité mondiale. Enfin, l’étude estime que les émissions du numérique peuvent atteindre 6,7% des émissions de la France en 2040 si aucune politique publique de sobriété numérique n’est déployée.
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veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 12    A 2

#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
RSE
Média :
actu
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
Non Classés :
agenda



veilleur1
2024-04-05
Bulletin n° 12    B 2

#Principal :
culture numérique
#Secondaire :
RSE
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique

Outils. Le greenwashing, vous connaissez. Mais savez-vous ce que l’on entend pas greenhushing, greenblaming ou greenwhishing ? Youmatter vous dit tout sur ces mots qui cachent les nouveaux maux de l’écoblanchiment !
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Le greenhushing (éco silence) Pour vivre heureux (et tranquille), vivons cachés ! C’est le nouveau précepte de communication suivi par de nombreuses marques ces derniers mois sur leurs engagements environnementaux et notamment climatiques. Tant et si bien que le greenhushing est devenue la « nouvelle normalité », selon une étude de South Pole de 2024. Car après avoir communiqué sur le vert à tort et à travers, les retours de bâton légaux et réputationnels ont calmé les ardeurs, explique Mathis Navard, docteur en Sciences de l’Information et communication à l’IAE de Poitiers dans un article sur The Conversation. C’est notamment le cas chez les compagnies pétrolières ou les vendeurs de biens de consommation comme BP, Shell ou Amazon. Mais le concept a aussi évolué, précise le chercheur. Jusqu’en 2022, il décrivait surtout une communication visant à réduire la dissonance entre les valeurs écologiques de l’entreprise et celles des clients. Désormais, il fait essentiellement référence à l’absence de communication. Le greenwishing (éco désir) Il y a ceux qui disent beaucoup et qui font peu (le greenwashing classique). Et il y a ceux qui veulent beaucoup… mais qui n’obtiennent pas les résultats escomptés. C’est parfois ce qui se passe « lorsque les institutions financières croient vraiment en l’ESG mais ne parviennent pas à obtenir les impacts et les résultats communiqués et/ou escomptés », souligne PwC Suisse dans une étude parue l’an dernier. Il arrive bien sûr que cela soit involontaire. Mais cela peut également être dû au fait que l’entreprise ou l’investisseur ne mette pas de vraie stratégie en place ou ne se fixe pas d’objectifs réalistes… Ce qui n’est autre que du greenwashing ! Par exemple, intégrer une alliance Net zero ou annoncer des trajectoires de neutralité carbone sans mettre en face les moyens d’y parvenir, peut tout à fait entrer dans cette catégorie. Attention: les régulateurs financiers comme l’AMF en France s’intéressent de plus en plus à ce petit manège, note PwC. En savoir + : Comment lutter contre le greenwashing ? Le greenlighting (éco mise en avant) C’est l’arbre qui cache la forêt ! Multiplier les publicités vantant les mérites de la voiture électrique quand elle ne représente que 5% de l’offre du constructeur ou mettre en avant ses investissements dans les énergies renouvelables quand l’écrasante majorité de ses activités repose sur les énergies fossiles… Le greenlighting est largement utilisé par les entreprises dans leur communication, souligne Planet Tracker dans un rapport où elle analyse les dernières tactiques à la mode à l’attention des investisseurs principalement. L’organisation y dévoile une « Hydre du greenwashing », où les techniques sont de plus en plus sophistiquées. Au côté du greenlighting, on notera ainsi le développement du greenrinsing, où l’entreprise change régulièrement ses objectifs et ses indicateurs de suivi rendant ainsi leur évaluation impossible, par exemple sur des trajectoires climatiques ou de recyclage. Le greenshifting consiste lui à rejeter la faute sur les autres (par exemple quand Shein explique que les autres marques de vêtements polluent aussi). Et l’on parle de greencrowding quand une entreprise se faufile dans une alliance qui n’en fait pas forcément beaucoup mais qui a la force du nombre pour impressionner, comme Alliance to End Plastic Waste (AEPW), que l’ONG cite en (mauvais) exemple. Le greenbotching (écogâchis) « Oubliez le greenwashing, place au greenbotching ! », assurait le Financial Times il y a quelques mois. Ce nouvel avatar de l’écoblanchiment vise des mesures environnementales bien intentionnées mais sans que les moyens nécessaires à leur développement soient réellement déployés…De telles sortes que les conséquences peuvent aller à l’encontre des ambitions. Le quotidien britannique favori des marchés cite en exemple la volonté du gouvernement britannique de pousser la voiture électrique en interdisant la vente de véhicules neufs thermiques en 2035 (comme l’UE)… Mais sans s’assurer de la mise en place rapide d’un réseau de recharge fiable ni d’une stratégie de reconversion des constructeurs automobiles autour des batteries. Résultat : de nombreux conducteurs ont jeté l’éponge en raison du manque de stations de recharge, selon le FT. Et une casse sociale se prépare chez les constructeurs automobiles, alerte l’ONG Carbon Tracker. Pour le Financial Times, la conclusion est claire :« une réaction négative des consommateurs à l’égard des véhicules électriques est néfaste pour les constructeurs automobiles et les investisseurs. En fin de compte, c’est encore pire pour la planète ». Le greenblaming ou greenbashing (éco reproche) Et l’on en vient au mal du moment : la pratique qui consiste à ridiculiser les pratiques, politiques et opinions écologiques, à les dénoncer comme excessives, voire à les accuser de tous les maux, quitte à utiliser de faux arguments. Cela s’appelle le greenblaming ou le greenbashing. Cette stratégie est adoptée par de nombreux partis de droite ou d’extrême droite en Europe et partout dans le monde. Donald Trump en est un bon exemple. Tout comme la frange du mouvement agricole qui s’en est pris aux normes environnementales. De nombreux secteurs sont touchés comme le montre la note de Construire l’écologie sur le greenblaming. Les auteurs y démontent les arguments fallacieux utilisés pour remettre en cause les ZFE (Zones à faibles émissions) ou les pompes à chaleur. Cette tactique est particulièrement désastreuse car, jouant sur les craintes des populations, elle vise – et réussit en partie en ce moment- à suspendre, stopper ou faire reculer les politiques de transformation écologiques.
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veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    A 1

#Principal :
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
légal
technologique

En France comme en Europe, la filière de recyclage des « D3E » est plus développée que dans le reste du monde. Mais sa complexité technique et la forte progression des gisements mettent ses capacités à l’épreuve.
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Trop vite jetés, trop rarement recyclés, les déchets électriques ou électroniques (dits DEEE ou D3E) s'amassent partout sur la planète et constituent la source de déchets connaissant la croissance la plus rapide au monde. D’ici 2030, ils devraient représenter 75 millions de tonnes de déchets. Soit quasiment deux fois plus qu’en 2014.


veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    C 1

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
écologique
technologique

Nous, acteurs de la tech, avons la responsabilité de réduire l’impact considérable de notre activité sur la planète. La bonne nouvelle : en 2024, les étoiles s’aligneront pour que nous y arrivions. Voici comment ! Par James Martin, Content & Environment Lead de Scaleway, dans le cadre de notre opération “Tribune d’hiver”.
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Dans la tech, on a tendance à croire que notre activité est plutôt propre. Après tout, on travaille sur des ordinateurs tout neufs, on édite des documents hébergés sur un cloud immaculé, on limite nos déplacements grâce aux réunions en visio… Hélas, c’est faux. Le secteur numérique représente 4% des émissions de gaz à effet de serre - le double de l’aviation civile - et cette part pourrait tripler d’ici à 2050 sans actions correctives, d’après l’ADEME, l’agence environnementale nationale. Près de 80% de ces émissions proviennent du hardware, d’après une étude de l’ADEME et l’Arcep (16% des datacenters, 5% des réseaux). Et les datacenters, où vit réellement ce “cloud immaculé” cité plus haut, représentent 1% des émissions mondiales. La responsabilité de réduire l’impact du numérique devrait donc revenir aux fabricants d’appareils, et aux fournisseurs de cloud, non ? Hélas, c’est faux de nouveau ! Tout hardware, où qu’il soit, tourne grâce aux logiciels écrits par des développeurs. Et parfois, ces applications ne sont pas optimisées. D’après Intel, 50 % des émissions des datacenters sont dûes à des inefficacités d’infrastructure et de logiciel. Réduire l’impact du numérique est donc l’affaire de nous tous, et non seulement celles et ceux qui travaillent dans l’IT. Et comme le COP28 vient de nous le rappeler, il ne nous reste pas beaucoup de temps si on veut limiter le changement climatique à +1,5 - 2°C d’ici à 2050. Alors, pourquoi 2024 sera-t-elle l’année du green IT ?
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veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
RSE
Interêt :
opérationnel
Média :
lecture
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique

Envie de maîtriser le langage du zéro déchet ? Voici un récapitulatif des principaux mots clés, à retrouver également dans notre guide "Idées Pratiques 6 Se mettre (vraiment) au zéro déchet : mode d'emploi", édité en partenariat avec Zero Waste France.
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Heureusement des solutions existent pour en finir avec le gaspillage à tous les niveaux : l'arrêt des produits à usage unique, le passage au vrac ou au compost, le tri de ses emballages et de ses papiers, ou encore la mise en place d'une réflexion sur sa consommation personnelle... Autant d'alternatives qui peuvent s'appliquer au quotidien. Mais pour vraiment réduire sa poubelle "grise", il faut d'abord savoir ce qu’elle contient : selon l’ADEME, 35 % de papiers et d’emballages qui auraient pu être triés, 27 % de déchets organiques qui auraient pu être compostés, 5 % de déchets disposant de filières dédiées, mais aussi des textiles sanitaires et d’autres déchets. Pourtant, on estime que près des 3/4 de son contenu n’y a en réalité pas sa place, alors pour mieux gérer ses déchets ménagers, il faut déjà comprendre leur sens et connaître leur définition. Découvrez le petit lexique utile du zéro déchet "Qu’est-ce que... ?" pour mieux gérer ses déchets, également à retrouver dans notre guide Idées Pratiques 6 "Se mettre (vraiment) au zéro déchet : mode d'emploi" édité en partenariat avec Zero Waste France : Le recyclage "Le recyclage implique un traitement de la matière d’un déchet afin de fabriquer un produit identique au produit original devenu déchet, ou bien des produits de qualité moindre : on parle dans ce cas de décyclage. De par ce traitement de matière, le recyclage se distingue du réemploi et de la réutilisation." La consigne "La consigne désigne une somme d’argent supplémentaire (souvent quelques centimes) payée à l’achat d’un produit emballé à son point de vente et qui est retourné à l’acheteur lorsqu’il rapporte l’emballage vide. La consigne pour réemploi permet de faire entrer l’emballage dans un cycle de réutilisation (récupération, lavage et re-remplissage du récipient), là où la consigne pour recyclage vise à encourager le geste de tri pour augmenter les performances de recyclage." Le reconditionnement "Le reconditionnement consiste à faire intervenir un professionnel pour remettre en état de fonctionnement un produit électronique ou électroménager ayant déjà servi. Ces produits bénéficient de la garantie légale de conformité d’une durée minimum de six mois." Le réemploi "Le réemploi est défini par le code de l’environnement comme ‘toute opération par laquelle des substances, matières ou produits qui ne sont pas des déchets sont utilisés de nouveau pour un usage identique à celui pour lequel ils avaient été conçus." La tarification incitative "La tarification incitative, c’est le mode de facturation pour la gestion des déchets ménagers et assimilés qui indexe une partie de la facture sur la quantité de déchets produits par foyer. Une partie de la facture reste fixe pour couvrir les coûts incompressibles devant être supportés par tous les usagers, et l’autre partie de la facture dépend, quant à elle du poids, du volume ou du nombre de levées." Les bioplastiques "Le terme "bioplastique" recouvre à la fois les plastiques dits "biosourcés", "biodégradables" ou encore "compostables". Si un "bioplastique" peut à la fois être biosourcé et biodégradable, il peut tout aussi bien n’être que l’un ou l’autre." Les biodéchets "Les biodéchets, ou déchets organiques, sont issus de ressources naturelles végétales ou animales. Ils sont constitués principalement des déchets de cuisine (épluchures de légumes et autres restes alimentaires) et des déchets verts du jardin (tailles de haie, tonte de gazon, feuilles mortes…). Ils représentent 30 % des déchets de la poubelle d’ordures ménagères. Ce qui signifie qu’ils sont encore trop largement incinérés ou enfouis, alors qu’en les triant, ils peuvent être valorisés, en compost par exemple." Retrouvez toutes les informations en lien avec l'intégration du zéro déchet et la gestion de nos déchets au quotidien, avec des chiffres clés, des interviews d'experts et témoignages de nos lecteurs, des conseils, ainsi que des solutions concrètes et pratiques, dans le guide Idées Pratiques 6 "Se mettre (vraiment) au zéro déchet : mode d'emploi"
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veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    A 1

#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
tactique
Média :
actu
Podcast
Objectif :
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Plus d'une personne de 60 ans sur trois est en situation d'illectronisme mais il touche également un jeune sur cinq. Contrairement à l’e-exclusion qui définit le manque de moyens, l’illectronisme désigne le manque de savoir face aux outils numériques. Un fléau qui handicape un Français sur cinq. Contraction d’illétrisme et d’électronique, l’illectronisme est un néologisme apparu au début des années 2000. Il se définit par une maîtrise insuffisante des compétences numériques de base, nécessaires à toute personne pour effectuer de manière autonome des actes de la vie courante. Didier Barathon, spécialiste de l'économie numérique et auteur du livre L'exclusion numérique - Fracture numérique et illectronisme, estime qu’il touche aujourd’hui 10 à 15 millions de Français dont 3 à 5 millions cumulent fragilité sociale et numérique. Véritable cause de rupture avec la société, Cette fracture touche tous les âges, toutes les classes sociales,** contrairement aux idées reçues.
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Les personnes âgées mais aussi les jeunes En 2023, notre société est devenue quasiment entièrement numérique. Par souci d’économies, de plus en plus de sociétés optent pour la dématérialisation. Les administrations et grandes entreprises publiques, en tête de liste. Passer au numérique nécessite une adresse email mais en créer une pour des non-initiés relève d’une véritable gageure. Pour ceux qui semblent être les plus touchés, on pense en premier aux personnes âgées mais Didier Barathon révèle que c’est un préjugé. L’illétrisme numérique touche un peu tout le monde, y compris des tranches d’âge plus étonnantes « Dans les permanences, on rencontre des jeunes qui ne savent pas aller sur Google pour trouver une offre d'emploi, qui ne savent pas récupérer leur mot de passe et en faire, qui trouvent inutile de télécharger et d'aller sur des espaces particuliers de la sécurité sociale, de la mutuelle ». Le spécialiste de l’économie électronique explique que l’on rencontre même ce phénomène chez des jeunes diplômés qui ne savent pas se servir des outils bureautiques de base lorsqu’ils arrivent en entreprise « Il y a un enseignement technique numérique à l'école, mais on évite souvent ces savoirs de base, comme les outils bureautiques, parce que l'on pense que tout le monde les connaît. En réalité non, tout le monde ne les connaît pas. Et quand vous cherchez du travail ensuite, c'est un sacré problème. Et quand vous êtes dans une entreprise, ou dans une administration ou dans une association, on considère que vous savez automatiquement le faire ». Exclusion numérique rime souvent avec exclusion sociale Pour un tiers des 15 millions de Français touchés par le phénomène, Didier Barathon précise qu’il s’agit de personnes maîtrisant mal le français, ayant reçu une éducation de premier niveau, gagnant de très faibles revenus et parfois même habitant dans une zone géographique isolée. Pour certaines, elles n’ont pas la fibre optique, n’ont pas forcément accès à un ordinateur et même si elles y ont accès ne savent pas forcément l’utiliser « Les gens sont complètement perdus sur un ordinateur, c'est finalement très compliqué quand vous n'avez jamais utilisé un ordinateur. Imaginez, vous n'avez jamais utilisé un ordinateur de votre vie, vous avez vu uniquement un capot. Donc la personne, il faut la faire venir de l'autre côté de l'ordinateur, lui faire découvrir le clavier, lui faire ouvrir, allumer, éteindre l'ordinateur, lui faire comprendre comment fonctionne la souris, la faire aller sur Google, lui créer une adresse mail et ensuite c'est parti elle peut se connecter aux services publics, la cantine des enfants ». De même elles se retrouvent souvent isolées familialement ou dans leur travail, ce qui renforce leur illectronisme et leur sentiment de honte car elles ne peuvent rien faire.
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veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    C 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

Téléphones portables, éoliennes, voitures électriques, rafales, ampoules LED, avions... La liste des objets utilisant des terres rares est presque sans fin. Ces terres rares portent mal leur nom : ce sont des métaux qui ne sont pas rares (certains sont aussi abondants dans la croûte terrestre que le cuivre ou le plomb) mais difficiles à extraire car ils sont mélangés avec d’autres éléments. Le monopole chinois sur les terres rares n’est donc pas une fatalité et une autonomie européenne (au moins partielle) est possible dans ce domaine, cependant, elle impliquerait un fort investissement et pose la question de la (ré)ouverture des mines avec beaucoup d’incertitudes... une chose est cependant sûre : dans la transition énergétique et le développement du monde numérique qui s’annoncent, les terres rares ne laisseront personne indifférent.
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Des matières premières hautement stratégiques Ainsi, les terres rares ne se trouvent pas de manière brute mais doivent être séparées des autres éléments : c’est ce qu’on appelle le raffinage, un procédé nécessaire mais très polluant. Par exemple, pour avoir 1 kilo de gallium, il faut par exemple extraire 50t de roches et, cas extrême, pour 1 kilo de lutécium, il faut 1200t de roches ! Contrairement au pétrole ou au gaz, ce marché a une taille ridicule au niveau mondial (valant près de 5 milliards de dollars... la production de terres rares ne représente en quantité que 0,01% de celle de l’acier !) mais son importance stratégique est capitale car il est au cœur de produits clés dans des domaines hautement stratégiques comme la défense ou à forte croissance comme les technologies ou la transition énergétique. Leur consommation devrait ainsi être multipliée par au moins 7 d’ici 2040 selon l’ADEME. Stricto sensus, les terres rares sont constituées de 17 éléments aux noms peu évocateurs (néodyme, cérium, thulium,...) ayant des propriétés physiques proches. Cependant, lorsqu’on les évoque d’un point de vue économique, on pense surtout aux métaux clés pour assurer notre indépendance industrielle : ceux-ci sont rassemblées par la Commission européenne dans une liste de matières premières critiques. Ce sont donc les 30 métaux de cette liste qui seront évoqués dans cet article dont certains peuvent être familiers : la quasi-intégralité des terres rares mais aussi le lithium, le cobalt ou le titane. Un marché à hautes tensions géopolitiques Le 7 septembre 2010, le Japon arrête le capitaine d’un chalutier chinois dans sa zone maritime que Pékin revendique depuis les années 1970... la Chine réagit alors immédiatement en arrêtant l’exportation de terres rares vers son voisin. Si cet embargo n’a duré que quelques semaines (le Japon ayant décidé de libérer le capitaine du chalutier chinois), il a grandement inquiété l’industrie japonaise dépendante à près de 90% de la Chine pour son approvisionnement en terres rares et a fait exploser les cours mondiaux de ces métaux. Et surtout, il a montré que les terres rares peuvent être un outil politique surtout contrôlé par un pays : la Chine. En effet, aujourd’hui, l’Union européenne est dépendante à plus de 90% de la Chine pour ses importations de terres rares : un chiffre énorme qui pose de graves problèmes stratégiques. En dehors d’un embargo (cas extrême), Pékin peut très bien utiliser les terres rares pour obtenir des concessions stratégiques ou augmenter artificiellement les prix. Elle pourrait aussi décider de ne plus vendre de terres rares que dans des produits finis : par exemple, si elle stoppe l’exportation de terres rares, elle peut tuer l’industrie des voitures électriques étrangères et ainsi imposer à ses partenaires commerciaux d’acheter des voitures électriques made in China. Face à une situation de dépendance addictive de l’Union européenne et de nombreux pays vis-à-vis de la Chine, difficile d’imaginer un monde où les pays occidentaux étaient non seulement auto-suffisants mais exportateurs de terres rares et pourtant, il a existé. Comment en est-on arrivé là ? Il y a 3 phases de domination sur le marché des terres rares : la première phase se déroule avant 1965 où les principaux producteurs étaient l’Afrique du Sud, le Brésil et l’Inde mais la production était marginale. La 2ème est celle de la domination occidentale sur ce marché : entre 1965 et 1985, la majorité des métaux rares y étaient extraits et raffinés (aux États-Unis surtout mais en Europe également). Comprendre la bascule entre cette phase et la phase actuelle (celle de la dominance chinoise) peut se voir à travers 2 hauts lieux des terres rares : la mine de Moutain Corp aux États-Unis et l’usine Rhône Poulenc en France. La mine de Moutain Pass était, de loin, la plus grande mine mondiale de terres rares dans les années 1970. Clé de l’autonomie stratégique en terres rares américaines, elle produisait des dégâts environnementaux considérables en rejetant de grandes quantités d’eau dans les bassins environnants (en 15 ans, on y a dénombré une soixantaine d’accidents). Suite aux inquiétudes des riverains et des autorités locales, les dirigeants de Molycorp (l’entreprise qui exploite la mine) se sont interrogés, à la fin des années 1990, sur la pertinence de rester aux États-Unis. Au même moment, la Chine émerge en faisant un dumping sur le secteur minier : des régulations environnementales inexistantes permettent à la Chine de produire des terres rares près de 2 fois moins chères qu’aux États-Unis... Face à la concurrence chinoise, la mine de Moutain Pass ferme en 2002. La France a également subi des problèmes similaires avec son usine de Rhône-Poulenc. Dans les années 80, celle-ci assurait le raffinage de plus de 50% des terres rares produites dans le monde (il y a en effet 2 phases pour obtenir des terres rares : l’extraction où elles sont mélangées avec des roches et le raffinage/purification qui consiste à extraire les terres rares des roches). L’usine située dans la baie de la Rochelle avait consenti à d’importants efforts pour limiter les impacts de son activité mais le raffinage des terres rares étant une activité polluante par nature, l’usine émettait du thorium (un élément radioactif). Les riverains se mobilisant de plus en plus face aux risques que posaient l’usine, Rhône-Poulenc décide en 1994 de délocaliser ses activités en Chine... mettant ainsi fin au raffinage des terres rares en France et en Europe.
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veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    C 1

#Principal :
culture numérique
inspiration
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
technologique

La Chine s'apprête à interdire les exportations de technologies de fabrication de métaux et d'aimants à base de terres rares. Cette mesure prise par le principal fournisseur mondial de ces minéraux pourrait compliquer la tâche des États-Unis et d'autres pays occidentaux qui souhaitent augmenter leurs approvisionnements en matières premières stratégiques.
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Paul Allen en parle sur Bloomberg Television.


veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
Média :
actu
Objectif :
agir
savoir

"L'économie circulaire au service de la décarbonation"


veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    A 2

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
région GrandEst
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
économique
social
Non Classés :
agenda



veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social



veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
région GrandEst
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Équiper, former, connecter : voici les trois mots d’ordre d’Emmaüs Connect. Depuis cinq ans, l’association lutte à Strasbourg contre la précarité numérique en proposant du matériel à un tarif solidaire et des ateliers pour mieux maîtriser les outils du quotidien et accéder à ses droits.
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« Je n’arrive à rien, il ne marche pas cet ordinateur », s’agace une femme. Face à elle, André, un bénévole d ’Emmaüs Connect, la branche de l’association luttant contre l’exclusion numérique créée nationalement il y a dix ans. « Je crois que vous tenez simplement votre souris à l’envers », lui glisse-t-il. Le visage de la participante s’éclaire et elle commence à rire avec sa voisine de table. « Ce n’est pas grave, ça arrive ! », la rassure-t-elle. Cinq fois par mois, l’antenne strasbourgeoise d’Emmaüs Connect, située 33 rue Kageneck, propose des ateliers de groupe à leurs bénéficiaires.
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veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    A 1

#Principal :
culture numérique
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
partenaires
région GrandEst
Interêt :
opérationnel
stratégie
tactique
Média :
actu
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
légal
politique
technologique

Le 1er janvier 2025, toutes les communes et intercommunalités de plus de 50 000 habitants devront publier leur stratégie numérique responsable.

Le compte à rebours est enclenché : dans 11 mois, le 1er janvier 2025, toutes les communes et intercommunalités de plus de 50 000 habitants devront publier leur stratégie numérique responsable, exigée par l’article 35 de la loi Réduction de l’Empreinte Environnementale du Numérique (REEN) votée en novembre 2021. En principe, toutes les collectivités concernées ont dû élaborer, dès le 1er janvier 2023, un programme de travail qui comprend notamment un état des lieux des acteurs concernés et un bilan de l’impact environnemental du numérique. Il faut désormais accélérer, et structurer vos démarches pour formaliser et faire voter votre stratégie avant le 1er janvier 2025. Pour ce faire, suivez les conseils, et les 10 étapes clés du projet exposés lors de ce webinaire organisé par La Gazette des communes avec Les Interconnectés et l’Institut du numérique responsable, avec les interventions de Céline Colucci, Directrice générale Les Interconnectés, Sophie Provost, présidente de l’Institut du Numérique Responsable, cheffe de projet Numérique responsable à Rennes Métropole, et Marlène Le Dieu de Ville, vice-présidente de la Communauté des communes Lacq Orthez, déléguée à l’économie numérique, aux systèmes d’information et à la culture.
...


veilleur1
2023-12-01
Bulletin n° 11    A 3

#Principal :
culture numérique
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique

Microsoft veut se conformer aux exigences du Digital Markets Act (DMA) de l’Union européenne, qui vise à garantir une concurrence loyale dans le secteur numérique. Pour cela, la firme de Redmond a annoncé une série de changements à venir sur Windows 11, qui donneront plus de liberté aux utilisateurs.
...

Dans le cadre de son effort pour se conformer aux exigences du Digital Markets Act (DMA) de l’Union européenne, Microsoft a annoncé une série de changements à venir sur WIndows 10 et Windows 11. Ces changements permettront aux utilisateurs de choisir entre différents fournisseurs de services et de désinstaller la plupart des applications préinstallées. Windows 11 : fini les applications imposées, place à la personnalisation Les utilisateurs pourront désormais désinstaller le navigateur Edge, le moteur de recherche Bing et d’autres applications préinstallées par Microsoft. Rappelons que la firme vous permet déjà de faire e ménage, puisque les dernières versions de Windows 11 vous laissent déjà désinstaller un maximum d’applications natives. Vous pouvez d’ailleurs retrouver la liste ici.
...


veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 2

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
social
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    B 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    B 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 3

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
social
technologique

2000 élus des intercommunalités en congrès à Orléans



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    B 2

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
mécénat
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
écologique
économique
légal
politique
social



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
partenaires
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
écologique
politique
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 2

#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique



veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 1

#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social


veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 1

#Principal :
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social


veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprises adaptées
partenaires
région GrandEst
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
économique
politique
social
Non Classés :
agenda


veilleur1
2023-11-10
Bulletin n° 10    A 3

#Principal :
culture numérique
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
politique
technologique


veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
légal
politique
technologique



veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    C 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Non Classés :
appel à projets



veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    A 2

#Principal :
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
social
technologique



veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    A 1

#Principal :
exemples
#Secondaire :
mécénat
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
social
technologique
Non Classés :
appel à projets



veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
social



veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
Interêt :
stratégie
Média :
lecture
Papier
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique



veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    A 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
mécénat
partenaires
région GrandEst
RSE
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

Le Centre Départemental de l’Enfance et les Maisons d’Enfants à Caractère Social recevront en prêt 100 tablettes. (2020)


veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    B 3

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique



veilleur1
2023-07-07
Bulletin n° 8    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
social
technologique



veilleur1
2023-05-19
Bulletin n° 7    A 2

#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
écologique
économique
légal
social

Manifeste pour une ESS rassemblée, claire et conquérante !


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
entreprise
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
économique
technologique
Non Classés :
agenda



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Objectif :
agir
comprendre
Pestel+ :
écologique
politique
social
technologique


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    B 3

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
social
technologique


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
social


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
région GrandEst
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
technologique



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
partenaires
région GrandEst
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
économique
technologique


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 3

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
social



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
technologique


veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
mécénat
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
technologique



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Pestel+ :
légal
politique
technologique



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
numérique responsable
#Secondaire :
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social



veilleur1
2023-04-21
Bulletin n° 7    A 2

#Principal :
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
région GrandEst
RSE
Interêt :
opérationnel
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique
Non Classés :
agenda

LA SEMAINE EUROPÉENNE DU NUMÉRIQUE RESPONSABLE EST DE RETOUR POUR SA TROISIÈME ÉDITION DU 12 AU 17 JUIN


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Pestel+ :
écologique
économique
social


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    B 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    B 3

#Principal :
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
entreprise
mécénat
région GrandEst
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
économique
social


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    C 3

#Principal :
exemples
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    C 3

#Principal :
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    A 1

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprises adaptées
Interêt :
tactique
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    B 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
légal
technologique



veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    C 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
Podcast
Vidéo
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
légal
social
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    B 3

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique



veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique


veilleur1
2022-12-01
Bulletin n° 6    B 3

Média :
actu
Web


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    C 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Si le numérique est souvent associé à des aspects positifs pour notre quotidien, son développement a également des impacts non négligeables sur l’environnement et sur les conditions de travail des salariés tout au long de la chaîne d’approvisionnement.
...

En effet, lors la phase de fabrication, les produits numériques nécessitent de nombreuses ressources naturelles (or, platine, tantale, eau…) ayant des conséquences environnementales sur la biodiversité et sur les populations locales. Aussi, afin de tenter de limiter ses impacts, il est conseillé d’acquérir des produits numériques conçus de façon éthique, réparables, et durables.

Telle est l’ambition de la loi AGEC de février 2020 qui passe d’une logique d’incitation à des obligations règlementaires dans le cadre d’achats publics de produits numériques.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 2

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
entreprise
mécénat
partenaires
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
politique
social
technologique
Non Classés :
agenda


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    C 2

#Principal :
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
Pestel+ :
technologique

Windows 11 ouvre une nouvelle ère pour Microsoft. Si cette itération a été présentée comme la continuité de Windows 10, elle apporte tout de même son lot de nouveautés d'envergure.

La plus visible est bien évidemment son design, qui repart de zéro. Dans ce dossier, nous allons faire le point sur tout ce qu'il y a à savoir sur l'OS.


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
opérationnel
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
technologique


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
social
technologique


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
culture numérique
inspiration
#Secondaire :
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
technologique
Non Classés :
agenda


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
Pestel+ :
économique
légal
technologique

Nom initial de l’aide « Accélérez votre projet EdTech avec le programme passerelles »

Description
En partenariat avec makesense, la Banque des Territoires propose Passerelles, un programme d'accélération aux start-up, entreprises et associations EdTech souhaitant :

Favoriser l'accès à l'éducation, principalement pour les personnes les plus vulnérables situées au sein d'un territoire fracturé afin de prévenir le décrochage scolaire et de soutenir les parcours d'apprentissage ;
Contribuer à l'invention de l'école de demain, notamment en repensant les lieux, les acteurs, les outils ou encore les usages pédagogiques ;
Soutenir l'attractivité territoriale en favorisant l'innovation pédagogique et les usages numériques garants d'une éducation de qualité.

Le programme Passerelles est financé par le Plan de Relance de la Banque des Territoires. Il permet de bénéficier d'un accompagnement pendant un an afin de déployer les solutions numériques éducatives à grande échelle.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
exemples
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
économique
politique

Description
Par ce dispositif, la Région Grand Est décide d'accompagner la création d'entreprises innovantes, génératrices d'emplois et de nouvelles activités à fort potentiel.
Bénéficiaires
...

Start-up immatriculées et dont le siège social est en région Grand Est. Les entreprises présentent un niveau de fonds propres suffisant pour mener leurs projets et disposent d'un niveau de capital social libéré significatif. La start up est une entreprise de création récente, disposant de peu d'actifs corporels et évoluant souvent dans un environnement technologique très mouvant. Ses flux de trésorerie disponibles étant négatifs au démarrage, son niveau de risque spécifique est très élevé, ce qui explique son financement par capitaux propres.
L'aide peut intervenir à 2 niveaux :

Sous la forme d'une bourse attribuée au porteur de projet dans les 6 mois qui précèdent l'immatriculation. Cette bourse permet de consolider les fonds propres de la future entreprise ou de l'entreprise créée. Elle est prescrite par les structures s'inscrivant dans le réseau des incubateurs et des accélérateurs du Grand Est – SEMIA, Rimbaud Tech, Incubateur Lorrain, Technopôle de l'Aube, etc.-, qui sont les interlocuteurs du porteur de projet.

Sous la forme d'une aide à Recherche et au Développement attribuée à l'entreprise (une fois, non limitée dans le temps) Cette aide vise à soutenir les premiers développements de la start-up, elle peut être mobilisée pour la Recherche et le Développement, l'industrialisation et la première commercialisation.

Montant de l'aide

Le montant de la bourse est de 30 000 €
Le montant de l'aide à la Recherche et au Développement est plafonné à 100 000 €.

Au total – bourse et aide à la R&D -, l'aide ne peut dépasser un plafond de 100 000 €.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
économique
politique
social
technologique

Description
Cet appel à manifestation d'intérêt est lancé pour la première vague de candidatures des collectivités territoriales et leurs groupements au recrutement et à l'accueil de conseillers numériques dans le cadre de France Relance. Il vise à recueillir les premières propositions des territoires prêts à porter les contrats de travail de ces conseillers en contrepartie du financement par l'État de leur formation et de leur activité.
...

Le Gouvernement agit sur trois axes :
1- 4000 conseillers numériques formés proposant des ateliers d'initiation au numérique au plus proche des Français ;
2- Un soutien aux réseaux de proximité qui proposent des activités numériques, par la conception de dispositifs qui facilitent la formation des habitants ;
3- Des outils simples et sécurisés indispensables aux aidants (travailleurs sociaux, agents de collectivité territoriale, etc.) pour leur permettre de mieux accompagner les Français qui ne peuvent pas faire leurs démarches administratives seuls.

Ces trois axes sont déclinés sous forme de nouvelle offre de services disponible pour les territoires.

L'appel à manifestation d'intérêt permet de candidater pour devenir structure accueillante d'un ou de plusieurs conseillers (donc en charge de porter le contrat de travail) et d'obtenir leur affectation avec une prise en charge financière modulée selon la durée du contrat souhaitée . Allouée sous la forme d'une subvention d'un montant de 50 000 euros par poste (et majorée selon les dispositions réglementaires en vigueur en outre-mer le cas échéant), cette prise en charge par l'État sera versée en trois tranches auprès de la collectivité territoriale qui aura pour charge de rémunérer le conseiller à hauteur du SMIC au minimum.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
économique
politique
technologique

Financer les projets autour de l’économie inclusive
Nom initial de l’aide « L’investissement dans l’économie inclusive »
Les financements décrits dans cette section respectent la réglementation relative aux aides d'Etat et n'emportent donc pas d'éléments d'aide.
...

Vous êtes une collectivité territoriale, une structure d’insertion par l’activité économique ou adaptée aux personnes en situation de handicap, une entreprise engagée dans l’inclusion numérique relevant ou non de l’économie sociale et solidaire, un acteur de l’économie circulaire ou une structure portant un projet de tiers-lieu d'innovation sociale et vous portez un projet dans l’économie inclusive ? Vous souhaitez bénéficier de l'expertise d'un tiers de confiance et être accompagné sur le long terme via des dispositifs adaptés ? La Banque des Territoires vous accompagne en investissant dans vos projets.

Nous finançons ainsi différents projets autour de l’économie inclusive : insertion par l’activité économique, inclusion numérique, tiers-lieux d’innovation sociale et économie circulaire à impact social. Le financement peut se faire sous forme d’investissement direct en fonds propres ou quasi-fonds propres. Pour les projets d’inclusion numérique, la Banque des Territoires soutient également l’opérationnalisation de programmes d’État et accompagne, finance et outille les acteurs de l’inclusion numérique.

Critères d’éligibilité

État d’avancement du projet pour bénéficier du dispositif : Mise en œuvre / réalisation,

Dépenses/actions couvertes : Dépenses d’investissement
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
politique
technologique

L’Arcep et l’Ademe ont remis au gouvernement le 6 mars le dernier volet de leur analyse dédiée à l’évaluation de l’impact environnemental du numérique en France. L’un des quatre scénarios de prospective étudiés met particulièrement à l’honneur les coopérations territoriales pour contenir l’envolée de l’empreinte carbone du numérique d'ici 2050.
...

Au rythme actuel et si rien n’est fait, l’empreinte carbone du numérique pourrait tripler entre 2020 et 2050. C’est l’un des constats posés par l’étude conjointe menée par l’Arcep et l’Ademe sur l’empreinte environnementale du numérique, dont le dernier volet a été remis au gouvernement le 6 mars dernier. Une conclusion qui « interpelle sur la trajectoire tendancielle que pourrait prendre le numérique si rien n’est fait », pointent les institutions dans un communiqué conjoint.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Six ordinateurs ont été remis récemment à des familles du quartier de la Gibauderie dans le cadre de la mission inclusion numérique portée par la Ville.

À la maison de quartier de la Gibauderie, six ordinateurs et une imprimante reconditionnés ont été remis à sept familles bénéficiaires, une opération solidaire qui s’inscrit dans la mission inclusion numérique de la Ville de...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    C 1

#Principal :
exemples
#Secondaire :
mécénat
partenaires
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
Non Classés :
agenda

La Ville d’Épinal organise cinq journées de sensibilisation au numérique responsable, du mardi 14 au samedi 18 mars 2023, au Centre Multimédia d’Épinal (situé place Bassot, en face du marché couvert).
...

Le public est invité à participer gratuitement à des ateliers sur le tri et l’aide au nettoyage des données informatiques, l’utilisation des outils pour un bon usage du numérique et à venir déposer leurs équipements électriques ou électroniques usagés à recycler (point de collecte disponible sur place).

Cet événement est gratuit et ouvert à tous, chaque jour de 9 heures 00 à 12 heures 00 et de 14 heures 00 à 18 heures 00.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    C 1

#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique

« Par négligence ou par naïveté, nous avons sous-estimé l’ampleur du sujet. » Spécialiste de l'économie numérique et ancien journaliste, Didier Barathon s'alarme face à l'exclusion numérique. Découvrez son interview et son livre "Exclusion numérique, Fracture numérique et illectronisme".
...

Le sujet de l’exclusion numérique est-il encore tabou ?
A maints égards, c’est effectivement un sujet tabou. L’exclusion numérique est pourtant un thème largement évoqué, que ce soit au plan national chez les responsables administratifs et gouvernementaux, ou dans les entreprises à travers leurs Fondations et leurs politiques RSE, sans oublier les grandes associations sociales, qui toutes, se sont investies sur le sujet. D’où viennent les tabous qui subsistent encore ?

D’abord, d’une mauvaise appréciation du sujet. Dans l’exclusion numérique, l’important c’est l’exclusion moins le numérique. Le numérique n’est qu’un moyen. Les personnes en difficulté sur ce sujet sont le plus souvent avec un niveau social bas, une éducation initiale élémentaire et avec une activité professionnelle manuelle ou à temps partiel. On peut ajouter la situation géographique, si elle éloigne les personnes en difficulté des centres urbains donc des structures d’insertion ou d’accompagnement, et si elle offre moins de couverture par les réseaux terrestres ou filaires.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    C 1

La mission d’Emmaüs Connect ? Aider les publics en situation de précarité numérique. Tous les publics. Pourtant, à Marseille, un de ses financeurs réclame des informations sur le statut administratif des bénéficiaires. Un flicage qui vise directement les personnes sans papiers et met en colère certain·es salarié·es.
...

Situé boulevard National, à Marseille, le local d’Emmaüs Connect ne paye pas de mine. Une devanture sobre et une porte vitrée derrière laquelle attend patiemment un jeune embauché en service civique. C’est lui qui gère les premiers rendez-vous des personnes en situation de « précarité numérique » souhaitant s’inscrire aux services proposés par l’association. Toute la journée, de nouveaux usagers passent la porte du local pour se procurer un téléphone, une carte SIM ou simplement une connexion internet1. À mesure que les démarches administratives se dématérialisent, le besoin en matériel électronique croît et tout est plus compliqué2 : comment prendre un rendez-vous chez le médecin, à Pôle emploi ou à la préfecture quand on n’a pas les moyens de se payer un ordinateur ou un forfait internet ? Emmaüs Connect agit au quotidien dans plusieurs grandes villes de France, guidé par un principe d’aide inconditionnelle3. Mais cette valeur, centrale pour l’association, est mise à mal par un de ses nouveaux financeurs, remettant en cause les missions en direction des personnes migrantes.
...


veilleur1
2022-10-01
Bulletin n° 5    A 1

#Secondaire :
collectivités
RSE
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
légal
politique
social
technologique

Dans un contexte de transformation numérique des entreprises et de croissance des usages, l’impact environnemental du numérique fait l’objet d’une prise de conscience sociétale forte qui appelle des réponses politiques. Cette demande a été, par ailleurs, clairement exprimée par les acteurs de la Convention citoyenne pour le climat. La transition écologique appliquée au numérique implique d’en connaitre son impact environnemental, d’agir pour un numérique plus sobre et réfléchi, tout en l’utilisant comme levier au service de la transition écologique.
...

Sommaire

La loi Anti gaspillage et économie circulaire (AGEC)
La loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique (REEN)
Le Haut comité pour le numérique écoresponsable (HCNE)
La Feuille de route gouvernementale « numérique et environnement »
L’élaboration d’une feuille de route de décarbonation du secteur du numérique
Le plan de sobriété du groupe de travail numérique
La Stratégie d’accélération Numérique écoresponsable – France 2030
L'appel à projet Econum
...


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    B 1

#Principal :
culture numérique
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    C 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
politique
social
technologique


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    C 2

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
économique
technologique


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    A 1

#Principal :
concurence
exemples
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
entreprises adaptées
mécénat
partenaires
région GrandEst
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    A 1

#Principal :
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
lecture
Papier
Web
Objectif :
agir
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
mécénat
partenaires
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Culture et sobriété numérique : comment faire ?

Le site communicant.info a publié en janvier un livre blanc intitulé « Des pistes pour un numérique responsable ». Un document qui balise la démarche que doivent suivre les acteurs culturels publics ou associatifs soucieux de leur impact environnemental.


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    B 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
mécénat
partenaires
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
technologique

Un cours en ligne pour comprendre l’impact du numérique sur l’environnement

(Agence Ecofin) - Pour atteindre un numérique plus responsable et durable, Inria Academy et FUN Mooc donnent aux professionnels les compétences pour développer des solutions. Par ce programme qui se tiendra en ligne, les partenaires veulent aussi initier un débat critique sur la place du numérique dans le monde.


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    B 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
politique
social
technologique

Vers un numérique responsable : quelles sont les actions menées par la Métropole Rouen Normandie ?

Elle se mobilise pour favoriser les bonnes pratiques visant à réduire l’impact environnemental des nouvelles technologies et entraîne dans son sillage les acteurs du territoire. Cet article est proposé en partenariat avec la Métropole Rouen Normandie.


veilleur1
2022-08-01
Bulletin n° 4    A 1

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Bientôt un Relais numérique d’Emmaüs Connect à Haubourdin pour lutter contre l’illectronisme

Dans quelques jours aura lieu à Haubourdin la première réunion d’information du nouveau Relais numérique. Un dispositif destiné à des personnes en situation d’illectronisme initié par Emmaüs Connect et qui sera mis en place localement par le CCAS et l’Espace Jeunes


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
comprendre
Pestel+ :
écologique
légal
politique
social
technologique

Guide simplifié "Achat Responsable"

Dans une organisation professionnelle, une démarche "Achat Responsable" (aussi appelée "Achat Durable" ou "Achat Éthique") consiste à intégrer des critères environnementaux, sociaux et économiques dans les processus d'achat et de sélection des fournisseurs. L'objectif est donc de minimiser l'impact négatif sur l'environnement et la société, tout en maximisant les avantages économiques et sociaux pour toutes les parties prenantes. Cette stratégie d'achat responsable peut évidemment s'inscrire dans une démarche RSE plus globale.
...


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    2 A

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
RSE
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
agir
comprendre
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Entreprises : comment acheter son matériel numérique de manière plus responsable ?

Valoriser le recyclage ou la réutilisation, adopter une meilleure gestion de l’énergie… Plusieurs actions sont mises en place dans les entreprises pour réduire l’empreinte carbone et avoir des comportements plus éco-responsables. Mais s’il y a bien un sujet qui mérite aussi beaucoup d’attention en raison de la production de nombreux déchets (évitables), c’est le parc informatique.
...


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    B 1

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
tactique
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
politique
social
technologique

Numérique inclusif : acte 2 pour la stratégie nationale

Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique, a annoncé que la stratégie nationale pour un numérique inclusif allait être réactualisée.


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    C 1

#Principal :
inspiration
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
politique
social
technologique

Les inégalités et le numérique à l’École

Dans un billet de blog, Bruno Devauchelle, éditorialiste au Café Pédagogique, dresse un constat sombre du numérique éducatif. Des propos à nuancer.


2022-06-01
Bulletin n° 3    C 2

#Principal :
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
RSE
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
politique
social
technologique

Stratégie numérique responsable : le compte à rebours est lancé pour les collectivités

La loi REEN (Réduction de l'Empreinte Environnementale du Numérique) impose aux collectivités de plus de 50 000 habitants de définir d’ici janvier 2025 une stratégie numérique responsable. La majorité des organisations concernées font face à de nombreux défis à relever, entre autres : gagner en maturité sur la connaissance du numérique responsable et de ses enjeux, faire converger les politiques publiques qu’elles mènent et leur stratégie numérique responsable ou encore embarquer l’ensemble des acteurs en interne et au sein de leur territoire. Dans ce contexte, comment les collectivités peuvent-elles parvenir à faire aboutir une stratégie qui soit à la fois en adéquation avec leur contexte, ambitieuse et en cohérence avec les politiques publiques ?
...


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    B 2

#Principal :
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
économique
technologique

L'Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep) a annoncé qu’elle étendait sa collecte de données environnementales aux fabricants de terminaux et aux opérateurs de centres de données. Un enjeu de transparence pour nombre d'acteurs, qui pourrait s’étendre aussi à l’échelle européenne.
...


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    B 2

#Principal :
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
entreprise
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
économique
technologique

Le premier rapport de l’Observatoire de la RSE et du numérique responsable, lancé par IDC France, dresse un portrait de l’avancée de ces projets dans les organisations publiqu


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    B 2

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
collectivités
mécénat
RSE
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Culture et sobriété numérique : comment faire ?

Le site communicant.info a publié en janvier un livre blanc intitulé « Des pistes pour un numérique responsable ». Un document qui balise la démarche que doivent suivre les acteurs culturels publics ou associatifs soucieux de leur impact environnemental.


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    B 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
région GrandEst
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
savoir
Pestel+ :
écologique
politique
social

Kit de l’éco-délégué messin

Tu es éco-délégué.e ou étudiant.e ? Ou bien enseignant.e dans un établissement scolaire du pays messin ?
Tu souhaites mettre en place un projet de transition écologique dans ton établissement mais ne sais pas par où commencer ni vers quelle structure te tourner ?

Dans le cadre de notre démarche Metz en Transition, l’association la MAEC accompagne les éco-délégués du pays messin et leurs enseignants dans leurs projets de transition écologique et sociale. Notre kit de l’éco-délégué messin peut être téléchargé gratuitement
...


veilleur1
2022-06-01
Bulletin n° 3    A 1

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

La Ville de Lyon donne ses anciens ordinateurs portables à Emmaüs Connect

La Ville de Lyon a offert 166 ordinateurs portables à Emmaüs Collect qui se charge avec la société Tri Rhône-Alpes de les reconditionner, puis de les revendre à prix solidaires aux personnes éloignées du numérique.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    B 1

#Principal :
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Le numérique responsable, nouveau défi des entreprises

"Pourquoi et comment mettre en place une démarche numérique responsable ?" Tel était le thème de l’un des ateliers proposés fin novembre par la CCI Vendée dans le cadre de la 9e Innovation Week. L’occasion de faire un état des lieux et de se pencher sur les raisons de s’intéresser au sujet du numérique responsable, à travers des témoignages et conseils d’experts et d’entreprises.
...


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
culture numérique
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
Vidéo
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Numérique responsable : comment et par où commencer - Le numérique pour tous.


Avec Jean-Noël Barrot, ministre délégué auprès du ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, Michael Trabbia, directeur Innovation ORANGE.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
Vidéo
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
économique
technologique

Quels sont les atouts du numérique éco-responsable pour les entreprises

Ce samedi 4 février, Bastien Mirault, DSI du groupe Unibail-Rodamco-Westfield, s'est penché sur les atouts du numérique éco-responsable pour les entreprises, dans l'émission Tech&Co Business présentée par Frédéric Simottel. Tech&Co Business est à voir ou écouter le samedi sur BFM Business.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprise
mécénat
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social

Numérique responsable : combiner les actions, plutôt que de les empiler

Pour réussir à atteindre les objectifs de l’Accord de Paris, les fabricants d’équipements, les éditeurs de logiciels, les entreprises et leurs collaborateurs doivent agir de manière coordonnée, selon une étude du cabinet Lecko.

Dans sa dernière étude, intitulée « État de l’art de la transformation interne des organisations », le cabinet Lecko a analysé les émissions CO2 d’un panel de 20 000 collaborateurs sur deux années. Si les émissions absolues sont très différentes entre les personnes travaillant dans les bureaux et celles sur le terrain, leur croissance est identique. La moyenne des émissions journalières du panel augmente de 62 % en deux ans.

Les collaborateurs hyperconnectés, qui représentent 10 % du panel, émettent en moyenne 17,1 kgCO2e / an contre 10,5 kgCO2e / an pour la totalité du panel, soit + 66 %. Il y a un enjeu plus important à agir auprès de ces populations, car leur impact est beaucoup plus fort sur les émissions CO2 globales et leur position d’encadrant en font des acteurs clés à convaincre de s’impliquer dans la démarche de décarbonation de l’organisation.
...


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
entreprise
partenaires
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
technologique

La décarbonation du numérique doit accélérer !

Trop peu d'organisations ont aujourd'hui défini des objectifs de trajectoire environnementale pour le numérique, estime Benoit Durand. La mesure de l'empreinte carbone du numérique doit désormais être systématisée.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Don d’ordinateurs de la Métropole à l’association Nouas Solidarité

Mardi 24 janvie 2023, la Métropole de Montpellier a donné plus de 700 ordinateurs fixes, 80 portables, 550 écrans, 40 imprimantes, câbles et autres matériels informatiques à l’association Nouas Solidarité en présence de Manu Reynaud et d'Abdelhak Harraga, président de Nouas Solidarité.

En cédant son matériel informatique réformé à l’association, la Métropole réduit ainsi l’empreinte carbone de ce matériel tout en permettant à des associations et à des particuliers de bénéficier de matériel informatique. Le matériel informatique qui ne peut pas être reconditionné est démonté afin de recycler le maximum de composants. Le reconditionnement des appareils est une voie d’insertion professionnelle d’avenir, qui permet de créer de nouveaux emplois locaux, et participe au développement économique de notre territoire.

« Notre ville et Métropole s’engagent dans la voie du reconditionnement pour donner une seconde vie à nos équipements informatiques et lutter contre l’urgence climatique. Le numérique donne l'impression d'être virtuel et immatériel, or, c'est l'inverse. Si rien n'est fait, l'impact du numérique sur les émissions à effet de serre va bientôt dépasser celui de l'aéronautique. 80 % des émissions du numérique sont dues au matériel, c’est là que nous devons concentrer nos actions : en allongeant la durée de vie des équipements informatiques, en les utilisant à bon escient et en les reconditionnant ou en recyclant, nous réduisons leur coût environnemental et humain », a expliqué Manu Reynaud, Adjoint au Maire et délégué à la ville apaisée, respirable et numérique.
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veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
économique
social
technologique

Initiative électronique circulaire : les bonnes pratiques pour une utilisation numérique responsable

Quelques conseils pour utiliser des produits électroniques de façon circulaire et écoresponsable.
A l’occasion de la journée mondiale Initiative électronique circulaire, et de la journée évènement "Numérique et dématérialisation écoresponsables" organisée par Archimag ce mardi 24 janvier, revenons sur quelques bonnes pratiques à adopter afin de mieux utiliser nos produits numériques.
...


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
concurence
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Beaulieu-sur-Dordogne : Les clés du numérique dévoilées lors d’ateliers

Les ateliers proposés par l’association Familles rurales sont très suivis.

Beaulieu-sur-Dordogne. les ateliers numériques de familles rurales ont du succés. Deux fois par mois, à la maison du département de Beaulieu, Claude Brunie, dans le cadre de l’association Familles rurales, propose des ateliers pour offrir les clés d’un numérique responsable, alternatif et créatif.

L’association contribue ainsi à l’inclusion numérique des publics éloignés, avec des séances destinées à tous et gratuites.

Le numérique est aujourd’hui un passage obligé dans nos actions du quotidien : pour prendre un rendez-vous médical, récupérer un colis ou simplement prendre des nouvelles de ses petits-enfants.
Un outil du quotidien

Mais tous les publics sont concernés, les seniors comme les plus jeunes, l’objectif étant pour les participants de découvrir ou d’améliorer leurs pratiques quotidiennes de l’outil informatique.
...


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    C 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
Vidéo
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
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Bâtir une stratégie numérique responsable (loi 2021-1485 ; décret 2022-1084)


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    B 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
Objectif :
agir
Pestel+ :
écologique
technologique

Arcep : ses préconisations pour soutenir un numérique plus responsable

Le numérique responsable et la consommation d’énergie, sont, on l’aura bien compris, les axes de développement de la stratégie de l’ARCEP comme de l’ensemble des acteurs du numérique, pour les mois à venir.

Côté ARCEP, c’est dans le cadre de préconisations simples que stratégie vient s’inscrire, avec la publication hier d’un ensemble de conseils et de mesures simples destinés aux usagers pour leur permettre de réduire leur empreinte carbone en adoptant une véritable pédagogie autour des enjeux du numérique sous tous ses aspects, des plus primitifs aux plus élaborés.

A cette fin, un certain nombre de documents vont être conçus par le Gendarme des Télécoms, sur la base d’un recueil de données pluridisciplinaire, et permettre la mise en place de gestes simples à adopter par l’ensemble des acteurs de la filière mais surtout par les usagers lambdas.
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veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    C 2

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
Web
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agir
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Pestel+ :
écologique
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Numérique responsable : l’écoconception à la portée de tous quelques bases de l’écoconception web

Le numérique fait partie de nos vies, impossible de s’en passer. Mais bonne nouvelle : on peut faire mieux ! Le numérique responsable, ça existe et il est à la portée de tous.

Arrêtez-vous deux petites minutes et comptez : combien d’appareils numériques possédez-vous ? Ordinateur, tablette, smartphone, écran, peut-être montre connectée, console de jeu, imprimante…

Nous sommes tous consommateurs d’outils numériques, et pour cause : aujourd’hui, on ne peut plus faire sans. Pourtant, leur impact est majeur, alors comment faire ?
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veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 2

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
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Pestel+ :
social
technologique

En Bretagne, l’exclusion numérique mène à « une certaine forme de crise sociale »

À l’image du timbre rouge, de plus en plus de services publics sont dématérialisés. Comment alors, ne pas laisser à la marge les personnes en situation d’exclusion numérique ? Jérôme Tré-Hardy, délégué au numérique à la région Bretagne, nous répond.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    C 2

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
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Pestel+ :
écologique
social
technologique

Comment mettre en place une politique de numérique responsable au sein de votre entreprise

Le numérique responsable, ce n'est pas quelque chose qui se décrète et qui s'arrête, c'est quelque chose de permanent. Ce sont des itérations successives qui vont améliorer chaque jour un peu plus le côté écoresponsable et socio-responsable des entreprises utilisant le numérique.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
opérationnel
Média :
Vidéo
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agir
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Un Mooc orienté stratégie numérique responsable

La plateforme e-learning Métropole Position propose un programme court de formation permettant une première approche du numérique responsable à destination de tous les professionnels. Au menu, cinq heures de contenus vidéos assortis de textes et de références sont accessibles pour instaurer des pratiques IT éco-responsables et éviter les mauvais réflexes.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
opérationnel
Média :
actu
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Pestel+ :
écologique
légal
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Collectivités territoriales et stratégie numérique responsable : que dit le décret et comment agir ?

La prise de conscience de l'empreinte environnementale du numérique a eu un véritable impact sur le gouvernement.

En effet, en novembre 2021, la première loi pour Réduire l’Empreinte Environnementale du Numérique en France a été votée. Puis, en juillet dernier le décret n°2022-1804, à destination des communes et EPCI de plus de 50 000 habitants, a été adopté. Que dit ce décret ? Comment les collectivités territoriales peuvent-elles mettre en place une stratégie numérique responsable ?

Concrètement, le décret oblige les communes de plus de 50 000 habitants et les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre de plus de 50 000 habitants à mettre en place une stratégie numérique responsable à compter du 1er janvier 2025.
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veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    A 2

#Principal :
exemples
numérique responsable
technique métier
#Secondaire :
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
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comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique

Numérique responsable : comment verdir les collectivités ?

L’association les Interconnectés a fait halte pour son intercoTour à Rouen, mardi 13 décembre. L’occasion de faire le point sur le numérique responsable et sur les ingrédients à réunir pour une transformation numérique réussie.


veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    B 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
économie sociale et solidaire
entreprise
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
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agir
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Pestel+ :
écologique
social
technologique

Soutenir le numérique social et solidaire, le trou dans la raquette qu'il faut combler avant 2030

À l’occasion du #GivingTuesday en France, le Social Good Accelerator - think et do tank de l’économie sociale numérique - lance sa campagne de collecte et d’adhésion. Pour développer par le biais des coopérations un modèle numérique européen solidaire, durable et accessible à toutes grâce aux modèles de l’économie sociale. L’économie sociale et solidaire représente 10 % du PIB, la moitié générée par nos 1,5 million d’associations, 5 000 fondations et fonds de dotation actifs à l’aide de 12,5 millions de bénévoles et près de 2 millions de salariés.
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veilleur1
2022-04-01
Bulletin n° 2    B 1

#Principal :
exemples
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
collectivités
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Web
Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
social
technologique

La démocratisation du numérique dans l’éducation

Les inégalités numériques et l’importance de l’équité numérique sont au centre des enjeux de la transition digitale des établissements scolaires.


veilleur1
2021-04-01
Bulletin n° 2    A 1

#Principal :
exemples
inspiration
#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
stratégie
Média :
actu
Papier
Web
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savoir
Pestel+ :
écologique
social
technologique

LIBRaiSOL lutte contre la fracture numérique dans l'Allier, rendant l’informatique plus solidaire et libre.

LIBRaiSOL, association créée à Vichy en 2019 par une poignée de passionnés d'informatique, forme et équipe des personnes en difficulté pour permettre l’accès aux nouvelles technologies de l’Internet pour tous.

LIBRaiSOL signifie « Libre Association informatique Solidaire Linux ». Pascal Getenet bénévole cofondateur, fait la genèse de cette jeune association qui a comblé un besoin souligné par le confinement : « C’est d’abord l’histoire d’une poignée de passionnés. Grâce à un partenariat d’associations solidaires, entre autres la Recyclerie de Vichy, et d'autres partenaires, nous collectons du matériel pour le remettre en état. Les données présentes sont effacées, avant d’installer le système d’exploitation libre GNU/Linux (avec une suite logicielle et son paramétrage). » Il poursuit : « Contrairement aux systèmes d’exploitation propriétaires (type Windows ou MacOS…), les mises à jour de systèmes d’exploitation sont gratuites et ne nécessitent pas de matériel de plus en plus puissant. Nous sommes lauréats 2022, "coup de coeur" des projets solidaires soutenus par la Fondation Orange, qui a accompagné notre action pendant le confinement (fournitures de PC, mobicartes), puis en nous permettant le rachat de matériel d’occasion. »
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veilleur1
2020-04-01
Bulletin n° 1    A 1

#Principal :
concurence
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L'UFC-Que Choisir dépose plainte mercredi 15 juin contre le géant du reconditionnement d'appareils électriques et électroniques Back Market devant le tribunal judiciaire de Paris "pour pratiques commerciales trompeuses", révèle l'association de défense des consommateurs dans un communiqué.

"L'UFC-Que Choisir souhaite que la 'licorne du reconditionné' continue de mettre des paillettes dans la vie des consommateurs, sans que sa communication ne soit que de la poudre aux yeux", écrit son président Alain Bazot. Selon l'association, la communication de Back Market "cache de nombreuses entorses au droit de la consommation."
Que reproche l'association ?
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L'UFC-Que Choisir ne comprend pas à quoi correspondent les frais de services de 4,99 euros ou de 5,99 euros, selon le montant de la commande. Ils sont facturés "systématiquement aux consommateurs" et "n'apparaissent qu'à l'étape du paiement."

L'association reproche également à l'entreprise française de présenter les prix comme des promotions "en faisant apparaître un prix barré et un prix réduit, ainsi que le pourcentage de réduction correspondant". Par exemple, le site met en avant un ordinateur portable vendu à -60%, soit 400 euros au lieu de 1 000 euros s'il était neuf. Or, pour l'UFC-Que Choisir, "ce ne sont pas des promotions puisque Back Market compare en réalité deux produits différents : un produit neuf, qui n'est pas vendu sur le site, et un produit reconditionné."

L'UFC-Que Choisir note également un problème sur la durée de la garantie. Le géant du reconditionnement propose une garantie de 12 mois, "en laissant croire à un avantage considérable offert par l'entreprise". Mais l'association rappelle que cette garantie commerciale est imposée par la loi et "dure 24 mois" et pas 12.
Pas dans le respect des règles ?

Selon l'association de défense des consommateurs, Back Market ne respecte pas les règles en matière de cookies qui permettent aux consommateurs d'interdire l'utilisation de leurs données personnelles sans leur consentement. "Non, c'est non (sauf pour Back Market)", ironise l'UFC-Que Choisir. L'équipe de juriste de l'association a constaté que des publicités fleurissaient sur les écrans des internautes même lorsque ces derniers les avaient refusées.

Après six mois d'échanges de courriers avec la direction de Back Market, l'UFC-Que Choisir change de ton. "C'est la première plainte en Europe d'une association de consommateurs contre le géant du reconditionné, même si ses pratiques ont également été épinglées par d'autres associations comme l'association allemande VZBV", explique l'association dans son communiqué.
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2020-04-01
Bulletin n° 1    B 2

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numérique responsable
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#Secondaire :
collectivités
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stratégie
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Objectif :
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Pestel+ :
écologique
légal
politique
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La digitalisation des collectivités progresse lentement et inégalement, à cause de freins persistants et d’inégalités territoriales.


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2020-04-01
Bulletin n° 1    B 2

#Principal :
culture numérique
exemples
numérique responsable
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#Secondaire :
économie sociale et solidaire
Interêt :
opérationnel
tactique
Média :
actu
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Objectif :
comprendre
Pestel+ :
écologique
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La loi REN visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique impose une formation des élèves sur ces thématiques dès la rentrée 2022. idruide fait le point sur les usages durables du numérique.
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2020-04-01
Bulletin n° 1    B 2

#Principal :
culture numérique
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collectivités
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Pestel+ :
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Les inégalités numériques et l’importance de l’équité numérique sont au centre des enjeux de la transition digitale des établissements scolaires.

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